Duc De Florence Lorenzaccio

expriment donc un certain désenchantement : le monde est mauvais, la société corrompue, et toute tentative d'y remédier est vaine. Ainsi, Lorenzaccio, le héros de Musset dans la pièce éponyme (1834), s'engage pour sauver la cité de Florence de la tyrannie d'Alexandre de Médicis. Mais plus le temps passe, moins il perçoit le sens de sa mission. Il exécute le duc sans véritable espoir ni conviction, et un autre Médicis succède immédiatement au tyran. Ce scénario illustre bien l'esprit qui anime alors

expriment donc un certain désenchantement : le monde est mauvais, la société corrompue, et toute tentative d'y remédier est vaine. Ainsi, Lorenzaccio, le héros de Musset dans la pièce éponyme (1834), s'engage pour sauver la cité de Florence de la tyrannie d'Alexandre de Médicis. Mais plus le temps passe, moins il perçoit le sens de sa mission. Il exécute le duc sans véritable espoir ni conviction, et un autre Médicis succède immédiatement au tyran. Ce scénario illustre bien l'esprit qui anime alors

passion prit définitivement fin, laissant à Musset la douleur d’un échec sentimental cuisant, mais donnant à son œuvre une profondeur qui lui manquait encore. À la fin de l’année 1834, il enrichit son théâtre d’un chef-d’œuvre, le drame historique Lorenzaccio, puis du Chandelier, l’année suivante. Dramaturge incompris, il avait en revanche obtenu un immense succès, en 1833, avec son poème romantique Rolla : le cycle des Nuits, écrit après sa rupture et ancré dans son expérience sentimentale, conforta

physique notamment avec l’utilisation de crimes de cops ou bien de punitions. En effet dans Lorenzaccio de Musset, Lorenzo veut débarrasser la ville de Florence du Duc de Médicis Alexandre qui est une débauché et qui veut instaurer la république. C’est un conflit politique mais aussi nous remarquons la présence de violence au moment où Lorenzo tue le Duc de Médicis, comme punition, pour libérer la ville de Florence. En outre nous pouvons voir que dans Phèdre, la pièce parle de Phèdre, épouse de Thésée

Extrait acte I, scène 4 de Lorenzaccio, de Musset : Une cour du palais du Duc LE DUC. (…) Cardinal, écoutez un peu ces messieurs qui disent que le pape est scandalisé des désordres de ce pauvre Renzo, et qui prétendent que cela fait tord à mon gouvernement. LE CARDINAL. Messire Francesco Molza vient de débiter à l’académie romaine une harangue en latin contre le mutilateur de l’arc de Constantin. LE DUC. Allons donc, vous me mettriez en colère ! Renzo un homme à craindre ! le plus fieffé  poltron 

acte : pr parvenir à côtoyer le tyran il doit compromettre son integrité en devenant compagnon de debauche du duc alexandre. Il y a le motif du masque . Prisonnier de son rôle : motif du masque qui colle au visage. Lecture de sartre des mains sales comme drame romantique : duc de florence tyran, brute, gougat. Le drame romantique est donc retourné. Drame romantique retourné. Contre Lorenzaccio Le 27/01/10 Structure et dramaturgie des mains sales : interroger la dramaturgie de sartre ds la pièce :

Scène 1 o Racine, Bérénice, Acte iv, Scène 5 o Corneille, Le Cid, Acte i, Scène v o Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, Acte iii, Scène 8 o Beaumarchais, Le barbier de Séville, Acte ii, Scène 1 o Alfred de Musset, Lorenzaccio, Acte ii, Scène 2 ▪ Consignes o 1ère lecture « Lisez attentivement le texte une 1ère fois. Après cette 1ère lecture, tentez de repérer certaines caractéristiques déjà évoquées à partir des résumés. Si vous le pouvez, caractérisez

sa façon d’être, son ennui, son désœuvrement, son désespoir. Pour montrer son refus du monde qui l’entoure, sa révolte contre les normes bourgeoises, il vit souvent une vie de débauche : drogue, alcool, conquêtes sont son quotidien (par exemple, Lorenzaccio, de Musset, ou d’Albert, de Gautier). Il privilégie la bohème. La seconde incarnation du héros romantique présente encore sensiblement les mêmes caractéristiques, sauf qu’il est mû par un profond sentiment d’injustice sociale, injustice qu’il tente

» : l'affirmation que tout n'est pas permis pour arriver à ses fins (révolutionnaires), est-on un criminel lorsqu'on « élimine » un symbole du despotisme -en l'occurrence le grand-duc de Russie ? Doit-on prendre en compte les dommages collatéraux ? (Kaliayev renonce à lancer sa bombe la première fois car le grand-duc est entouré d'enfants). Est-ce la haine (Stepan) ou l'amour (Kaliayev, Dora) qui doivent guider l'action ? Doit-on une fois l'attentat commis, s'en remettre à un Dieu cruellement absent

l’influence de villes indépendantes comme Urbino, Ferrare, Pise, Sienne etc., qui passent une bonne partie de leur temps à se faire la guerre. Ces cités connaissent des régimes politiques variés, depuis la monarchie (Naples) jusqu’à la démocratie (Florence) en passant par la république oligarchique (Venise) ou encore la théocratie (Rome). Des Alpes à la Sicile, de la Corse à l’Adriatique, on parle (presque) la même langue, on vénère le même Dieu, on a les mêmes coutumes, les mêmes vêtements, les mêmes