Dynastie Capétienne

Robertienne et c’est la première fois que la royauté carolingienne est bafouée par les grands du royaume. A partir de là on a une alternance entre les Robertiens et les carolingiens. Et puis en 987, les grands du royaume élisent Hugues Capet. Les Capétiens viennent d’arriver sur la scène pô. Il est descendant de la famille ancienne. Il est assez prestigieux mais en même temps il n’est pas très puissant. Jusqu’au 12ème siècle, aux alentours de l’an 800, la situation de la royauté est assez peu brillante

statutaire. A. La succession royale, une réalité spécifique. 1. Le principe de masculinité et de collatéralité. L’hérédité du fils aîné a fonctionné sans heurt ni défaillance jusqu’au début du XIVe siècle, c’est ce qu’on appelle le miracle capétien. Les difficultés apparaissent lorsqu’une rupture de cette chaîne héréditaire survient en 1316 à la mort de Louis XI, dit le Hutin et fils de Philippe Le Bel, deux après son accession au trône. a. La première étape : la mort de Louis XI.

Navarre n’était pas français, descendant de capétiens, Navarre n’était pas inclus dans le royaume de France. Donc Henri de Navarre aussi pouvait apparaitre comme un prince étranger. Le terme étranger doit avant tout être compris comme étranger au sang Capétien, selon la conception de cet époque l’arrêt Lemaistre considère comme étranger du point de vue de la couronne, non pas le roi né et vivant à l’étranger mais la personne qui ne descend pas des capétiens par les hommes. Ne tombons pas dans l’excès

limites du pouvoir royal (I) puis dans un second temps la renaissance de la royauté (II) 1) Les limites du pouvoir royal Au XIIème siècle, le roi est considéré comme un seigneur au même titre que les autres et ça depuis l’accession des capétiens sur le trône en 987, en effet le roi est un simple acteur au sein du système féodaux-vassalique mais un acteur qui se place au sommet de la hiérarchie grâce au sacre. Nous verrons dans un premier temps que le système féodaux-vassalique au XIIème

succession simple. La règle qui se substitue à la volonté est la coutume. Contenu : ⁃ « mâles premiers nés » : notion de primogéniture mâle ⁃ quand il n'y a plus de descendant, on recherche des descendants collatéraux Cette coutume vient du miracle capétien : vient du 11e siècle lorsque la reine Constance essaie de faire monter son second fils sur le trône. Justification de la règle : par la « loi » romaine. Il cherche un précédent et le trouve dans les Institutes : faute de testament, la succession

B/. Des règles fixées par des textes : la masculinité et la catholicité Dans la lignée d’Hugues Capet, le problème de la masculinité ne se posait pas, car il y avait toujours un fils pour succéder au Roi, à ce propos l’expression de « miracle capétien » est souvent utilisée. Cependant, le problème se posa avec Louis X dont le seul fils décéda rapidement, il ne laissait qu’une fille pour lui succéder. Le problème se reposa par la suite vers 1630. Des juristes dont Pierre Le Scot décident alors

contemporains mais qui a pourtant marqué un tournant dans l'histoire, en effet jusqu'à présent l'association du roi au trône se faisait par élection ce qui donnera lieu à une alternance au pouvoir entre les deux grandes familles des Robertiens et des Capétiens mais Hugues Capet mit fin à ce système électoral et mit en place l'hérédité concernant la transmission de la couronne en désignant son fils roi de son vivant. On évoque le principe de la transmission de la couronne et non du trône car cette dernière

également rois d’Angleterre (on parle d’empire Plantagenêt) Tout le sud du royaume (Occitanie) échappe à l’influence royale et regarderait plutôt en direction des royaumes du nord de l’Espagne. A l’est, l’empire est à cette date peu favorable aux Capétiens Dans le nord de la France, des zones comme le comté de Boulogne ou comté de Flandres mènent une politique ambiguë souvent peu favorable à la France. Philippe Auguste va réussir une série de coups de maître. Il brise la puissance des Plantagenêt

La Guerre de Cent Ans | | Le lys et le léopard Les Capétiens directs, en écartant les femmes du pouvoir, ont cédé la place aux Valois avec Philippe VI. Mais le roi Edouard III d’Angleterre est le petit-fils de Philippe le Bel, et il estime que la couronne de France lui revient. En 1328, Philippe VI, le cousin des trois derniers souverains, monte sur le trône de France sans ignorer que les difficultés successorales qui ont préludé à son couronnement ont très sérieusement aggravé les relations

prendre la succession du roi défunt. Deux hypothèses se firent entendre, d’une part, le fils de la sœur du roi défunt, «  Edouard, roi d’Angleterre, son neveu » paraissait légitime, étant le plus proche du roi par le sang, ainsi que descendant des Capétiens en ligne directe. Contre lui, s’éleva « Philippe de Valois son cousin », le fils du frère de Philippe le Bel, et donc cousin germain du roi défunt. Edouard III était donc plus proche du roi défunt en parenté, mais il tenait celle-ci de sa mère.