Déchéance De Gervaise

s’apparente à une oraison funèbre. Rappel nostalgique splendeur passée et déchéance : l.16 « souillée » « elle toujours si luisante », l.28 « tout un monde qui avait vécu ». Pardon de la déchéance de la Lison : il lui accorde son pardon d'avoir été "moins alerte" l.9 « pas sa faute » l.10 Champ lexical de l’émotion l.4 émotion l.11 gros chagrin l.27 tristesse l.29 douleur + euphémisme sommeil/mort (tendresse, comme Bazouge pour Gervaise) Conclusion : A travers ce récit puissamment évocateur, le

mon-on Dieu, raison. Texte D. ZOLA, L’Assommoir, chapitre XII, 1877. L’Assommoir relate la déchéance de Gervaise, propriétaire d’une blanchisserie, dans le Paris du XIXème siècle, qui perd sa boutique, devient de plus en plus pauvre, et voit son un mari alcoolique enfermé en hôpital psychiatrique. C’est l’hiver, elle n’a plus d’argent et erre dans la rue. Plantée devant l'Assommoir[3], Gervaise songeait. Si elle avait eu deux sous, elle serait entrée boire la goutte. Peut-être qu'une goutte

 • Jacques Lantier : Le « Rougon-Macquart » du livre. Deuxième fils de Gervaise Macquart (L'Assommoir), ajouté à la généalogie de la famille par Zola pour les besoins du livre, l'auteur estimant que ni Claude Lantier (Le Ventre de Paris, L'Œuvre) ni son frère Étienne (Germinal) ne possédaient le caractère adéquat pour incarner le héros de La Bête humaine. Initialement employé méritant, presque trop sérieux, qui, connaissant sa faiblesse meurtrière, cherche à l'oublier par la passion excessive qu'il

l’Assommoir, Zola explique : «J’ai voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière, dans le milieu empesté de nos faubourgs. ». Dans ces deux livres, il montre les aspects négatifs de la condition ouvrière, difficile en son temps : Dans Germinal, les mineurs sont exploités, considérés comme des animaux ; dans l’Assommoir, les personnages, ignorants et abattus par misère, ne peuvent que sombrer dans la décadence comme dans le cas de Gervaise. En outre, certains auteurs choisissent souvent de

sous-titre, l’« histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire ». Après cinq romans qui évoquent l’irrésistible ascension de personnages de bourgeois, Zola connaît un grand succès en 1877 avec l’Assommoir, qui raconte la « déchéance d’une famille ouvrière dans le milieu de nos faubourgs » (préface). Ce roman rivalise avec le Réalisme  documentaire et « artiste » des frères Goncourt, qui avaient publié en 1865  Germinie Lacerteux, une étude d’après nature sur la dégradation

son sous-titre, l'« histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second Empire ». Après cinq romans qui évoquent l'irrésistible ascension de personnages de bourgeois, Zola connaît un grand succès en 1877 avec l'Assommoir, qui raconte la « déchéance d'une famille ouvrière dans le milieu de nos faubourgs » (préface). Ce roman rivalise avec le Réalisme documentaire et « artiste » des frères Goncourt, qui avaient publié en 1865 Germinie Lacerteux, une étude d'après nature sur la dégradation pathologique

Principaux titres 1877, l'Assommoir : peint la déchéance de l'homme par l'alcool (Gervaise) 1883, Au bonheur des dames : grands magasins 1885, Germinal : grève des mineurs, lutte pour l'émancipation de la classe ouvrière (Etienne Lantier, fils de Gervaise) 1887, La Terre : paysans poussés par la cupidité aux crimes les plus sordides 1890, La Bête humaine : folie de meurtre qui anime Jacques Lantier, chauffeur de locomotive, fils de Gervaise. I. LE ROMAN EXPERIMENTAL (1880) A. Le fondement

se retrouve mariée à un homme qui ne la satisfait pas. Flaubert dénonce ainsi à travers ce roman sans péripéties les « mœurs de province », par l’intermédiaire d’un personnage bien peu attachant.     Dans L’Assommoir, l’alcool précipite Gervaise dans la déchéance, et sa fille Nana ne connaîtra pas un meilleur sort. Zola met l’accent sur les défauts de ses héros. Il met aussi en scène la cruauté, comme dans Thérèse Raquin où les deux amants assassinent le mari afin d’atteindre un soi-disant bonheur

si chaque détail est important. Son portrait (physique, morale ou psychologique) laisse à voir déjà plusieurs pistes qui seront nécessaires à l’évolution de l’action. Par exemple, dans L’Assommoir, d’Émile Zola, on se rend compte de la déchéance qui attend Gervaise. Elle, en étant boiteuse, nous montre qu’il y a quelque chose qui ne vas pas. On peut s’attendre au pire dès on s’apercevant à un petit élément physique. Ce « phénomène » se répète dans le cas du portrait de Charles Bovary, dans

complémentaire : Œuvre : Thérèse Raquin, Émile Zola (texte intégral) Séquence 2-FR20 81 © Cned – Académie en ligne Chapitre 1 > Comment débutent les romans A B .......................................................... 85 Bonjour, Gervaise Autres débuts de romans ...................... Chapitre 2 > Thérèse Raquin, Étude générale du roman Introduction A 94 Le narrateur Lecture analytique n°1 : « Les réceptions du jeudi » (ch.IV) Le temps romanesque L’espace romanesque