Dynamique Régulation Et Crises Du Regime De Croissance Fordiste

El Makrizi se penche sur le fonctionnement de l’économie et des crises économiques dans ses aspects monétaires et sociaux. Une mauvaise gestion monétaire a, selon El Makrizi, des effets néfastes sur la production et la circulation des biens ; ceci peut induire à des crises économiques (comme l’inflation) et sociales (comme le chômage et la détérioration de pouvoir d’achat des travailleurs). Il lie aussi la survenance des crises à la corruption de l’Etat et de ses fonctionnaires par l’augmentation

la raison d’être de l’homme par le travail dit l’auteur «  Par le travail nous spiritualisons nos existences » La centralité du travail dans la pensée de PROUDHON en fait un précurseur dans la sociologie du travail. Marx car il est l’économiste du régime capitaliste, occupe une place privilégiée dans le patrimoine de la culture sociologique. La conceptualité du travail qu’il développe est différente de celle de PRUDHON. MARX oppose le vrai travail qui est l’essence de l’homme à la réalité du travail

les exportations grâce aux subventions versées aux entreprises exportatrices et des privilèges envers certaines manufactures → limiter les importations: politique protectionnistes avec droit de douanes élevés 4) Portée a. l'explication de la croissance = en terme d'offre: il suffit que l'offre de facteur de production, travail et capital financier augmentent pour que la production augemente. → influence de la demande selon Pierre de Boisguilbert: la fiscalité injuste pénalise la grande masse

poussé possible. Elle permet de créer plus de richesse, et permet aussi le développement du système marchand. Cette division créer une dynamique très positive du point de vu de la croissance économique. Si on veut produire plus, on peut employer plus, ou investir plus, mais également améliorer la rentabilité. Croissance extensive : plus de travailleurs, ou croissance intensive : on organise mieux la production, sans dépenser plus( caractéristique des pays avancé). Conclusion : Le travail

LA REGULATION DE L'ECONOMIE MONDIALE DEFINITION THEORIQUE ET RESULTATS EMPIRIQUES Ce texte "montre" par un assez long détour de raisonnement que la régulation de l'économie mondiale n'est actuellement pas assurée, dépeint quelques conséquences de cette lacune et suggère quelques pistes de reconstitution d'une gouvernance de l'économie. Par rapport aux tendances les plus fréquentes de l'abondante littérature sur la question, ce texte se démarque doublement : * il ne cherche pas la réponse dans

NORD/LB NORDDEUTSCHE LANDESBANK GIROZENTRALE WestLB Mais comment libérer toute la dynamique de ces forces ? Toute une série d'initiatives sera nécessaire pour établir les règles et les cadres permettant de passer à une économie du savoir mondiale et durable. Mais, par dessus tout, les décideurs, que ce soit au niveau des gouvernements, des entreprises ou de la société en général, devront faire des efforts extraordinaires pour encourager l'innovation permanente, la créativité et

..................................................................................................192 4. Les biens publics ....................................................................................................205 5. Migration et croissance ..........................................................................................208 6. Doit-on craindre un retour du protectionnisme ? ...................................................220 7. La mobilité des facteurs de production

Traité de Versailles) & asiatique (le Japon tentant d’envahir la Chine fait 10 M de morts avant de tenter d’expulser les occidentaux du pacifique, d’où la guerre de Pearl Harbour en 1941. Enfin dans l’entre – deux – guerre, il n’y a pas eu de régulation internationale. Il y a avait pourtant une puissance économique dominante qui était la puissance maritime avant 1914 (le R – U) mais le pays est affaibli par la guerre. Il n’y a donc ni les moyens ni la volonté de jouer ce rôle régulateur. [Neville

depuis les années 1970 résulte d’une double évolution. D’une part, la théorie néoclassique de la firme a progressivement été remise en cause, au profit d’approches plus réalistes. D’autre part, de nombreuses transformations ont déstabilisé la firme fordiste, modèle de firme dominant pendant la période dite des « trente glorieuses ». Pour la théorie néoclassique, courant associé à la microéconomie traditionnelle, la firme est appréhendée uniquement en termes technologiques ; elle est assimilée à une

Traité de Versailles) & asiatique (le Japon tentant d’envahir la Chine fait 10 M de morts avant de tenter d’expulser les occidentaux du pacifique, d’où la guerre de Pearl Harbour en 1941. Enfin dans l’entre – deux – guerre, il n’y a pas eu de régulation internationale. Il y a avait pourtant une puissance économique dominante qui était la puissance maritime avant 1914 (le R – U) mais le pays est affaibli par la guerre. Il n’y a donc ni les moyens ni la volonté de jouer ce rôle régulateur. [Neville