Durban

(Swaziland) • Lusaka (Zambie) • Harare (Zimbabwe) Autres villes principales et capitales économiques Abidjan (Côte d'Ivoire) • Alexandrie (Égypte) • Blantyre (Malawi) • Casablanca (Maroc) • Cotonou (Bénin) • Dar es Salam (Tanzanie) • Douala (Cameroun) • Durban (Afrique du Sud) • Johannesburg (Afrique du Sud) • Lagos (Nigeria) • Le Cap (Afrique du Sud) • Port-Gentil (Gabon) • Serrekunda (Gambie) Portail de l'Afrique ; en italique : territoires non-indépendants et pays dont la souveraineté ne fait pas

Quatre sommets ont abouti au lancement officiel de l'UA : - Conférence des Chefs d'Etats, tenue à Syrte (1999) : décision de créer l'UA - Sommet de Lomé (2001) : Acte Constitutif de l'Union adopté - Sommet de Lusaka (2002) : programme - Sommet de Durban (2002) : session inaugurale et lancement officiel de l'UA C. Symboles L'emblème : L'emblème est composé de deux feuilles de palmier se dressant de chaque côté à l'extérieur d'un cercle doré. Elles représentent la paix, le cercle doré faisant

forme d'urgence avec l'anniversaire des 150 ans de l'abolition de l'esclavage en 1998, année où les manifestations et les commémorations ont été extrêmement nombreuses. Quelques années plus tard, la conférence de l'ONU sur les droits de l'Homme à Durban a officiellement qualifié l'esclavage de crime contre l'humanité. En parallèle, l'idée a progressé en France pour, à terme, donner lieu à la loi Taubira votée unanimement le 10 mai 2001. b) Le CPME, Comité Pour la Mémoire de l’Esclavage :

privant de ses forces => entrave à son développement. Mais politiques africains veulent tirer profit d'un sentiment de culpabilité => interêt matériel et pour dédouaner les africains de leurs propres responsabilités. 2001 conférence internationale à Durban, revendications de plus en plus violentes. B/ L'impact spatial de a traite 1.Des vides et des pleins La traite a eu des conséquences géographiques dans la répartition des hommes, dont populations ont cherché refuge dans des reliefs difficilement

à surmonter Conclusion Bibliographie Annexe Introduction Héritière de l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), l’Union africaine (UA) a vu le jour à l’occasion du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement le 9 juillet 2002 à Durban (Afrique du Sud). La nouvelle organisation panafricaine, tirant des leçons du bilan très critiqué de l’OUA (1963-2002), affiche dans son Traité constitutif (adopté le 11 juillet 2000) de grandes ambitions en matière de promotion de l’intégration politique

engagements / mise en place d’une politique environnementale pour donner l’exemple. 1997 : Kyoto. 2001 : Conférence de Goteborg > mise en place d’une stratégie européenne de dvpt durable. 2009 : sommet de Copenhague / 2010 : Cancun / 2011 : Durban > piétinement, priorité à la croissance. 1990 – auj : -14% d’émissions de C02. L’Europe et les défis humains : 1914 : 25% de la pop mondiale / 2012 : 8% / 2050 : 5%. Irlande : 2,07 / France : 2,03. Age médian : 32 à 40 ans en 35 ans. 2008 :

Dakar mais si le nom reste, ce sera en tant que label, car toute l‘histoire du Dakar ne saurait s‘effacer. L’Afrique encore et toujours ? Une autre solution est proposée par le Sud-Africain François Jordaan. Ainsi le Dakar pourrait se dérouler entre Durban et Le Cap, sur un circuit de 10 000 km à travers les dunes de Namibie. 5. Critiques De prime abord, nous serions tentés d’adhérer complètement à la décision d’annulation du Dakar 2008. En effet, la sécurité est, et doit toujours rester, le

par plus de 180 pays, il a cependant laissé ouvertes des brèches importantes dans son application, notamment parce que les États-Unis, responsables à eux seuls d'un quart des émissions de GES dans le monde, ne l'ont jamais ratifié. La conférence de Durban, en 2011, a certes prévu un prolongement à ce protocole, mais le texte reste flou sur les contraintes juridiques qui permettraient de garantir l'application d'un véritable plan de réduction des émissions. Les politiques climatiques restent donc encore

turpitude » (p.53). Selon l’auteur, la haine de l’Occident a malheureusement des conséquences tristes sur le dialogue entre le Nord et le Sud. Il explique ceci en parlant de l’échec de la Conférence mondiale de l’ONU contre le racisme tenue à Durban en 2001. Echec due selon lui à l’opposition entre les peuples du Sud, partisans d’une justice réparatrice mais aussi de repentance, et les Occidentaux étrangers à leurs revendications. L’auteur dépeint un Occident arrogant, incapable de reconnaître

                      21 Grégoire Allix, « Optimisme après l'accord sur le climat à Cancun », in Le Monde. Article paru dans l'édition Accord de Cancun, 1à Décembre 2010 du 12 Décembre 2010. 22   12   Conférence de Durban, qui aura lieu en fin 2011), le processus se poursuit et les États doivent désormais se montrer plus déterminés à agir sur le plan national et doivent surtout agir pour plus de coopération internationale. Chaque État doit commencer à se défaire du