Durkheim Crime Normal

sanction est morale. A l’inverse, la sanction juridique se vit de l’extérieur et n’est pas morale. B – DROIT ET RELIGION : UNE FIN COMMUNE. Si le droit et la religion on le pouvoir de sanction en commun, ils ont aussi une fin commune. Selon Emile DURKHEIM « la religion est le reflet de l’ordre social », cependant qui assure l’ordre social ? Le droit donc l’Etat. Les sociétés occidentales ont très souvent tendances à penser que l’Etat et l’Eglise sont deux blocs totalement distincts et sans rapports

lumière un des côtés d'absurdité morale et sociale les plus frappants, modifiaient peu à peu l'état d'âme général à l'égard des idées nouvelles sur la genèse du crime, comme sur la fonction clinique de préservation sociale contre les différentes formes de pathologie individuo-sociale, telles que folie, suicide, alcoolisme, prostitution; crime, etc. D'autre part, même dans l'enceinte plus ou moins close des laboratoires scientifiques, des congrès, des revues, etc., plusieurs malentendus sur la

transmission biologique de don et dangereux pour la sociologie. Pour lui, les comportements complexes ne se transmettent pas biologiquement (cette notion pourrait servir de prétexte pour parler de déficience et des ≠ sociologiques). 1858-1917 : Emile Durkheim, père fondateur de la sociologie est le 1er à tenter de la différencier de la psychologie en montrant que la société s’impose à l’individu à travers la socialisation. Objet des sciences sociales et ambition théorique. Le point de départ, le parti

Il s’intéresse aux anormaux jusque dans les 60-70’s. Puis après il s’intéresse à la criminalité dans devoir et punir. Foucault a été nommé assez jeune au collège de France, en 1979. Etre fou c’est être hors norme = définition de Canguilhem, le normal c’est ce qui est régulier et habituel mais aussi l’idéal. Le pbm c’est qu’il ne peut y avoir des normalités moyennes, des comportements et des réflexions moyennes. Claude Bernard rit des physiologistes car ils fondaient leur définition de la normalité

encombrant, celui de l'idée de déficit. L'étiologie du crime organisé se base en effet, depuis plus d'un siècle, sur des catégories telles l'archaïsme et l'absence de l'État (Lombroso) ; cancer, pathologie et manque de contrôle (Durkheim) ; manque d'opportunités pour les classes défavorisées, déviance culturelle (école de Chicago) ; subculture (Cohen). Il s'agit de catégories qui font référence au paradigme du déficit, selon lequel les causes du crime doivent être recherchées là où un manque se manifeste

qui servent de justification de la peine; b) les finalités ou les buts assignés aux peines, comme ensemble d'intérêts que la société veut défendre ou promouvoir, comme par exemple: le maintien de l'ordre social; la réparation du trouble causé par le crime; la stimulation de la cohésion sociale ou le rappel de certaines valeurs fondamentales; la resocialisation des délinquants; la protection des victimes; etc. c) les fonctions des peines ou les rôles effectivement joués par les peines dans une société

Suis-je normal ? Vous n’aurez certainement jamais de réponse pourtant c’est la première question que vous poserez chez un psychologue. Le normal existe-il vraiment ou est-il simplement une création de l’homme ? Être normal signifit répondre à des normes, être conforme à une moyenne, rentrer dans un rang correspondant à un ensemble d’individu partageant les mêmes principes. Le normal est temporel, et change constamment selon les époques, les générations, les périodes de nos vies ; par exemple un adsolescent

des criminels nazis à Nuremberg, nous ne pensons pas que la justice n’exprime là que la loi du plus fort, mais que le mal est dénoncé en tant que tel. Quand nous entendons qu’une femme maltraite physiquement ses enfants nous ne pensons pas que ce crime est simplement relatif à une culture, nous pensons que c’est mauvais en soi. Dans tous ces cas et dans d'autres, l'homme ne s’interroge pas : il semble affirmer à travers toutes les civilisations un socle de valeurs communes qui fonde notre moralité

Patricia BRIANT Assistante sociale S.I.O.E. L’INTERDIT DE L’INCESTE LE DROIT ET L’INCESTE : APPROCHE HISTORIQUE Considéré comme un crime et un sacrilège au début du 18ème siècle alors que le droit restait très empreint de morale chrétienne, l’inceste pouvait être puni de mort (bûcher ou pendaison). Après la révolution, tendance qui se confirmera au 19ème siècle, les vices et péchés sont laissés au domaine de la morale individuelle, la loi se bornant à intervenir contre les actes sexuels délictueux

quand l’homme criminel devenait un nouveau champ de connaissances scientifiques. Le problème en criminologie est qu’on ne s’est pas toujours posé la même question. Tout d’abord on s’est demandé pourquoi le crime puis dès 1970 on s’est orienté vers une nouvelle question : qu’est-ce que le crime ? À l’origine la criminologie était un raisonnement fondé sur le pourquoi : les raisons du passage à l’acte avec l’idée de faire une différence entre les délinquants et les non délinquants. La réponse s’est