Droit des malades

possible jusqu’à la mort et doivent notamment permettre de soulager la douleur, apaiser la souffrance psychique, sauvegarder la dignité de la personne malade et soutenir son entourage1. De plus, la loi du 9 juin 1999 qui vise à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs nous rappelle que  « Toute personne malade dont l’état le requiert a le droit d’accéder à des soins palliatifs et à un accompagnement »2. C'est le cas de Mr Paul 40 ans, suite à une aggravation de sa catatonie, il est considéré

vit ses derniers jours, et la situation devient difficile à la fois vis-à-vis de ses filles qui refusent d’envisager l’annonce d’un diagnostic synonyme de mort prochaine, et à la fois pour l’équipe soignante qui ne sait pas comment expliquer à la malade que l’intervention chirurgicale n’est plus possible sans contredire la famille ni le médecin en charge initialement de madame « X ». De plus, sur le plan psychologique, la patiente commence à se désintéresser des soins qui lui sont prodigués, et

DROIT DU TRAVAIL Les sources du droit du travail LES CONVENTIONS COLLECTIVES Ensemble des conditions d’emploi, de travail et de conditions sociales. Signée par des représentants syndicaux des salariés, et syndicats employeurs, niveau national, régional ou branche d’activité, les représentants syndicaux engagent l’ensemble de la branche ou du secteur géographique. Cela peut durer 1 an ou 18 mois. Longue négociation et qui touche l’ensemble de la vie du salarié, depuis signature de son contrat, jusqu’à

l’âme (intemporelle, indestructible). DUALISME : distinction entre corps/âme (système philosophique à 2 principes opposés). Lien avec le soin : Pour Platon c’est en contemplant l’idée de ce qui est commun à tous les malades que l’on peut approcher la vérité de ce qu’est ce malade. ARISTOTE (384-322 av JC) REPETITION, PRUDENCE ET DELIBERATION La vérité pour Aristote n’est ni du monde de l’expérience (sensation par le corps), ni du monde des idées. Il rejette le monde des idées de Platon et

médicale mais il est le symbole, symbole du respect que le médecin doit avoir pour le malade ; il appartient à une certaine idée de la médecine qui suppose la liberté de du malade de l’indépendance du médecin ds ces décisions et sa responsabilité personnelle … » R. VILLEY. Il n’y a pas de différence entre secret professionnel infirmier et secret professionnel médical. La notion de symbole du respect du malade est une notion fondamentale que l’on doit conserver cette notion de respect, qui s’attache

pourrait imaginer. Des listes sida en attente de lieux d'habitation se constituent à Paris depuis des années sans aucun regard  des politiques. (par exemple , La droite ne souhaite pas attribuer de logements aux personnes malades du sida, qui, en théorie, votent plus à gauche qu’à droite car la précarité les y oblige. ) Ces malades se rabattent donc sur des logements de banlieue ou de province lointaine quand ces solutions sont encore possibles. Le film « philadelphia » de montre le grand

Testament de Vie : Document écrit par une personne en bonne santé, qui écrit comme elle voudrait terminer sa vie. Droit à refuser les traitements : Un droit/une liberté dans la plupart des pays. La législation en France En France , « l’euthanasie» est encadrée principalement par deux lois: la loi de 2002 sur le droit des malades et la Loi Léonetti du 22 avril 2005 relative aux droits des patients en fin de vie. L'idée générale est de favoriser les soins palliatifs et d'interdire l'« euthanasie

D E L A S A N T E SANTE MENTALE Les ministres appellent à l’action Genève Copyright © 2001 Organisation mondiale de la Santé Ce document n’est pas une publication officielle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et tous les droits sont réservés par l’Organisation. Il peut toutefois être librement commenté, résumé, reproduit ou traduit, en partie ou en totalité, à condition de n’être ni vendu ni utilisé à des fins commerciales. Les opinions exprimées dans le présent ouvrage

le but d'abréger ses souffrances. Il existe cinq sortes d’euthanasie possible : * L’euthanasie active (l’administration volontaire de substances dans le but d’entrainer la mort, soit à la demande du patient ou d’un proche soit sans l’accord du malade avec l’initiative d’un médecin). * L’euthanasie passive (interruption des traitements en cours qui permettaient au patient de survivre). * L’euthanasie volontaire (à la demande du patient). * L’euthanasie involontaire (à le demande d’un

221-3 : « le meurtre commis avec préméditation constitue un assassinat ». L’euthanasie active est donc assimilée à un homicide. Quant à l’euthanasie passive, elle est considérée comme de la non assistance à personne en danger même si la personne malade qui souhaite être euthanasiée fait une demande formelle au Président de la République, l’euthanasie active ne peut être pratiquée de manière légale. La pratique de l’euthanasie sur une tierce personne engendre beaucoup de lourdes conséquences juridiques :