Droit Savant Et Coutume

Pour les romains le droit était un art « l’art du bon et du juste », ils retiennent le but du droit qui est la réalisation d’un idéal de justice et d’équité. Ils ne s’intéressent pas à la nature du droit. Aujourd’hui, l’approche que l’on a du droit est beaucoup plus formelle et matérielle, qui a chassé l’idéalisme classique, il se réduit aux règles posées. C’est en ensemble de connaissance, c'est-à-dire une science qui se compose de différente branche. Autre approche : Le droit est un phénomène

Les sources du droit à l’époque impériale Puisque les apparences républicaines sont sauvegardés, les sources de la République ne disparaissent pas mais elles sont affaiblies, car désormais l’empereur gouverne et c’est lui qui progressivement va décider des sources du droit, avec même l’apparition des sources nouvelles notamment les SENATUS CONSULTES et CONSTITUTIONS IMPERIALES (qu’on appellera des lois votées). A. La coutume Cette coutume subsiste comme les usages des grandes familles mais

(par mariage), plus les systèmes juridiques s’adaptent les uns aux autres, rendant la distinction difficile; et de plus, certaines matières (comme les contrats, par ex.) ne sont pas traitées par la loi barbare et on se réfère alors au droit romain qui devient le droit unique dans ce domaine. 3. La rédaction des « lois » La décision de mettre les lois par écrit pour clarifier tout cela est une attitude typiquement romaine, les barbares n’étant pas ou peu alphabétisés. - Bréviaire d’Alaric : lois

En particulier, consultez les manuels suivants : - J.M. Carbasse, Manuel d’introduction historique au droit, p. 91-101 (leçon 7). - E. Gojosso, E. Gasparini, Introduction historique au droit et aux institutions, p. 67-87. - J.L Thireau, Introduction historique au droit, p. 120-123 - A. Castaldo, Introduction historique au droit, p. 132-137 - A. Rigaudière, Introduction historique à l’étude du droit et des institutions, p. 58-67. * Enfin, je vous rappelle que vous devez travailler seul, sans avoir recours

l’individu est savant. Par exemple si l’on propose à quelqu’un trois choix et qu’il n’est capable de comprendre qu’un seul des choix, on ne peut pas dire qu’il a été libre de choisir. Car il prendra le seul et unique choix qu’il connaît et par conséquent il aura été prisonnier de son ignorance. Ainsi choisir par dépit ne découle pas d’un acte libre. C’est donc de cette ignorance que nous libère la culture car elle nous offre la possibilité de connaître et de devenir savants et par extension

IV à Louis XIV: le renforcement du pouvoir royal. Henri IV de Bourbon met fin aux guerres de religion et redresse le pays. En 1598, il tente une réconciliation religieuse par l'Edit de Nantes : les protestants (les « huguenots ») ont dorénavant le droit de pratiquer leur religion. Henri IV meurt, assassiné en 1610 . Son fils, Louis XIII n'a que neuf ans. Sa mère Marie de Médicis exerce le pouvoir à sa place, c'est une régence . Les troubles reprennent et durent jusqu'en 1624, date à laquelle le

PREMIÈRE PARTIE. Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ; car chacun pense en être si bien pourvu, [ 124 ]que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose n’ont point coutume d’en désirer plus qu’ils en ont. En quoi il n’est pas vraisemblable que tous se trompent : mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes

CHAPITRE 2 : LE PEUPLE ROMAIN GENIE DU DROIT. Chronologie : 753 avant J-C : acte de naissance de ROMULUS et REMUS sont abandonnés et recueillis par une louve. On parle d’une vie de brigandage. Fondation de la cité sur le mont Palatin : ROMULUS tue REMUS. Extension de la cité dans la vallée du Tibre. C’est le début de l’Antiquité romaine. La fin de Rome : IVème siècle avant J-C c’est la fin de la grandeur de Rome : il y a un partage de l’Empire romain : Empire romain d’Occident : Rome latine Empire

Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée : car chacun pense en être si bien pourvu, que ceux même qui sont les plus difficiles à contenter en toute autre chose, n'ont point coutume d'en désirer plus qu'ils en ont. En quoi il n'est pas vrai- semblable que tous se trompent; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger, et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes; et ainsi que

et chrétiens. §1 la tradition germanique A) La dévolution du pouvoir Le 1er roi de la dynastie, accède au pouvoir grâce aux conquêtes de guerre, son pouvoir est ensuite transmit à ses fils selon les règles de successions empruntées aux coutumes françaises : • la transmission semble reposer sur un mécanisme héréditaire mais plus complexe. • Le roi est l’élu du pouvoir, donc transmission élective et héréditaire • Le choix des grands ne peut se porter que sur des membres