Droit Traditionnel Et Droit Moderne

profondément la vie politique, culturelle et même religieuse de ces peuples eu égard à l’arrivée de nouvelles religions. Le pouvoir revient désormais non plus aux chefs africains, mais à la nouvelle élite issue de l’école occidentale. Les chefs traditionnels sont désormais davantage les gardiens et les dépositaires de la tradition dans une Afrique en perpétuelle mutation et qui épouse de plus en plus les aspirations de l’Occident. Mais au lendemain de leur accession à l’indépendance, la plupart des

Évolution de la Famille : passage de la famille traditionnelle à la famille contemporaine moderne INTRO . La famille est traditionnellement défini par un groupe formé par le père, la mère et leurs enfants c'est-à-dire un ensemble de personnes unies par le sang. Mais la famille contemporaine tend de plus en plus à s’éloigner de cette définition où la famille ne correspond plus forcément à ce modèle traditionnel. Depuis le XIXème siècle, le paysage familial est bouleversé dans nos sociétés

Définitions :· Normes sociales : énoncés propres à un groupe ou à une société. Elles orientent les comportements des individus et ne sont pas inscrites dans le droit. Le non-respect d’une norme sociale peut entraîner des sanctions tels que des regards moqueurs ou des réflexions. · Normes juridiques : (…), elles sont formelles et sont inscrites dans le droit (ex : respecter le code de la route, ne pas diffamer une personne, ne pas consommer de substances illicites…). Ainsi, Le non-respect de ces normes peut

LE DROIT ET LE FAIT DANS LA SOCIE~ COMPOSITE ESSAI D'INTRODUCTION AU SYSTEME JURIDIQUE MAROCAIN - par Negib BOUDERBALA et Paul PAseON 1. - POSITION DU PROBLEME Ce texte n'a pas l'ambition de proposer une théorie du droit ,marocain. TI veut suggérer une approche du droit fondé non sur la seu~e logique interne des différents « droits » appliqués au Maroc (coutumier, musulman, français, etc...), ce qui aurait pour conséquence de les distinguer, mais sur une articulation en. "':ln système

François Dubet nous dit « L’affaiblissement structurel de l’idéal d’intégration aurait donc laissé place à celui de la cohésion. ». En effet, dans son ouvrage « La préférence pour l’inégalité », F. Dubet développe la théorie selon laquelle, les sociétés modernes auraient fait le choix de l’individualisme engageant le processus de crise de solidarité, permettant de passer d’un idéal d’intégration social à un idéal de cohésion sociale. Cependant, Durkheim précise bien que la société n’est pas la somme de chacun

(Introduction) L’individualisme est le système qui fait prévaloir les droits de l’individu sur ceux de la collectivité ou la tendance d’un individu à s’affirmer indépendamment des autres. Nous allons essayer de comprendre les origines de ce phénomène. (Marcel Gauchet (philosophe…) identifie 3 âges de personnalités). La première est la « personnalité traditionnelle », la seconde est la personnalité dite « moderne » et le troisième et le dernier âge est celui de la « personnalité contemporaine »

 » Activité 2 : L’évolution juridique dans la famille 1) Les transformations juridiques de la famille ont commencé dès 1907, l’année à laquelle la femme a eu le droit de disposer de son salaire : celle-ci a obtenu des droits juridiques en 1938. C’est en 1946 que la femme a été reconnue égale à l’homme et a obtenu le droit de vote. Elle a pu travailler sans l’accord de son mari en 1965, et dispose d’une autorité parentale égale à l’homme depuis 1970. Le terme de « chef de famille » a disparu

paysannes traditionnelles. Dossier 1 : Les formes de solidarité selon Durkheim Le premier sociologue francisais à examiner de prés la question de la solidarité est Emile Durkheim dans son ouvrage de la divisions du travail social (1892). Il y distingue deux types de solidarité : la solidarité mécanique et la solidarité organique. A. Les sociétés traditionnelles et la solidarité mécanique La solidarité mécanique est la forme de cohésion caractéristique des sociétés traditionnelles, essentiellement

l’origine d’un Etat, en d’autres termes, pourquoi à tel moment, en tel lieu il y a tel Etat. D’une manière plus générale, il s’interroge sur la nature de l’Etat arabe contemporain, son action, ses forces animatrices, pour savoir si il s’agit d’un Etat traditionnel, sultanique et religieux, ou d’une organisation historique nouvelle. Dans son introduction, l’auteur dit aussi vouloir « rompre avec la littérature politique actuelle opposant systématiquement société civile et Etat ». D’une manière

culte du corps, ce qui produit, non seulement des changements de l'homme mais aussi des changements dans le monde.  Ce culte oblige à une personne de manipuler son corps et font de lui un outil d'élimination des différences sociales. Les notions traditionnelles de beauté, d'érotisme  sont comptées comme un article du pouvoir du consommateur. Les médias reflètent et perpétuent le caractère totalitaire de la société de consommation. L'essence du totalitarisme est l' «homogénéisation» des événements, leur