Du Roi Suzerain Au Roi Souverain

PERSONNAGE: Tristan:née d'un père mort au combat et d'une mère morte juste après son accouchement il est recueillit par son oncle ou il apprend la danse et la harpe Il devient chevalier au près du roi Marc après lui avoir prouver sa bravoure en tuant le géant Markolt (oncle de Iseult) Iseult:Fille du roi d’Irlande elle est connu pour connaître les plantes médicinales et aussi pour sa grande beauté.Elle est destiné au rois Marc car Tristan a vaincu un dragon mais a laisser la main d' Iseult à Marc

(extrait du Livre 1 chapitre 8) Aux XVIème et XVII siècles, dans un contexte de guerre civil, de renaissance et guerres de religions, des théoriciens tel que Jean Bodin vont s’intéresser à l’évolution des institutions et des relations entre le roi et ses sujets. On va dès lors développer des notions telles que l’absolutisme et la souveraineté. Jean Bodin tenta de défendre la monarchie durant une période de crises et de contestation de l’autorité royale. Jean Bodin est né en 1529 ; homme polyvalent

antagonistes vont s'opposer chacune à leur manière à l'autorité seigneuriale, c'est à dire au système féodal et à ses relations féodo-vassaliques. La royauté, l'Église ensuite, les villes enfin. L'objectif du roi est de s'appuyer sur le modèle féodal afin d'instaurer un pouvoir de type souverain s'appliquant à l'ensemble de la population. Pour l'Église, il s'agit d'assurer sa vocation universaliste en s'opposant à l'éclatement issu de la féodalité. Les villes, quant à elles, cherchent à gagner leur

train de se constituer, celui des Francs. 2. Ostrogoths, Vandales et Wisigoths Fin Vème s. les Ostrogoths prennent l’Italie. leur roi Théodoric fait tout pour conserver la civilisation romaine. Les vandales par contre sont contre les romains et sous la conduite de leur roi Genséric ils pillent Rome en 455. Les Wisigoths étaient plus puissants, leur roi convoitait le nord de la région occupée par Syagrius général gallo romain et voulait annexer à l’Est le royaume des Burgondes. 3. Faiblesse

fallu attendre 1047 pour soumettre tous ses vassaux*. En 1047, son cousin Gui de Brionne mit en place une révolte des seigneurs du Cotentin et du Bessin. Guillaume échappa de justesse à ses ennemis et alla ensuite demander de l'aide au roi de France, son suzerain*. Ce dernier, lui prêta assistance à Val-ès-Dunes, près de Caen, pour vaincre les rebelles dont son cousin. Victorieux et sans autres prétendants au trône, Guillaume se montra sévère à l'égard de ses barons et força son cousin Gui de Brionne

LES MEROVINGIENS En 481 : Clovis devient le 1er Roi Mérovingien. Au cours de cette époque = Installation de la royauté par les conquêtes, renforcement de la royauté, évolution des structures laïc et modification de la place de l’Eglise. I. L’installation d’une royauté franque et ses conquêtes Les francs saliens regroupés autour de Clovis se trouvent directement à la frontière de l'empire, et entrent rapidement et réussissent à conquérir toutes les terres. Politique de conquête : 486 :

fief   ¤ l’hommage : le vassal s’engage à servir son suzerain. Pour cela, le futur vassal se met à genoux devant le seigneur, place ses deux mains jointes entre les siennes (auxilum manuum). Le suzerain lui demande s’il veut être son homme. Le vassal répond « volo » (« je le veux »). L’hommage se termine par un baiser de paix, sur la bouche (osculum). ¤ le serment de fidélité : serment par lequel le vassal jure de rester fidèle à son suzerain. Ce serment est en général prêté sur des reliques ou

vassal mineur du territoire Français le moyen de s’imposer car en épousant ce futur roi d’Angleterre, elle apporte d’immenses territoires à sa couronne, permettant la présence sur le continent d’un redoutable concurrent au roi de France. Par ce mariage, Henri II règne sur un territoire qui s’étend de l’Ecosse aux Pyrénées, comprenant l’Angleterre, L’Anjou, le Maine, La Normandie, L’Aquitaine et la Bretagne, et plaçant le roi de France en infériorité territoriale pendant près d’un demi-siècle. Il fallut

notamment, ces fameux chevaliers. Ceux-ci sont aussi vaillants, aussi aventureux que dans les chansons de geste, mais leurs exploits ne sont plus seulement dictés par leur fidélité à Dieu, ou à leur suzerain, ils sont désormais dictés par le « service d’amour », soumission absolue à « sa dame », souveraine maîtresse.1 Le merveilleux divin est très présent dans le roman courtois, plus encore que dans la chanson de geste. L’une des plus importantes traces du roman courtois est certainement la légende

¤ l’hommage : le vassal s’engage à servir son suzerain. Pour cela, le futur vassal se met à genoux devant le seigneur, place ses deux mains jointes entre les siennes (auxilum manuum). Le suzerain lui demande s’il veut être son homme. Le vassal répond « volo » (« je le veux »). L’hommage se termine par un baiser de paix, sur la bouche (osculum). ¤ le serment de fidélité : serment par lequel le vassal jure de rester fidèle à son suzerain. Ce serment est en général prêté sur des reliques ou