Du Rapport Des Hommes Avec Les Animaux

humain est un être de culture c’est-à-dire qu’il se distingue des autres espèces animales. Ainsi sa nature n’est pas « naturelle » mais « artificielle », au sens où elle est façonnée, fabriquée, et transmise, de génération en génération. L’homme ne se contente donc pas de suivre « sa » nature, il l’invente, au sein d’une communauté et il se définit ainsi à partir de son appartenance à une société. L’homme est donc un animal culturel, car il a une histoire et il n’est pas déterminé par ses instincts.

texte « Propos » parle de conscience. Il y a-t-il une relation entre l’homme et l’animal ? L’animal est-il comme l’Homme doté d’une conscience ? C’est ce que va démontrer Alain. Pourquoi selon lui les animaux n’auraient-ils pas de conscience ? N’y a-t-il pas des exceptions ? Alain suppose que les animaux n’ont pas de caractéristiques humaines. Les passions n’existent pas chez l’animal, souvent confondues avec les émotions, les passions dominent la raison et restent toujours présentent, elles ne sont

ROUSSEAU DISCOURS SUR L’ORIGINE ET LES FONDEMENTS DE L’INEGALITE PARMI LES HOMMES Rousseau retrace l’aventure de l’humanité depuis son origine (mais en dehors de tout cadre religieux), la peint dans son état de nature pour mieux comprendre comment l’humanité, décadente selon lui, en est arrivée là. Rousseau distingue deux types d’inégalité : naturelle (ou physique) et morale. L’inégalité naturelle découle de différences d’âge, de santé, ou d’autres caractéristiques physiques, elle ne peut être

confère une spontanéité, alors que l'autre nous oblige à agir à travers des règles mises en place par une société. Il est difficile d'évacuer la complexité de ces deux concepts car même s'il est vrai que notre comportement se différencie du comportement animal, dans le sens ou notre conscience nous permet d'engager des réflexions sur nos actes et nos choix, notre responsabilité et notre liberté, nous possédons en nous un instinct et par conséquent des pulsions sauvages révélant notre animalité. Il y a une

destinés à produire des résultats jugés utiles, sera différenciée de la science. En effet, si cette dernière se rapporte au savoir, la technique pour sa part, est fondamentalement liée à l’utilité. Il convient alors de se demander si le développement de la technique n’est que source de libération ou plutôt instrument d’aliénation ? Nous tenterons d’analyser comment la technique permet aux hommes de transformer la nature en vue de satisfaire leurs besoins. Cependant, ce développement, loin de ne contribuer

200millions d'années. 65millions d’années (environ) = cataclysme(?) tous ces animaux ont disparu, les seuls à survivre: tous petits mammifères qui se développent pendant l'ère tertiaire. 65millions d'années = ère tertiaire, jusqu'à 1million d'années. Ces mammifères qui se développent pendant l'ère tertiaire donnent des primates, pour ensuite former des hommes, vers 6millions d'années. Pk sont-ils des hommes et plus des primates? Ils deviennent homme à partir du moment ou ils fabriquent

de dialogues qui met en scène des animaux. [Comment?] Le texte met en évidence une réalité cruelle: le dialogue entre le loup et l’agneau exemplifie le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. [Pourquoi?] Cette histoire met en scène des animaux pour mieux évoquer les hommes et faire une critique de la société qui ne se limite pas à son époque. Nous verrons d’abord que La Fontaine utilise des animaux pour en faire des personnages vivants

;Les animaux malades de la peste La Fontaine Intro : La fontaine a fait la satire de son époque. C’est un moraliste, les source de cette fable sont les sermonnaires ; dans les serments on utilisait la fable dans un but dédactique religieux, pour instruire les fidèles. La fontaine détourne le sens du serment (il dit le contraire). La fontaine imagine dans l’univers des animaux, une situation à celle des hommes, à l’occassion d’une peste on cherche un bouc émissaire pour apaiser la colère des

un bon éloge, ces procédés donne un rythme au texte. L’auteur met l’homme au même niveau que les animaux en comparant des situations propres aux animaux avec ceux de l’homme et en le plaçant « au-dessous de la taupe et de la tortue »l.2, mais aussi en qualifiant les animaux intervenants et l’homme d’ « animaux raisonnables » l.18. D’autre part, vers la fin l’auteur compare l’homme et les animaux de façon plus imagée avec le « sabbat abominable »l.13 des chats, qui se rapproche de la guerre. Guerre

remarques. Nous nous intéresserons plus précisément à la remarque 119 qui a pour titre « Les Jugements », tiré de la septième livraison, publiée en 1691.L'extrait de texte que nous allons étudier souligne l'absurdité de la guerre. Certaines espèces animales sont comparées avec l'espèce humaine. La sottise de l'être humain et, son énorme prédisposition pour l'auto-extermination, sont critiquées, pour par la suite, aboutir à une énumération complète d'équipements d'artillerie qu'utilisait l'Homme à cette