Duché de Lorraine

Brienne, Humières, Mmes du Roure et de Montausier, la princesse d'Armagnac, le duc d'Enghien, puis plus loin Madame, la ravissante princesse Henriette, et naturellemnt Monsieur, le frère du Roi, flanqué de son inséparable favori le Chevalier de Lorraine. D'autres encore qu'elle connaissait moins mais qui tous portaient sur eux un même sceau de grand luxe, de santé et d'avidité. Le roi regardait avec impatience vers un petit sentier sous bois. Deux cavaliers y venaient au pas. L'un était Philippe

trois frères, Lothaire, reçoit le titre impérial et une dotation territoriale que l’on appelle la Lotharingie (« la part de Lothaire », qui a donné Lothringen en allemand et Lorraine en français). Il s’agit à l’origine d’une bande de terres très allongée, réunissant les actuels Pays-Bas à l’Italie, en passant par la Lorraine (au sens actuel du mot), la Bourgogne et la Provence. A l’est, c’est la « Francie orientale », que l’on appelle aussi Germanie, qui forme la part de Louis – dit « le Germanique

l’Eglise qui ont fait la France Il faut rendre cette justice qu’au fil des siècles, la France s’est construite sous la double action de deux institutions : la Monarchie et l’Eglise Catholique. A l’origine, la France était un tout petit territoire, le duché de France (Ile de France), et s'étendait de Paris à Senlis, Orléans et Dreux. En 987, Hugues Capet était duc de France et comte d'Orléans. Il réunit sur ses terres, à Senlis, une assemblée de seigneurs sous la présidence de l'archevêque de Reims

métropoles et grâce à de nouvelles lignes inter-cités, parcourues par des trains à grande vitesse. En 1937, les 5 grandes Compagnies concessionnaires (Nord, Est, Paris-Orléans, Paris-Lyon-Méditerranée et Midi) et deux réseaux d’Etat (Etat et Alsace-Lorraine) furent confiés à une entreprise unique, la SNCF (Société Nationale des Chemins de Fer). A ses débuts, elle était une société d’économie mixte par actions, où le capital était réparti entre l’Etat (49%) et les anciennes compagnies (51%). A

aussi des ambitions féroces de deux reines splendides BRUNOHAUT et de la reine FRENEGONDE. Elles étaient épouses des deux petits fils de Clovis et vont épouvanter cette période Franc. BRUNOHAUT, fils du roi Wisigoth de Tolède ayant épousé le roi de Lorraine et deviendra reine d'Ostrasie. Et grégoire de Tours en parlera avec grande admiration : " C'était une jeune fille de manière très élégante, belle de figure, honnête et de bon conseil". Sa rivale, FRENEGONDE qui appartenait au nouveau royaume de la

jamais propriété privée du vassal. Au fief sont assorties des prérogatives de puissance publique, donc jamais de complète propriété du vassal. On appelle ces prérogatives « honor » Les fiefs les plus importants continuent de porter des titres : duché, comté, baronnie, etc. ces fiefs titrés sont indivisibles. C. La nature politique du fief Ensemble des terres donc ensemble des relations de pouvoir. Certains grands fiefs constituent donc des principautés, des proto-Etats, dont le roi de France

français des céréales au ministère de l’Agriculture. 1988 : responsable du financement du secteur de l’agriculture et de la pêche à la direction générale du Trésor du ministère des Finances. 1989 : directrice générale du Crédit industriel d’Alsace-Lorraine. 1996 : directrice générale du Crédit commercial de France. 2001 : maire de Strasbourg et présidente déléguée de la Communauté urbaine de Strasbourg. 2005 : sénatrice du Bas-Rhin. sans oublier les vélos, moins encombrants que la voiture. “Enfin

deviendra la France. Les terres orientales, à l’est du Rhin, sont attribuées à Louis le Germanique (la future Allemagne). Entre les deux royaumes, une longue bande de terre (de la mer du Nord à l’Italie) est attribuée à Lothaire : la Lotharingie (la Lorraine). C’est un partage entre les frères mais aussi un accord avec l’aristocratie qui a bien souvent attisé les tensions. Un lien particulier unissait carolingien et aristocratie. Ce lien était une force et une faiblesse et il explique l’échec relatif

deviendra la France. Les terres orientales, à l’est du Rhin, sont attribuées à Louis le Germanique (la future Allemagne). Entre les deux royaumes, une longue bande de terre (de la mer du Nord à l’Italie) est attribuée à Lothaire : la Lotharingie (la Lorraine). C’est un partage entre les frères mais aussi un accord avec l’aristocratie qui a bien souvent attisé les tensions. Un lien particulier unissait carolingien et aristocratie. Ce lien était une force et une faiblesse et il explique l’échec relatif

de la séparation des pouvoirs (probablement hérité de Montesquieu, que Beccaria a lu très tôt, et qui a marqué sa conversion à la philosophie : Beccaria a fait ses études à Pavie, et Montesquieu était alors très lu et abondamment commenté dans le duché d'Este). Troisième conséquence (paragraphe 3) : la cruauté des peines n'est acceptable que si elle est directement utile au bien public et ne s'y oppose pas (c'est ce principe de modération qui conduit Beccaria à s'opposer à la peine de mort). Voilà