Dynastie Sui

s'intéressait aux Égyptiens. Dans la civilisation arabo-islamique, Ibn Khaldoun, dans son ouvrage Muqaddima, introduit une méthode précise et critique des sources et met les évènements en perspective pour déterminer les causes de la montée et du déclin des dynasties arabes. Certains le considèrent comme le véritable père de la sociologie. Ainsi, Ludwig Gumplowicz, professeur de sciences politiques à l'Université de Graz, dans un ouvrage intitulé Aperçus sociologiques publié à Paris en 1900, rapporte qu'« un

militaire. La citoyenneté est en principe perpétuelle. Mais on peut la perdre à la suite d’une condamnation au pénal ou d’un changement de conditions (perte de la liberté par exemple). Sous l’Edit de Caracalla en 212, presque tout le monde est citoyen. Ce sui nous pousse à nous demander si la citoyenneté a encore un sens. Oui car à Rome la citoyenneté signifie en premier lieu que des hommes libres adhèrent et se soumettent à la souveraineté romaine, à l’imperium des magistrats (pouvoir de commandement des

l’application du droit qui était cantonnait aux voleurs et aux barbares qui symbolisaient la rupture de la sérénité sociale. Selon cette légende, le droit a été inventé par un peuple barbare (les Mia) qui ont été exterminés par Dieu. Le caractère sui generis de la culture juridique chinoise  empreint de morale renforcée par le fait que le magistrat est un administrateur donc un juriste. 4 livres : La grande étude, l’invariable milieu, les entretiens de Confucius et le maintus. 5 classiques :

dans le sens de leurs intérêts. On distingue une première dynastie : - les Mérovingiens (Clovis, Dagobert, Childéric) : le premier Childéric né en 457 et le dernier va décéder en 751) Cette dynastie n'a pas survécu à cette idée de patrimonialité du pouvoir il y a eu un premier partage du Royaume de Clovis en 551 et un deuxième en 561. On va aussi parler des rois fainéants, par opposition à Clovis qui était un guerrier. Dans cette dynastie existe quand même des points positifs : on peut relever que

c’était Agblo Tchikoton, un des éminents fondateurs de la dynastie des Houenou (Quenum). Lorsque l’oracle a été rendu et qu’on en a annoncé le résultat, plusieurs personnes se seraient écriées : « Ce n’est pas possible ! Il n’est jamais venu!» C’était en effet la première fois qu’il se manifestait et que l’oracle le révélait. Mon grand père vite informé était venu ; Agblo-Tchikoton était son oncle, mais aussi, véritablement, la racine de la dynastie. À l’envi, mon père, ma grand-tante Tangni Bonin et

s'intéressait aux Égyptiens. Dans la civilisation arabo-islamique, Ibn Khaldoun, dans son ouvrage Muqaddima, introduit une méthode précise et critique des sources et met les évènements en perspective pour déterminer les causes de la montée et du déclin des dynasties arabes. Certains le considèrent comme le véritable père de la sociologie. Ainsi, Ludwig Gumplowicz, professeur de sciences politiques à l'Université de Graz, dans un ouvrage intitulé Aperçus sociologiques publié à Paris en 1900, rapporte qu'« un

entières qui se déplacent. Mais cela évolue, les lètes fondent leur famille aux limes de l’EROC et se montre de moins en moins attaché à la défense de l’Empire. Rome invente donc une nouvelle tactique, ne pouvant plus compter sur ses lètes, tactique sui entrainera sa chute : la pression des barbares continuent et Rome doit trouver de nouveaux renforts au sein de l’empire en s’attachant à de nouveaux barbares, Rome accepte donc au 4-5e s des tribus entières de barbares. Rome passe un traité – foedus

compilation de Justinien C - Le renouveau de la coutume sous le Bas Empire §3 - La naissance du droit de l'Eglise DEUXIEME PARTIE – LE PLURALISME MEDIEVAL CHAPITRE 1 – DROIT ET JUSTICE A L'EPOQUE FRANQUE (Vème-Xème) Section 1 - Droit et justice sous la dynastie mérovingienne (Vème-VIIIème siècle) §1 - La personnalité des lois A - Les origines du système, les lois personnelles 1 - Les lois barbares 2 - Les lois romaines des barbares B - L'application du système 1 - Les conflits de lois 2 - Le déclin

des PARTHES. Ils envahissent la Hongrie actuelle, Rome réussi à les repousser mais c’est là une première alerte. II/ Le troisième siècle, le temps du trouble. Il y a une quadruple crise. La première est politique, Rome a connu de nombreuses dynastie, après la mort du dernier Sévènes, on rentre dans une période d’anarchie, qu’on appelle la période des Trente Tyrans, elle dure entre 235 & 284. La crise est aussi militaire, Rome a atteint au IIème siècle son apogée & doit faire face désormais à

faisait respecter les lois, et s’occupait de l’administration. On peut parler de dichotomie, c’est à dire séparation des pouvoirs. On retrouvera cette dichotomie dans toute l’histoire du Japon. Le fait que la reine Himiko ait eu des rapports avec la dynastie des Wei démontre qu’elle avait un certain pouvoir. On s’aperçoit qu’au cours de cette période le centre politique de civilisation s’est déplacé du nord au sud.   2. Kofun : la prééminence du Yamato               A la fin du IVème siècle, on