Droit naturel

|Amour de soi (désir de satisfaire ses besoins) qui, une fois satisfait, laisse de la place | | | |pour une pitié naturelle à l’égard de mes semblables. | | | |

règle du droit ; LE DROIT : l’ensemble des lois DROITS POSITIFS | DROITS NATURELS | « Posées » (instituées) par les hommes | Attachés à la nature humaine ; innés | Droits des Etats | Droits de l’Homme | Variables selon l’espace et le temps | Invariables : universels | b. JUSTICE * Sens 1 : est juste ce qui est conforme au droit (positif ou naturel) ; d’où la distinction : * Juste = légal : conforme à la loi de l’Etat * Juste = légitime : conforma au droit naturel, ou à la

réponse à une question posée par l’académie de Dijon qui mettait au concours une question avec des discours qui sont lus et un prix est décerné au vainqueur : « Quelle est la source de l’inégalité parmi les hommes ? Est-elle autorisée par la loi naturelle ? » Ce n’est pas son premier discours (puisque c’est le second), il avait fait la même chose en 1750 : « discours sur les sciences et les arts » (premier discours). Et il avait remporté le premier prix. La question était : « Le développement des

I – Objet et méthode du discours. Question posée par une Académie, société savante du 18e siècle, lieu de pensée et de débat. Celle de Dijon avait proposé : Qu’elle est la source de l’inégalité parmi les hommes et est-elle autorisée par la loi naturelle ? Changements apportés par Rousseau : * Source -> Origine = historique, non pas de quoi découlent les inégalités, mais leur histoire comment elles sont apparues. Fondements = perspective normative. * Elargissement : on ne peut pas

l'amène à devenir le défenseur quasi officiel de la conquête, de la colonisation et de l'évangélisation des populations autochtones de l'Amérique. Influencé par la philosophie d'Aristote, il y justifie, par le but de les élever au même niveau, un droit des peuples de civilisations plus développées à soumettre les autres et s'oppose en cela aux idées de Francisco de Vitoria. Il s'oppose à Bartolomé de las Casas et publie son De justis belli causis apud un indium pour répliquer aux Trente propositions

de Mustapha qui est situé dans le temps et dans l’espace avec des personnages ayant existés, c’est un exemple historique pour prouver ce qui a été développé auparavant. En quoi l’exercice du pouvoir est-il indissociable de la notion de justice naturelle ? Paragraphe 1,2 : U. pose de façon claire et directe la problématique : « quel est le gouvernement le plus conforme à la raison » et expose ensuite son point de vu. U. semble ici ouvert d’esprit car cette question amène à la recherche de

exactement être soumis à une force supérieure ou à une loi naturelle qui contraint: l'obéissance suppose la capacité de désobéir et on ne « désobéit » pas à une loi naturelle ocmme par exemple la loi de la pesanteur. L'expression « être libre » peut être analysée sur deux plans. En effet, est libre sur le plan moral ou politique cekui qui a le droit de faire ceci ou cela. Mais sur le plan de ce qu'on pourrait nommer la liberté naturelle, je suis libre dans la mesure où je suis l'auteur de mes actes

L’ésclavage : Les textes : 1-Montesquieu  « De l'esclavage des Noirs in  L'esprit des Lois , 1748. : De l'esclavage des Nègres Si j'avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves, voici ce que je dirais : Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves. Ceux dont

volonté d’autrui à la nôtre. Quiconque est maître ne peut être libre, et régner c’est obéir. Il n’y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu’un est au-dessus des lois : dans l’état même de nature l’homme n’est libre qu’à la faveur de la loi naturelle qui commande à tous. Un peuple libre obéit, mais il ne sert pas ; il a des chefs et non pas des maîtres ; il obéit aux lois, mais il n’obéit qu’aux lois et c’est par la force des lois qu’il n’obéit pas aux hommes. Toutes les barrières qu’on donne

de ses biens). • L’état de nature selon Locke Pour Locke, l’état de nature est un état d’harmonie et de liberté raisonnable. L’homme à l’état de nature jouit de deux pouvoirs et d’un droit fondamental : Le pouvoir d’assurer sa propre conservation. Le pouvoir de punir quiconque menace sa vie. Le droit fondamental de propriété limité à ce qui est nécessaire à sa conservation. • L’état de société selon Locke Pourquoi former une société si l’état de nature est un état de paix et d’harmonie