Duplication

denouveaux allèles, c’est le polymorphisme génique. II/ Les duplications géniques et la complexification du génome Les mutations ponctuelles ne créent pas de nouveaux gènes mais seulement de nouveaux allèles. Or, au cours del’évolution des êtres vivants, de nouveaux gènes, support de nouvelles fonctions, sont apparus.La duplication génique est un mécanisme essentiel qui a conduit à la formation de nouveaux gènes.Au cours d’une duplication, par un mécanisme génétique complexe, à partir d’un gène se

gènes présentent un lien de parenté : ils AVT OT ADH dérivent d’un gène ancestral commun. 92,6 85,2 On a donc ici trois gènes apparentés, il s’agit d’une AVT 100 (2≠) (4≠) famille multigénique. 81,5  Ces gènes sont apparus par OT 100 (5≠) - 2 duplications successives - et mutations indépendantes des différentes ADH 100 copies, transposées sur d’autres locus du chromosome 20 il s’agit de mutations ponctuelles (substitutions) AVT ADH AVT OT OT AVT Doc 3 : séquence peptidique des 3 hormones Comparaison :

consiste à obtenir deux gènes identiques à partir d'un gène ancestral est la duplication génique. 6- Les différences aujourd'hui constatées entre les gènes des globine s'expliquent par l'apparition et la fixation de mutations différentes dans les deux exemplaires du gène obtenus après duplication. Ces mutations se font de façon aléatoire, donc indépendante, pour chaque gène. La famille des globines est donc issue de duplications et diversifications de gènes. Tous les Vertébrés, à l'exception des Agnathes

la couverture brute. (soit 50%) Selon Agostini, il y aurait une surévaluation car certaines personnes parcourent plusieurs supports. Il va donc tenter de mesurer la duplication entre les supports. Il parle alors de couverture nette, qui se calcule en soustrayant la duplication à la couverture brute. Comment trouver la duplication? En calculant la probabilité (par multiplication) qu’il existe que le support a duplique les supports b, c, d mais aussi la probabilité que le support b duplique les support

Euploïdie a. Autoploïdie : duplication des chromosomes au sein de la même espèce Autoploïdes Autotriploïde -Non-disjonction de l’ensemble des chr. dans 1 gamète -2 spz fécondent 1 ovocyte -Croisement 2N x 4N EX : PdT Solanum Bananes commerciales 8 Nb impair de chromosomes gamètes génétiquement déséquilibrés Autotriploïdie : Appariement de 3 chromosomes homologues à la méiose Possibilités d’appariement ou Trivalent Bivalent Monovalent a. Autoploïdie : duplication des chromosomes au sein de

départ. PB : Comment ne pas perdre la moitié des informations à la division suivante ? -Pour conserver la totalité des informations lors de la division cellulaire, la quantité de matériel génétique double juste avant une division : C'est la duplication des chromosomes. Chaque chromosome à 1 chromatide en fabrique une deuxième identique à la première. III) L'unité d'information génétique. PB : Comment expliquer qu'avec le même caryotype, chaque individu d'une espèce soit unique et que les

le nom de reprographie. La reprographie comprend la duplication et la reproduction. I- La duplication Elle est un procédé de multiplication de document qui exige la confection d’un support intermédiaire appelé cliché. On obtient grâce à ce cliché, de nombreux documents qui ressemblent à l’original. La duplication regroupe : ✓ La duplication à alcool, ✓ La duplication à encre ou à stencil, ✓ La duplication offset. Les 2 premières méthodes sont anciennes et

concept d’empreinte parentale 1-Parthénogenèse non viable chez les mammifères Grossesses pathologiques Diandrie Dvpt d’un œuf sans génome maternel 46 ou 23 23 23 Parthénogenèse féminine Dvpt d’1 œuf non fécondé après activation spontanée et duplication du PN femelle Fécondation normale 23 23 23 Môles hydatiformes: dvpt anarchique du tissu extra-embryonnaire trophoblastique ( évoluant parfois vers la malignité), et svt par 1 absence de dvpt embryonnaire Tératomes ovariens: Dvpt

différences : 41.6 ou 41 % car il y a eu des duplications et beaucoup de mutations.car il y a très longtemps. Pour les scientifiques, un tel degré de similitude pour R et V ne peut être du au hasard et atteste d’une origine commune. Donc, les opsines M et L sont issues d’une duplication d’un gène ancestral qui a eu lieu chez le dernier ancêtre commun des primates de l’ancien monde. (23 Ma) A partir d’une opsine ancestral, il y a eu duplications et mutations pour obtenir des opsines dérivées

génome) sont différents. I. Les duplications à l’origine de la complexification du génome : Comme on l’a déjà précisé dans l’introduction, l’une des caractéristiques des gènes des familles multigéniques est d’occuper des loci différents. Argument : Ceux de LDH-A et LDH-C sur la paire N°11 et celui de LDH-B sur la paire N°12. Interprétation : Les trois gènes de la famille de la LDH sont donc issus de la duplication d’un gène ancestral. Cette duplication permet la multiplication des gènes