Duron

montrer qu’elle n’accède pas au temps pur, qu’il appelle la durée. Il reconnaît néanmoins la difficulté : « nous éprouvons une incroyable difficulté à nous représenter la durée dans sa pureté originelle ; et cela tient, sans doute, à ce que nous ne durons pas seuls : les choses extérieures, semble-t-il, durent comme nous, et le temps, envisagé de ce dernier point de vue, a tout l’air d’un milieu homogène » (Ibid., p. 79-80). Mais il convient de lutter contre cette difficulté, car le temps comme réceptacle

il vaut mieux subir tout ce qui pourra être ! Que Jupiter t’accorde plus d’un hiver, ou que celui-ci soit le dernier, qui, maintenant, brise la mer Tyrrhénienne contre l’obstacle des falaises rongées, sois sage, filtre tes vins, et, puisque nous durons peu, retranche les longs espoirs. Pendant que nous parlons, voilà que le temps jaloux a fui : cueille le jour, sans te fier le moins du monde au lendemain. » L’épicurisme du poème d’Horace se retrouve également dans le sonnet de Ronsard : le sonnet

montrer qu’elle n’accède pas au temps pur, qu’il appelle la durée. Il reconnaît néanmoins la difficulté : « nous éprouvons une incroyable difficulté à nous représenter la durée dans sa pureté originelle ; et cela tient, sans doute, à ce que nous ne durons pas seuls : les choses extérieures, semble-t-il, durent comme nous, et le temps, envisagé de ce dernier point de vue, a tout l’air d’un milieu homogène » (Ibid., p. 79-80). Mais il convient de lutter contre cette difficulté, car le temps comme réceptacle

montrer qu’elle n’accède pas au temps pur, qu’il appelle la durée. Il reconnaît néanmoins la difficulté : « nous éprouvons une incroyable difficulté à nous représenter la durée dans sa pureté originelle ; et cela tient, sans doute, à ce que nous ne durons pas seuls : les choses extérieures, semble-t-il, durent comme nous, et le temps, envisagé de ce dernier point de vue, a tout l’air d’un milieu homogène » (Ibid., p. 79-80). Mais il convient de lutter contre cette difficulté, car le temps comme réceptacle

Dechartre, Mme Dieulangard, MM. Duharcourt, Duquesne, Gentilini, Le Gall, Mandinaud, Masanet, Mme Morin, MM. Obadia, Roulleau, Sylla. Groupe de l'UNAF – Mme Basset, MM. Brin, Guimet, Mmes Lebatard, Petit, Therry, M. de Viguerie. Groupe de l’UNSA - MM. Duron, Martin-Chauffier, Olive. I - 50 Ont voté contre : 76 Groupe de l'agriculture - MM. de Beaumesnil, Couturier, Ferré, Giroud, Layre, Pinta, Vasseur. Groupe de l'artisanat - MM. Alméras, Dréano, Duplat, Lardin, Liébus, Martin, Paillasson, Pérez

montrer qu’elle n’accède pas au temps pur, qu’il appelle la durée. Il reconnaît néanmoins la difficulté : « nous éprouvons une incroyable difficulté à nous représenter la durée dans sa pureté originelle ; et cela tient, sans doute, à ce que nous ne durons pas seuls : les choses extérieures, semble-t-il, durent comme nous, et le temps, envisagé de ce dernier point de vue, a tout l’air d’un milieu homogène » (Ibid., p. 79-80). Mais il convient de lutter contre cette difficulté, car le temps comme réceptacle

rigths reserved - Quel matériel pour Linux ? 1. L’architecture Linux existe pour au moins trois architectures matérielles courantes : . x 8 6 pour les ordinateurs dont les processeurs sont du type Intel (du 386 au Pentium 4) ou AMD (Athlon, Duron, Sempron) 32 bits. Cette version fonctionne aussi sur les machines à base de processeurs 64 bits. . x 8 6 _ 6 4 pour les ordinateurs dont les processeurs sont du type Intel (Pentium 4 à partir des séries 600, Xeon, Dual Core/Quad Core) ou AMD (Athlon

Reynaud, Mme Videlaine. Groupe des Français établis hors de France, de l'épargne et du logement - M. Clave. Groupe des personnalités qualifiées - MM. Aillagon, Aurelli, Mmes Cuillé, Douvin, MM. Ferry, Masanet, Plasait, Vigier. Groupe de l’UNSA - M. Duron. . RAPPORT présenté au nom de la section des activités productives, de la recherche et de la technologie par M. Léon Salto, rapporteur II - 3 Le 28 mars 2006, le Bureau du Conseil économique et social a confié à la section des activités

montrer qu’elle n’accède pas au temps pur, qu’il appelle la durée. Il reconnaît néanmoins la difficulté : « nous éprouvons une incroyable difficulté à nous représenter la durée dans sa pureté originelle ; et cela tient, sans doute, à ce que nous ne durons pas seuls : les choses extérieures, semble-t-il, durent comme nous, et le temps, envisagé de ce dernier point de vue, a tout l’air d’un milieu homogène » (Ibid., p. 79-80). Mais il convient de lutter contre cette difficulté, car le temps comme réceptacle

font qu'un, un instrUilent de dooi.nc:tion. 1.3 RU.l2.t~~ Q.v~c_l~sJ>l:n.1i.s.u~s_n.!!c~str21~s_:ÈtQ.t_d~ .§.Y..ê.~D~ .2.11_1.224. Nous sentons encore cette rupture avec les tro.ditions encestraIes inco,-~atibles c.vec le culte du Dieu Ullique dûrons ln société BaDoun. lors~ue nous consi- - 36 - Queli,ues excmples nous donneront un en ce r~ui éclaircisso~~ent : d' c.bord concerno los funérc.illos. Au 10nderK:'.in (l,e 1[', [Jort du Roi NJOYA, le pre2ier converti par excellence dnns son