Duché de Bretagne

Régence d'Anne de Beaujeu, sœur aînée de Charles VIII. Etats généraux de Tours (discours de Philippe Pot) Le duc d'Orléans, futur Louis XII, s'allie avec le duc de Bretagne, François II, contre la régente : c'est la « guerre folle » Charles VIII épouse Anne de Bretagne, héritière du duché, préparant ainsi le rattachement de la Bretagne à la France Découverte du Nouveau Monde ; reprise de Grenade par les Rois catholiques sur les armées musulmanes L'époque moderne (XVIe-XVIIIe siècle) 1494 1497

CAROLINGIENS (888-911) Deux évolutions majeures entre 888 et 1108 : ( D’un point de vue territorial les frontières de 843 sont redessinées au profit de l’empire germanique qui récupère la Lotharingie puis le royaume de Bourgogne. Le duché de Bourgogne reste attaché au royaume occidental de Robert le Pieux. ( Evolution la plus surprenante = l’évolution de l’autorité royale sur ces territoires. - Dans le royaume de Germanie, pouvoir royale = pouvoir fort jusqu'à

trois grands ensembles de principautés : au nord on trouve la Flandre, à l’est la Bourgogne, au sud la Gasconne et l’Aquitaine et à l’ouest se constitue progressivement les principautés de Normandie et de Bretagne.  En Normandie, c’est le traité de Saint-Clair-sur-Epte (911) qui est à l’origine du duché de Normandie. En réalité, le roi de France, Charles Le Simple accorde des terres au chef normand, Rollon, en l’échange de sa sédentarisation et de son baptême. Comme le roi de France accorde le territoire

Wisigoths en Espagne. Après sa mort, ses fils vont faire le royaume des Burgondes et étendre leur conquête au sud de la Germanie (Bavière). D. L’installation des Anglo-saxons en Bretagne La Bretagne était une ancienne possession romaine qui ne comprenait ni l’Ecosse du nord ni l’Irlande. Au 5ème siècle, la Bretagne fut soumise aux invasions germaniques, elle fut envahie par les Angles, les Jutes et les Saxons, ils se rassemblaient sous le nom d’Anglo-saxons. Ces Anglo-saxons ne s’installèrent

Pays-Bas, le Royaume-Uni, le Royaume de Suède, la France (où ils peuvent être officiellement enregistrés auprès du ministère de la Justice), l'Italie, l'Allemagne (en tant que partie du nom), le Royaume d'Espagne, la République de Saint-Marin, le Grand-Duché de Luxembourg (où aucun titre n'est porté par un citoyen luxembourgeois sauf le Grand-Duc, mais beaucoup par des membres cadets ou non dynastes de maisons souveraines d'Europe). Dans certains États qui ont conservé une royauté, il a pu exister une

regroupe des Etats parce qu’une même personne va être le chef de plusieurs Etats. ex : en France, au 15e s, on a un royaume de France et le duché de Bretagne et en 1491 puis en 1499 Anne de Bretagne épouse successivement 2 rois de France, ça conduit à une union personnelle donc par la force de choses, on a le rattachement du royaume de France et du duché de Bretagne. 2) l’union réelle C'est une union beaucoup plus forte que l’union personnelle mais c'est parce qu’on a 2 Etats qui décident de faire

1831 : Traité de Londres reconnaissant la séparation de la Belgique et des Pays-Bas par les grandes puissances et imposant le statut de neutralité à la Belgique signé à Londres par les plénipotentiaires de l'Autriche, de la France, de la Grande-Bretagne, de la Prusse et de la Russie d'une part et par le plénipotentiaire de la Belgique de l'autre part, le 15 novembre 1831.     A la suite de la révolution de juillet 1830 en France, des troubles éclatent en Belgique le 25 août et le 3 octobre

externes qui vont affaiblir de royaume de France (invasions des Vikings…). Menace pour le roi qui va s’en tirer. Le roi de France va tout simplement donner un terrain a ces Vikings : la Normandie. (Ces fameux normands vont ensuite envahir la Grande Bretagne). Il y aura d’autres envahisseurs : les Hongrois et les Arabes, qui eux ont été stoppés à Poitiers en 792 mais vont rester au Sud de la France et à la méditerranée pendant des siècles. 1492 : reprise de l’ensemble du territoire espagnole sur

abbés —, d'où le terme Capet. Avant d'être couronné «roi des Francs» (rex Francorum), Hugues Ier était un puissant seigneur respecté; il était comte de Paris, comte d'Orléans, duc des Francs et marquis de Neustrie (nord-ouest de la France sans la Bretagne), et possédait de nombreuses seigneuries laïques et abbayes (Saint-Martin-de-Tours, Marmoutier, Saint-Germain-des-Prés et Saint-Denis). Ses alliances familiales avaient favorisé son élection comme «roi des Francs» par l'aristocratie: il était frère

incompatibles ? Pour répondre à cette question, il parait judicieux d’adopter une périodisation en deux temps. De 1814 à 1848 tout d’abord, le libéralisme et les nationalismes semblent aller de paire mais peinent à s’exprimer à une exception près – la Grande Bretagne. Le printemps des peuples s’avère être un échec pour les libéraux et les états-nations en quête d’indépendance : nous observerons dans la deuxième moitié du XIX le chemin vers une « Europe des nations », en étudiant les cas allemands et italiens