Dsf Cameroun

d’Afrique (F CFA) avec la parité de 1 franc CFA=1,70FF.  -17 décembre 1948 : Changement de parité du F CFA vis-à-vis du FF : 1F CFA=2FF.-20 janvier 1955 : Création de l’institut d’émission de l’A.E.F et du Cameroun. -14 avril1959 : Création de la Banque Centrale de l’Afrique Equatorial et du Cameroun (B.C.E.A.C). - novembre 1972 : Création de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (B.E.A.C) et du franc de la coopération financière en Afrique Centrale « F FCA ». -avril 1973 : Début des activités

œuvres, aussi virulentes les unes que les autres, dépeignent les dirigeants des régimes néocoloniaux qui maintiennent l’Afrique dans le marasme économique. En 1972 il écrit Main basse sur le Cameroun, autopsie d’une décolonisation ; c’est un réquisitoire contre les crimes du président Ahidjo, dictateur du Cameroun, alors soutenu par le néocolonialisme français. En clair l’exil constitue le seul abri possible pour ces deux auteurs, chantres de la liberté et de la démocratie. 2- L’exil ou la liberté

d'activité visant la promotion de l'activité économique et occupe même une place non négligeable pour ce qui est de la création. 3.2.1.2.1 Les grandes entreprises De façon générale, une certaine ambiguïté règne sur la classification des entreprises au Cameroun et en Afrique en général, ceci permettant de dégager une autre spécificité de ces entreprises. En effet lorsque nous tenons compte de la taille ou alors de l'effectif de l'entreprise, ce qu'il est convenu d'appeler « grandes entreprises » est considéré

Le Cameroun Le Cameroun n’est pas un bon endroit pour faire du commerce, en raison de son instabilité politique. Dans le rapport de l’«Observatoire des Droits de l’Homme au Cameroun» de 2009, il est écrit que de violentes émeutes ont été faites par les gens moins fortunés pour manifester leur faim, le gouvernement est tout de même rester au pouvoir et à prolonger cette «mauvaise gouvernance». Pour ce qui est des transport, ils sont relativement bien équiper, mais pas autant que la plus part de

L’UNION DES POPULATIONS DU CAMEROUN (UPC) ET LA QUESTION DE L’INDEPENDANCE DU CAMEROUN Plan Introduction I- contexte favorable au développement du nationalisme et l’avènement de l’UPC A- Contexte favorable au développement du nationalisme B- La formation de l’UPC II- L’action de l’UPC de 1948 à 1957 A- Au Cameroun sous administration Française B- Au Cameroun sous administration Britannique III- Les luttes armées et les répressions contre l’UPC A- L’avènement des luttes armées et

pour obtenir un avantage par rapport à l’Algérie pour la résolution du problème Saharien. Parmi les divers pays d’accueil de ces investissements, on peut citer le Gabon, le Mali, la côte d’ivoire, le Niger, le Nigeria, le Bénin, le Sénégal, le Cameroun, la Guinée, la République Démocratique du Congo et encore et encore. Le Maroc essaie non seulement de conquérir des alliés mais aussi de renvoyer une bonne image politique. Nous remarquons notamment dans ce contexte d’investissements de nombreuses

Le phénomène de décentralisation au Cameroun députe pendant la période coloniale (A.1) et prend un tournant décisif au plan juridique avec les Lois promulguées après l’indépendance (A.2) A.1 PERIODE COLONIALE La municipalisation au Cameroun date de l’époque coloniale. Dès 1922 dans le Cameroun Britannique d’abord, l’autorité coloniale crée « les Native Court ». Les Native Authorities avaient le droit de légiférer et d’établir des impôts sous le contrôle des Districts Officiers. C’était la politique

 TERMES DE REFERENCE ETUDE RELATIVE A LA MISE EN PLACE D’UN DISPOSITIF DE PREVENTION, DE SECURITE ET DE GOUVERNANCE ROUTIERES SUR LES CORRIDOR DOUALA (CAMEROUN) – FRONTIERES DU CONGO I- Contexte et justification La situation géographique du Cameroun, disposant d’un accès à la mer, et des pays voisins enclavés, en fait un pays de transit par excellence, par lequel l’essentiel des importations et exportations des pays voisins enclavés circulent pour leurs destinations finales

PROPOSITION LCB CONTEXTE GENERAL DE L’ETUDE « BILLE DE CHOCOLAT CACAO AYOS, KONAFCOOP » Depuis la nuit des temps, le marché du cacao au Cameroun s’est toujours limité premièrement à la culture artisanale du cacao et enfin à l’exportation des fèves de cacao. Malheureusement, l’exportation du cacao à ce stade de la chaîne de transformation n’est pas rentable pour les cultivateurs. Il serait donc indispensable d’encourager les cultivateurs à la première transformation du cacao en beurre de cacao

INTRODUCTION GÉNÉRALE Le commerce international par voie maritime représente 95 % des échanges dans la zone CEMAC. Le Cameroun est le cœur de ces échanges à travers le port de douala qui est une véritable plate-forme logistique. Le port autonome de Douala est propriétaire du domaine portuaire à savoir 1000 hectares donc 600 en cours d'exploitation et 400 en réserve foncière. Ainsi toute marchandise errante ou sortante dudit port, doit payer une taxe appelée redevance portuaire qui représente 10