Dumping Monétaire

est ce une mesure suffisante pour améliorer le niveau de vie de l’ensemble de la population européenne et préserver les acquis sociaux, voire les améliorer (critère qualitatif) ? Il sera démontré que, si l’euro permet d’instaurer un stabilité monétaire et une dynamique des échanges nécessaires à l’essor du marché commun (1ère partie) , elle n’en est pas moins qu’une étape de plus vers la mise en place nécessaire d’un état fédéral, tant les risques de dérapage économique sont menaçants (2nde partie)

rendent cette politique responsable des difficultés rencontrées et ils préconisent en fait une politique de relance de l'économie par l'inflation. C'est là une profonde erreur. Les difficultés que nous rencontrons ne proviennent pas de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne mais de la politique de libre échangisme de l'Organisation de Bruxelles. La meilleure preuve en est qu'en 2004 le taux moyen de chômage dans les douze pays de la Zone Euro a été exactement le même, soit 8,8 %, que

principales décisions en matière en matière de politique monétaire (via des directives) et les BCN sont charger de les appliquer. • La Banque de France -Au départ : société privée placée sous la surveillance des pouvoirs publics -En décembre 1945 : Nationalisation -Loi de 1993 : Le projet de la monnaie unique => indépendance vis-à-vis de l’Etat. Elle fixe dès lors les taux d’intérêt, principal instrument de sa politique monétaire pour assurer la stabilité des prix. -Dès 1999 : Partage

réserves de change sont des avoirs en devises étrangères détenues par une banque centrale. Elles sont utilisées par les autorités monétaires pour réguler les taux de change. Les chinois l’utilise aussi pour augmente la base monétaire (un achat de dollars est une vente de yuan, donc chaque fois que la Banque de Chine achète des dollars, elle augmente en contrepartie la masse monétaire chinoise), et elle maintient le yuan bas face au dollar, ce qui dans le cas de l'économie chinoise qui est très tournée vers

d’établissement des firmes étrangères, celles-ci vont investir massivement pour s’implanter à l’intérieur des frontières de cette union. Le taux de change flottant par exemple permet d’utiliser la politique monétaire comme moyen de relance de l'économie et de l'emploi. La stimulation de la création monétaire par une baisse des taux d'intérêt permet d'augmenter la demande dans l'économie. Cependant, d'une part, la baisse des taux d'intérêt entraîne une sortie de capitaux qui vont se placer dans d'autres pays

relance tant budgétaire que monétaire sera inutile et inefficace. « Mais les circonstancessont tout à fait exceptionnelles » affirme X.Timbeau, car « la crise financière a contredit l’idée que les marchés soientcapables d’autorégulation »(doc 5) . Une politique de relance s’avère alors souhaitable et indispensable. I.Une politique de relance est inutile et inefficace L’expérience historique des 30 dernières années montrent bien qu’une politique de relance tant monétaire que budgétairene permet pas

intéresse de plus en plus les investisseurs et cela pourrait entrainer une hausse du cours du Yuan, ce qui aurait un effet haussier sur le prix des produits importés chinois. Les Américains souhaitent que le Yuan puisse fluctuer selon le marché monétaire, et non pas seulement en fonction de leur monnaie ou d’un panier de devises. De plus, la réévaluation du Yuan permettrait aux Etats Unis une nouvelle dynamique dans le domaine des exportations, en rendant le prix de leurs produits plus compétitifs

pas obligatoirement une dépense de l'Etat. Ainsi, l'Etat peut instaurer des réglementations qui auront des effets économiques. La création de l'Euro modifie profondément le cadre dans lequel évolue les onze pays engagés. Tout d'abord, la politique monétaire est désormais conduite par la banque Centrale Européenne (BCE) et même si la politique budgétaire reste aux mains des Etats, ce changement tend à créer de nouvelles conditions pour la conduite de la politique économique. Par ailleurs, l'Euro, en

entre le budgétaire et le monétaire, c'est-à-dire le policy mix. Donc la problématique de ce sujet peut être définie comme suit : la politique budgétaire peut-elle encore être un instrument de régulation de la conjoncture notamment en cas de choc affectant un seul pays ; l’utilisation du levier budgétaire étant encore dans ce cas jugé admissible, ou bien la politique budgétaire doit-elle n’être qu’un simple instrument d’appoint s’adaptant nécessairement à la politique monétaire de la BCE devenue l’instrument

par une sous-évaluation de la monnaie Chinoise (le yuan) à en croire les autorités américaines. Cette question de la sous-évaluation du yuan est revenue sur la scène politique internationale récemment. En effet, Washington critique la politique monétaire chinoise et le président Obama semble bien décidé à s’attaquer à ce problème, malgré le fait que la Chine se défende de manipuler le cours de sa monnaie. Camille : Mais à côté de cela, la faiblesse du yuan apporte aussi des avantages certains