Décrire Colère

va au-delà de la peur de l’adultère), elle n’en est pas moins la victime des dieux, comme l’explique Racine dans sa Préface à la pièce : « Phèdre n’est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente. Elle est engagée par sa destinée, et par la colère des dieux, dans une passion illégitime dont elle a horreur toute la première. Elle fait tous ses efforts pour la surmonter. Elle aime mieux se laisser mourir que la déclarer à personne. Et lorsqu’elle est forcée de la découvrir, elle en parle

« mordieu ». _ Des didascalies caractérisant chaque protagoniste : elles précisent le ton et les gestes de chaque personnage ; - Elles montrent que Indiana est courageuse: « d’un ton glacial », « sans changer d’avis » - Et la colère du colonel : « verdit de colère et de surprise », « d’une voix chevrotante » -Ainsi que sa violence par ses gestes : « lui meurtrissant la main entre son index et son pouce » et par « serrant ses bras contre sa poitrine pour résister à la tentation de la frapper »

significatifs? - Pensez-vous que les intentions l’auteur sont voilées? - Pensez aux émotions avec lesquelles vous vous identifiez ou qui sont provoquées en lisant cette œuvre : la peur, l’amour, la joie, la haine, la sympathie, le dégoût, la colère, la tristesse, l’amusement, l’humour, l’ agitation, la sensibilité - Pensez à la logique et aux actions raisonnables ou irraisonnables, à la justice ou à l’injustice, à la ridicule, à la tragédie, aux réussites, aux plans, de vouloir, de la persévérance

son être que par la Parole. Action et Parole finissent par coïncider dans la résolution d'un drame dont l'enjeu réside autant dans le dire que dans le faire. Refus qu'Œnone ne peut ni comprendre ni accepter, et qui finit par déchaîner sa colère: «Mourez donc, et gardez un silence inhumain» (v. 227). Mais, pour Phèdre, la contrainte d'un silence volontairement imposé est moins lourde à supporter que la douleur d'une confession dont elle appréhende déjà les résultats. Quel fruit espères-tu

Boule de suif devient fâchée. Lorsqu’elle pense à toute la nourriture qu’elle a donné aux passagers de la diligence sur le premier trajet et que maintenant personne ne veut partager avec elle, Boule de suif devient bouche-bée. De plus, elle est en colère : « […] suffoquant de rage […] » (ligne 38) ou encore « […] l’exaspération l’étranglait. » (ligne 41). Boule de suif se fait mépriser par les passager de la diligence, des égoïsmes. Personne ne veut partager puisqu’elle semble être différente.

brûlures, pensées suicidaires, dissociation mentale, comportement sexuel inapproprié; • estime de soi extrêmement faible, difficulté à faire confiance aux autres, difficulté à résoudre des problèmes, problèmes relationnels, hauts niveaux de colère et d’agression, colères violentes, victime ou auteur de violence dans les fréquentations.

établit un contrôle sur sa victime et assoit son pouvoir. Il s’établit un cycle de violence, décrit et expliquer par Marie France Hirigoyen. 1- Une tension qui entraine une frustration de l’auteur. 2- Le passage à l’acte qui entraîne la colère ou la tristesse de la victime qui ne comprend pas pourquoi et qui culpabilise car pense que c’est sa faute 3- Le déni et le transfert de responsabilité de l’auteur sur sa victime 4- La rémission ou effet lune de miel, l’auteur a peur de perdre

: état particulier survenant dans des conditions bien définies = situation émotionnelle  Elle est accompagnée d’une expérience suggestive et de manifestations somatiques et viscérales.  Il y a 6 émotions de base (= états affectifs) : joie, tristesse, colère, peur, dégoût et surprise  Le sentiment est le mode d’insertion du sujet à son existence  Il y a 3 sentiments de base : amour, jalousie et haine. On parle aussi du sentiment de supériorité et du sentiment d’impuissance  9) Les mécanismes de défense 

" [...] "Un malaise buccal est le signe d'opinions trop arrêtées. Ton esprit est trop fermé." [...] "Si tu as l'impression de manquer de soutien dans ta vie, ton corps t'en avisera par un mal de dos". [...] "Faire de la fièvre est souvent signe de colère intérieure prête à exploser." [...] "Lorsque des problèmes de bras surviennent c'est que tu n'as pas conscience de ton utilité et de ta valeur." [...] "Un problème de mal de jambes signifie que tu as peur d'aller de l'avant, tu as peur de l'avenir

cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : un affrontement tragique ainsi qu’un amour tragique. Dans cet extrait, on souligne d’abord un affrontement tragique lorsque Bérénice évoque de l’amertume et de la colère envers Titus. L’auteur utilise des phrases non verbales exclamatives telles que « ingrat ! », « Ah cruel ! » ou « Hélas!» qui traduisent le drame intérieur vécu par Bérénice qui est obligée de quitter son amant contre son grès. Cette dernière emploie