Durban

internationaux après l'apartheid 1995 : coupe du monde de rugby 1996 : coupe d'Afrique des nations 2003 : sommet de la Terre à Johannesburg 2010 : coupe du monde de football 2011 : conférence des nations unies sur le changement climatique à Durban Ceci montre la capacité du pays à organiser des grands événements mondiaux dans des domaines variés. Ils sont coûteux ( nécessitent des infrastructures ), donc cela montre que le pays n'est pas pauvre. Le rapprochement transcontinental : le groupe

en 2003). Cependant, ces échanges étaient plus importants avant les guerres civiles (6,8 millions de tonnes en 1973) dus à la concurrence des ports sud Africains. C. Un port largement concurrencé par les ports sud-Africains de Richard Bay et de Durban. - Une croissance du port à relativiser : La reconquête de l’arrière pays n’est pas achevée (les flux restent en deçà de ceux de 1974 qui atteignent jusqu'à 14,2 millions de tonnes contre 10 millions environ en 2003). A cause des infrastructures

meilleure efficacité si une économie durable était adoptée, des accords internationaux sont nécessaires et notamment une aide pour les pays en développement qui, en étant « l’usine du monde » polluent plus que les pays développés. La conférence de Durban confirme cela en allant vers une coopération Nord-Sud avec ce que l'on appelle un «fond vert», un mécanisme de lutte contre le changement climatique et notamment contre la déforestation. En échange d'un arrêt, ils percevraient une indemnisation.

La crise économique mondiale qui a débuté en 2009 n’est pas favorable à l’optimisation des effets économiques de la Coupe du monde en Afrique du Sud, les enquêtes régulières menées par la société African Response7 auprès d’un panel de citoyens de Durban, Johannesburg, Pretoria et Cape Town montrant que 63  % d’entre eux considéraient que cela affecterait négativement le tourisme associé à l’événement. ” Des enjeux sociaux et sportifs à long terme Les enjeux sur la longue période portent également

prolongation du protocole de Kyoto, dont la première phase doit s’achever en 2012: le Japon, la Russie et le Canada réclamaient la ratification des deux principaux pays consommateurs mondiaux, la Chine et les Etats-Unis. Lors de la Conférence de Durban en décembre 2011, les Parties se sont entendues sur une feuille de route visant un accord en 2015 englobant tous les pays pour lutter contre le réchauffement climatique. Cet accord devrait entrer en vigueur à partir de 2020. En 2012, la prolongation

de 1990. Pour arriver à ce résultat global, les quotas diffèraient selon les pays. Des permis négociables ont été institués pour permettre aux pays qui polluent plus d’acquérir des droits à polluer auprès de pays qui polluent moins. Les accords de Durban, fin 2011, prolongent le protocole de Kyoto jusqu’en 2020. Ils prévoient que tous les pays, quel que soit leur niveau de développement, participeront à l’effort mondial de lutte contre le changement climatique et prendront des engagements, à partir

souffrance n'est pas héréditaire. On peut voir une captation de la mémoire des victimes en une ressource politique pour le présent (mémoire des victimes sacralisée et qui engendre inévitablement une concurrence des victimes – Ex: Sommet de l'ONU de Durban contre le racisme en 2001 -> Affrontements entre les défenseurs de la cause de l'esclavage, de la mémoire de la Shoah et ceux de la cause palestinienne). Cette concurrence des victimes contribue à banaliser les souvenirs, chacun se réclamant du vocabulaire

restent relativement difficiles à mettre en place en cas de silence ou de peur des victimes. Au plan international, l’accusation de racisme est galvaudée par ses débordements politiques : ainsi l’échec de la conférence mondiale contre le racisme de Durban, en septembre 2001, dont les débats se sont focalisés sur l’affrontement israélo-palestinien, la nature du sionisme (assimilé à une certaine époque à du racisme) et la question de l’indemnisation du continent africain pour l’esclavage, montre que

et autorisé par la loi , de ne pas atribuer les memes droits a l'ensemble de la population . ( contrairement a la situation actuelle de la république Francaise .) « Aux termes de l’article 37 de l’arrêté municipal concernant les plages de Durban, ces eaux de baignade sont réservées uniquement aux personnes appartenant à la communauté raciale blanche » « Pour L’USAGE DES PERSONNES BLANCHES / Ces locaux publics et les installations et services qui y sont rattachés sont réservés à

dernières Conférences des parties sont : * La Conférence de Bali (COP13) en 2007 * La Conférence de Poznań (COP14) en 2008 * La Conférence de Copenhague (COP15) en 2009 * La Conférence de Cancún (COP16) en 2010 * La Conférence de Durban (COP17) en 2011 * La Conférence de Doha (COP18) en 2012 L’objectif cette année de la conférence de Doha est de limiter le réchauffement de la planète à 2 °C d’ici 2020. Cette conférence doit permettre aussi de renouveler et de faire évoluer