Du Rapport Des Hommes Avec Les Animaux

luxueuse, et les transforme en cochons à l’aide d’un breuvage mystérieux. Ce passage de l’oeuvre d’Ovide entre particulièrement bien dans le thème de l’homme et l’animal puisqu’il rapporte une confrontation entre homme et animal, la confrontation de l’homme à l’homme qui se conclut en transformation d’homme à animal. Cet extrait remet en question des notions trop aisément attribuées à l’homme et l’animal comme la dangerosité, la civilité et s’interroge plus largement sur thème des apparences

terre montre bien que l’homme a su développer certains objets utiles pour sa survie qui ont été conçu grâce aux ressources naturelles. Pour les Grecs, c’est Prométhée qui créa les hommes avec une motte d’argile. Aristote raconte que le frère de Prométhée, Épiméthée avait rendu l’homme vulnérable et inférieur aux autres animaux en ne le dotant ni d’une grande force, d’une grande agilité, d’une grande rapidité ou d’une grande ruse par exemple. L’homme était nu face à la nature. Pour combler ce manque,

institutions sur les inégalités entre les hommes. Quant à la thèse, Rousseau pense que les inégalités sociales entre les hommes ont leur origine principalement dans la société elle-même et peu dans les différences naturelles. En effet, les différences dans l'éducation (la culture) amplifient les différences naturelles aussi bien corporelles qu'intellectuelles. D’après la pensé de ROUSSEAU, nous pouvons nous poser comme problème : les inégalités sociales parmi les hommes sont-elles la conséquence des différences

nous allons étudiez aujourd'hui est une fable de Jean de la Fontaine appeler « Le loup et L'agneau.». Une fable est un écrit en forme de récit ou de poème qui existe depuis l’Antiquité grecque et romaine, elle met en scène des animaux afin de dresser une satire sociale des hommes. Dans « Le Loup et l’Agneau » Jean de La Fontaine, auteur du XVIIe siècle, présente la mésaventure d’un agneau fébrile et innocent, proie d’un loup affamé et sans pitié. A l'époque de Jean de la Fontaine, 17eme siècle, le roi

qui va donc baser sa manière de penser et d'agir en fonction de cela. Relativisme : Larousse : “Position idéologique de quelqu'un qui pense qu'il n'y a pas d'absolu, que tout est relatif.” Personnelle : Façon de penser, où l’homme est humble par rapport à son existence et prend en compte sa place et celle des autres êtres dans l’univers. Cela signifie qu’il n’y a pas de vérité absolue. 1II. Personnages concernés : une philosophie ou deux Les personnages concernés -> Micro, le Sat et philosophes

Sujet (terminales technologiques) : Durkheim - sociétés animales et sociétés humaines La grande différence entre les sociétés animales et les sociétés humaines est que, dans les premières, l’individu est gouverné exclusivement du dedans, par les instincts (sauf une faible part d’éducation individuelle, qui dépend elle-même de l’instinct) ; tandis que les sociétés humaines présentent un phénomène nouveau, d’une nature spéciale, qui consiste en ce que certaines manières d’agir sont imposées ou du

l’expérience) • Lucidité + expérience :utilisation de la raison • Prudence : «Je ne sais pas,/.../ comment je pense, mais je sais que je n’ai jamais pensé qu’à l’occasion de mes sens» : selon lui donc, nos idées viennent de nos sens. Il établit rapport entre activité physique et activité intellectuelle. • Il affirme les limites de la pensée humaine : « je me contente de croire qu’il y a plus de choses possibles qu’on ne pense ». CP: le docteur en Sorbonne donne le profil de l’intellectuel borné

même de moralité puissent tout simplement recevoir un sens. Tous deux sont des excès baroques par rapport à la logique de la nature. La comparaison avec le règne animal est singulièrement éclairante : pas plus qu'ils ne sont à proprement parler méchants, même lorsqu'ils infligent à leurs semblables les pires souffrances (et les exemples abondent de la « cruauté » du monde animal), pas davantage les animaux ne sont capables de cette générosité inattendue, j'allais dire inespérée, qui est parfois le fait

au sein d’une communauté, et, de plus, la société est un phénomène universel), et c’est elle qui nous détermine. On peut dire que de l’état de nature, l’homme passe naturellement à la société2. Mais à quelle Cité ? Celle des esclaves ou celle des hommes libres ?3 Lourd problème, qui nous fait soulever celui de la nature et de l’humanité de l’homme. Que permet la société en ce domaine ? " Faut-il dire qu’(elle) dénature ou (qu’elle) humanise l’homme " 4? Pour un commentaire de l’introduction

longtemps les hommes tentent de définir leur place dans l’univers. Ce ne sont pas des questions nouvelles que de se demander qui sommes-nous, d’où venons-nous et que faisons-nous ici. Si tous les humains ont ces interrogations par rapport à leur propre existence, certains penseurs et scientifiques essaient de pousser le questionnement un peu plus loin et ajoutent un élément nouveau afin d’apporter un raisonnement qui se rapprocherait davantage de la réalité. Cet élément ce sont les animaux. Il est beaucoup