Duché d'Aquitaine

général Elle est calqué sur l’organisation administrative romaine c'est-à-dire les provinces ou les cités. Nous avons les « primas », ce sont des évêques et c’est un titre honorifique en Occident (un à Lyon, primas des Gaules ; à Bourges primas d’Aquitaine ; à Narbonne primas de narbonnaise), au dessous nous avons les métropolitains à la tête d’une province ecclésiastique et ils convoquent les concils provinciaux ou régionaux. De plus, ces métropolitains ont autorités sur les évêques suffragants c'est-à-dire

géographique où s’applique une coutume. Ici, trois cas peuvent se rencontrer : 1. Le cas des zones politiquement unifiées : il est possible de ne trouver qu’un ressort de coutume. C’est par exemple le cas du Duché de Normandie. C’est un ressort très vaste. Ne s’applique que la coutume du Duché. 2. Les zones politiquement morcelées : dans ces zones, de nombreuses seigneuries banales secondaires sont juxtaposées et le ressort parfois, est très peu étendu. 3. La coexistence des deux cas précédents :

dirige l’Abbaye de St-Denis, Abbé SUGER (dirige le royaume pendant 2 ans lorsque Louis VII est à la croisade) Suger meurt en 1161, Louis VII met la dynastie capétienne en danger ; en 1137, le futur Louis VII avait épousé l’héritière du duché d’Aquitaine, Aliénor d’Aquitaine ; mariage intéressant pour la monarchie. Aliénor apportait des territoires, les provinces (Auvergne, Limousin, Poitou, Périgord, Gascogne). En 1151, Louis VII se sépare d’Aliénor en faisant annuler le mariage : Aliénor était sa

pu coexister. A Metz, ont cohabité la coutume de l’évêché de Metz et la coutume de la ville de Metz qui regroupait le plus gros de la région. Quelques fois, une principauté territoriale a pu conserver une certaine puissance. Dès le 11ème siècle, le Duché de Normandie disposait d’une seule coutume. En Bretagne, la coutume de la principauté cohabitait avec les coutumes locales. Au cours du 12ème siècle, les ressorts des coutumes se sont nettement fixés. Jusque là c’était une phase de préparation. Elles

il a peut-être l’idée que ce titre lui appartient et meurt avec lui. Donc pas de succession pour l’empire. Il n’avait rien prévu. 5 ans après le projet de succession, plus qu’un seul fils, louis. Louis est né en 778 et en 781, il est fait roi d’Aquitaine par Charlemagne. Il est installé en Aquitaine et il y a des gens qui dissent que Charlemagne ne l’aimait pas beaucoup et qu’il ne la pas formé pour sa succession pour ces raisons. En 813, Charlemagne prend la peine de le couronné par lui-même et

place alors un épisode très grave après la mort de Suger (1151) : le roi Louis 7 pour la première fois depuis le début de l’histoire Capétienne met la dynastie en danger. En effet, en 1137, le futur Louis 7 avait épousé la fille du duc d’Aquitaine (Aliénor d’Aquitaine) : mariage très intéressant car cette princesse apportait à la couronne un complément non négligeable, un certain nombre de provinces (Auvergne, Limousin, Poitou, Gascogne, Périgord). Le problème est que précisément, en 1151, Louis 7

FÉODAUX (10E-13E SIÈCLES) Durant la féodalité, le pouvoir de ban a éclaté et est revendiqué par un grand nombre de dignitaires. Le roi (HC) est toujours titulaire du ban mais d’autres princes revendiquent eux aussi ce pouvoir de ban. Le Duc d’Aquitaine, le Duc de Normandie, le Comte de Champagne sont parmi les plus influents princes territoriaux. En dessous des princes territoriaux, des Comtes se considèrent eux aussi comme indépendants. Enfin, en bas de l’échelle, dans la seigneurie banale, certains

vol. I, p. 340-341). Charte de duché, de patriciat ou de comté. La perspicacité de la clémence royale est louée dans sa perfection pour ce qu’elle sait choisir entre tous les sujets ceux que distinguent leur mérite et leur vigilance et il ne convient pas de remettre une dignité judiciaire à quiconque avant d‟avoir éprouvé sa foi et son zèle. En conséquence, comme il nous semble avoir trouvé en toi, foi et efficacité, nous t'avons confié la charge du comté, du duché ou du patriciat, dans tel pays

collective, c’est parce que l’autorité royale est défaillante. Dans le duché de Normandie la paix publique a été tenue par le duc : pas de concile de paix, ni en Flandre. Surabondamment, les grandes principautés territoriales ont toujours été en mesure de faire un contrôle de la politique religieuse : plus que le royaume. B- Clergé régulier a) Cluny Cluny est fondé en 909 par Guillaume d’Aquitaine. Il soustrait le monastère à la juridiction de l’ordinaire : l’évêque

doit compter avec la puissance des autres princes. A coté de la principauté capétienne, qui s’étend sur des comptés dont les titulaires sont les vassaux du roi, on a d’autres principautés importantes qui se sont dév. EX : le compté de Blois, le Duché de Normandie, le compté de Flandres … Cet émiettement du pv va être aggravé par la crise chatelaine. Elle touche le royaume entre 1031 et 1060. Elle va venir ébranler les principautés. Bcp d’officiers inférieurs qui commandent les garnisons au nom