Droit Fondamentaux

 L’action en Justice Tout citoyen a le droit de saisir le juge et d’être entendu sur le fond d’une prétention afin que le juge la dise bien ou mal fondée. Parallèlement, tout défendeur a le droit de discuter du bien fondé de cette prétention. Présentation de l’action en justice L’action en justice est libre mais toujours facultative : le détenteur du droit d’agir en justice n’est jamais obligé de le faire. Mais ce droit est accompagné de garanties pour le rendre effectif. Une aide

en Russie, que la démocratie présente est jeune, puisque celle-ci se montre à travers les institutions mais sans tenir compte de la véritable aspiration du peuple. L’Etat de droit dans une démocratie est présent aussi puisque celui-ci permet au citoyen de bénéficier de l’exercice de ses libertés fondamentales et de droits civiques et où les garanties nécessaires à leur respect sont assurées. Non seulement la démocratie veut de nombreuses institutions politiques mais il peut y avoir une crise comme

la base de la société. L’individu nait avec de droits naturels et il rentre dans la société pour que ces droits soient protégés Le libéralisme est un système qui a pour but de protéger les droits naturels de l’individu, par le biais de la reconnaissance des libertés fondamentales, des libertés individuelles et des libertés politique. Un régime parlementaire est nécessaire au contrôle du pouvoir exécutif qui n’a pour mission que de protéger les droits cités précédemment sans avoir la possibilité de

dualité des ordres de juridictions. A côté de la juridiction judiciaire, qui est soumise au contrôle souverain de la Cour de cassation et qui est chargée de faire appliquer le droit privé, existe une juridiction administrative, qui est soumise au contrôle souverain du Conseil d'Etat et qui est chargée de faire appliquer le droit public. Les juridictions judiciaires sont compétentes pour connaître des litiges opposant les personnes privées entre elles et pour assurer la répression pénale. Les juridictions

ou Libertarianisme. Le libéralisme est un courant de pensée de philosophie politique, né d'une opposition à l'absolutisme et au droit divin dans l’Europe des Lumières (xviiie siècle), qui affirme la primauté des principes de liberté et de responsabilité individuelles sur le pouvoir du souverain. Il repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir ne peut violer. En conséquence, les libéraux veulent limiter les obligations sociales imposées par le pouvoir et

| | |Le libéralisme pol : Il repose avant tout sur la défense de l'individu + libertés fondamentales | | | |(droits de l’H) + liberté de choisir ses gouvernants + partis (pluripartisme, pluralisme) ( |

nous verrons que la liberté n’est pas conditionnée par la loi et dans un second temps, que celle-ci est de manière légitime conditionné. I/ La lois opposé au droits Au premier abord, on pourrait être tenté d'opposer la liberté et le droit. C'est le cas lorsqu'on imagine que la liberté consiste à faire ce que l'on veut et que le droit vient limiter cette volonté par des règles. Mais les lois sont nécessaires à la liberté des hommes car ils vivent en société, terrain concret où ils cohabitent

supériorité de l'homme sur l'animal réside dans sa faculté de penser librement grâce à sa raison . La liberté s'oppose d'une part à l'esclavage et à la servitude , et d'autre part nà la nécessité et au déterminisme . Au sens général , elle désigne le droit du citoyen à agir conformément à sa volonté dans la limites des lois de l'Etat . Rousseau fait ici un constat paradoxal même si les hommes veulent se séparer de la liberté ils ne peuvent pas car elle fait partit d'eux . Pourquoi alors ne sommes nous

cependant qu'une minorité de femmes, françaises pour la plupart. Pourtant, le phénomène fait la une des journaux, et enflamme des débats dans lesquels se glissent sans ordre d'autres problématiques telles que celles de l'intégration, des droits et libertés fondamentales, du respect et de la dignité de la femme, ou encore de l'identité. En raison de la confusion causée par la multiplicité de ces problématiques, il devient ainsi difficile de comprendre les tenants et aboutissants de la question de légiférer

tradition de Rousseau, de respect de la liberté individuelle et de la notion de contrat social, il énonce deux principes qui permettent cette théorie de la justice. Le premier exige l’égalité absolue, prioritaire, de chacun en termes de libertés fondamentales, « principe de liberté ». Le second principe introduit la notion d’inégalités justes et injustes. Soit que les égalités économiques et sociales peuvent être acceptables, mais seulement si elles offrent aux plus désavantagés les meilleures perspectives