Duché d'Aquitaine

ce qui va permettre au roi de permettre les terres de son domaine. b) Un domaine agrandit selon les usages seigneuriaux. Il y a d’abord quinze très grandes seigneuries, les duchés et les très grands contrés. Les six duchés, les duchés d’Aquitaine ou de Guyenne. Puis les duchés de Bourgogne, celui qui va être perdu puis reconquis. Les duchés de Bretagne, les duchés de Normandie. Il y a neuf grands comptés, le comté d’Anjou, d’Auvergne, de Blois, de Champagne, de Flandre, de Poitou, de Toulouse

le pouvoir carolingien devient de moins en moins efficace, et le roi à de moins en moins d’autorité sur le royaume très vaste, et le pouvoir centrale paraît lointain. Au cours du X° siècles, le cadre de vie pour tout individu est celui du Comté, du Duché, mais pas celui du royaume. Ce qui fait que le Royaume ne disparaît pas totalement et que la fiction du royaume reste c’est le sacre et la monarchie de droit divin, la théocratie. En effet la notion d’Etat s’efface dans la logique monarchique, mais

Jeanne d’Arc — héroïne française. 6. Parlez des spectacles Son et Lumières. 151 AQUITAINE RENSEIGNEMENTS HISTORIQUES ET GÉOGRAPHIQUES Royaume vassal de l’Empire carolingien, l’Aquitaine devint, à la fin du IXe siècle, un duché qui devint anglais quand Aliénor d’Aquitaine épousa (1152) le futur Henri II d’Angleterre. Nommée alors Guyenne, elle fut disputée par la France et l’Angleterre jusqu’en 1453. Au nord du Bassin Aquitain, les plateaux calcaires sont couverts de forêts de châtaigniers et

marquis ou duc peut lever des troupes par sa propre initiative. Après 850 de nouveaux duchés sont créés dans l’empire dont les chefs qui sont des comtes qui ont reçus autorité sur leurs comtes voisins. Exemples, Duc de Bourgogne, le Duc d’Aquitaine, Ducs Franco-Rome, Duc des Francs. Mouvement de concentration qui s’effectue dans un cadre régional. Ce mouvement n’est pas sans danger, risque pour le pouvoir central. Alors ce pouvoir central va réagir et mettre en place un instrument

Cha rtes des environs de la Rochelle, XIIIe, XIVe, siècle. Bibl. na t. ms. Iat. 9. 231 (nos 5, 6, 18, 20, 22, etc...) ne mentionnent pas d’autre culture que celle de la vigne. (2) Aveu rendu le 23 avril 1367, par Pierre de la Jarrie au “prince d’Aquitaine et de Galles” : mentionne encore cependant quelques “mareys saloins” et le mesurage du sel à Voutron. Arch. na t, P. 584, fol. 68. (3) Carte de partie de provinces de Saintonge, pays d’Aunis et Poitou, de haute mer », ms. XVIIIe siècle, Bibl. na

l'appartenance de ces régions au royaume. Afin de marquer leur nouveau statut, plusieurs de ces dirigeants abandonnent le titre de Comte qu'ils jugent trop commun pour celui plus prestigieux de Duc. C'est le cas notamment du Duc de Bretagne, de Normandie, d'Aquitaine, ou de Bourgogne. Certains de ces princes cherchent même à se faire sacrer et à accéder ainsi à la dignité royale. Ce sera le cas notamment du Duc de Bretagne. Il y aura pendant un temps très provisoire un royaume de Bretagne. L'Eglise veut préserver

vont en Anatolie du Nord pr délivrer Bohémond (emprisonné par les Danishmendites). A Est du Halys, ils sont presque tous massacrés (par les forces des Turcs + celles de Ridvan d’Alep). - Armées conduites par : Guillaume II de Nevers, Guillaume IX d’Aquitaine, Welf IV de Bavière, successivement détruites près d’Héraclée. Les « arrière-croisades » (= armées qui arrivent après la 1ère Croisade) bien que très nbreuses, échouent en Anatolie dvt les Turcs. Les secours ne pouvaient plus venir que par

l’issu du traité de Verdun et de l’avènement du royaume de francie occidentale les rois carolingiens perdent leur suprématie et sont concurrencés par cette nouvelle famille : celle des Robertiens (de Robert le fort). Charles le chauve a confié un grand duché à robert le fort. A la fin de Charles le chauve les deux familles vont se partager le pouvoir, le trône. La royauté n’est plus héréditaire mais élective. Ce sont les grands ducs qui vont décider de qui va s’assoir sur le trône. Tour à tour un carolingien

Il est le plus jeune des fils et quand il apprend la mort de son père, il est dans son royaume d’Aquitaine. Il part sans attendre pour Aix-la-Chapelle. Ce voyage a été décrit par un témoin où l’on s’est aperçu que l’accession de Louis a l’Empire a suscité un enthousiasme des petites gens — ces derniers attendaient énormément de lui. Louis le Pieu avait une bonne réputation quand il était roi d’Aquitaine auprès des évêques et des moines. En effet, il pensait au départ avoir une vie ecclésiastique étant

courant que certains grands menacent de le trahir pour élire et sacrer un autre roi que lui, il pratique alors une « politique de séduction ». Alors que encore sous Louis, l’honor n’est encore que temporaire, Eude s’attache de grands, Guillaume Duc d’Aquitaine et Richard comte d’Autun et il leur donne le titre de pinceps (prince) et leur attribue perpétuité des abbayes. Ils établissent leur hérédité sur leur charges désormais, à partir de 893 ils jouissent à l’intérieur de leur principauté d’une puissance