Dès Que Je Me Lève Quelque Chose Noir

L’être humain étant doté de sens, il lui est possible de différencier, grâce à cela, chaque chose l’une de l’autre pour ainsi pouvoir former un jugement. L’Homme regarde un objet, l’étudie, transforme cet objet en une pensée et ainsi réalise son propre jugement sur cet objet. Il y aura là une analyse vis-à-vis de cet objet. Mais cette analyse ce réalise à partir de connaissances. Nous pouvons juger une chose que lorsque nous avons déjà des connaissances par rapport à cet objet, ou alors on associe

mois de son mandat, Barack Hussein Obama a mené une guerre contre six pays. Et si quelqu’un dit que larguer des bombes sur une zone habitée n’est pas un acte de guerre, qu'est-ce que le bombardement japonais de Pearl Harbor ? Le premier président noir des Etats-Unis envahit l’Afrique. Y’a-t-il encore quelqu’un pour croire que Barack H. Obama représenterait une sorte d’amélioration par rapport à George W. Bush ? Il y en a probablement qui le pensent encore : 1- Ceux pour qui la couleur

guillemets, car il en faut - il en faudrait à chaque mot pour nous obliger à les lire vraiment, les entendre, issus de la voix qui, ouvrez les guillemets, dit. Les voir et les entendre sur la scène où ils s’avancent, face à la salle plongée dans le noir. Si l’on croit lire, trompé par l’apparence, un roman réaliste, on trouvera qu’il a parfois un drôle de style, ce Y.K. Son livre est aussi haletant qu’un roman policier. L’histoire parfaitement maîtrisée, la structure en boucle bien tenue. La lecture

c’est trop simple. Ou peut être… « Cher et tendre Simon », oui ca c’est bien ! Elle se lève et va prendre une feuille et un stylo sur son bureau, elle écrit. Bien, ensuite… Je pourrais lui vanter ses charmes physiques ! Oh non c’est trop dur il n’en a aucun. Ou alors le flatter sur son intelligence ! Ha oui !!! Pourquoi pas !!…il me semble pourtant tellement ennuyeux !! Il faut bien que je vante quelque chose chez lui… Bon je n’ai qu’à inventer, elle se gratte la tête d’un air désinvolte avec son

pareil, je n'ai jamais eu de chance dans ma vie. Mireille Mireille se lève de sa chaise et veut partir, mais Madame ARRANGETOUT la retient. Mme ARRANGETOUT Non, restez, je vous prie, votre cas est inquiétant, certes, mais pas désespéré, nous allons arranger ça, vous allez voir, votre patron, je ne vais en faire qu'une bouchée. (Elle est rassurée) Ah! vous croyez que vous pouvez quand même réussir à faire quelque chose pour moi ? J'en suis certaine, si ça ne vous dérange pas, nous allons voir

ma crinière à coups de brosse. Je ne dois pas me coucher avec les cheveux mouillés. Je ne dois pas me coucher avec les cheveux mouillés. Tout en me répétant cette litanie, je tente une nouvelle fois de mater la rébellion capillaire. Excédée, je lève les yeux au ciel face à cette brune qui me fixe, avec son teint trop pâle et ses yeux bleus trop grands pour son visage. Tant pis. Je n’ai pas le choix : la seule façon de me rendre à peu près présentable, c’est de me faire une queue-de-cheval.

arrivé, peu à peu, sans que je m’en méfie. Le virus s’est installé, a pris ses aises pour ne plus me quitter. Je n’étais pourtant pas préparé à ça, pas plus que les millions de zombis de ma génération. Et pourtant ! Durant les études, on commence par quelques petites pointes d’esprit innocentes, balancées à droite à gauche, dans le néant cérébral de notre époque béate. Moi, c’est quand la vie active m’a absorbé que j’ai réellement découvert mon cerveau, comme la Veuve poignet à la puberté. Je me suis

sur le verglas, dans des lieux inconnus, On n avait pas de pain et l’on allait pieds nus. Ce n’étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre, C’était un rêve errant dans la brume, un mystère, Une procession d’ombres sur le ciel noir. La solitude, vaste, épouvantable à voir, Partout apparaissait, muette vengeresse. Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse Pour cette immense armée un immense linceul; Et, chacun se sentant mourir, on était seul. —Sortira-t-on

ma crinière à coups de brosse. Je ne dois pas me coucher avec les cheveux mouillés. Je ne dois pas me coucher avec les cheveux mouillés. Tout en me répétant cette litanie, je tente une nouvelle fois de mater la rébellion capillaire. Excédée, je lève les yeux au ciel face à cette brune qui me fixe, avec son teint trop pâle et ses yeux bleus trop grands pour son visage. Tant pis. Je n'ai pas le choix : la seule façon de me rendre à peu près présentable, c'est de me faire une queue-de-cheval.

la perd à nouveau. Augmentez le voltage… Les dialogues entre médecin et infirmières continuent. Un double d’Ami se détache de son corps et s’assied près d’elle sur le lit. Le double se met à s’élever. Il semble affolé et surpris. Il heurte quelque chose et se retourne. En face du double se tient une forme indéterminée suspendue dans les airs, vêtue de blanc, la tête couverte d’une large capuche qui cache son visage. Ami Ça y est ? Je suis... morte ? La forme (qu’on