Définitions De La Mondialisation Politique

Culture et mondialisation : enjeux culturels internationaux Discours de Barbara Loyer, Hôtel de Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, à 9.30h, le 24 octobre 2008 Je ne chercherai pas à répondre ici à la question de savoir si la mondialisation est une bonne ou une mauvaise chose pour la culture. Je souhaite plutôt proposer une façon d’aborder la question. La première partie de l’exposé brossera un bref panorama de ce qu’on appelle « mondialisation », ensemble de phénomènes et d’interactions à l’échelle

Pour voir l'ensemble des leçons, cliquez sur Archives. Mondialisation, développement et développement durable lundi 30 mai 2005 :: Leçons Géographie :: Alerter la modération La mondialisation est-elle favorable au développement de toutes les sociétés ? Quelle est la nature de ce développement ? Peut-il concilier amélioration des conditions de vie du plus grand nombre et préservation des ressources des générations futures ? La mondialisation est-elle compatible avec un développement durable ?

couramment utilisé depuis les années 60. C’est ce qui est identique à quelque chose d’un point de vue littéraire. Si on applique cette définition aux êtres humains, ça ne marche pas. L’identité est un phénomène qui évolue tout le temps. Ça devient donc difficile à définir car elle est multiforme. Elle est polysémique. Elle a de multiples facettes. La définition la plus générale de l’identité c’est qu’elle est un ensemble de circonstances qui font qu’une personne est bien telle personne. Exemple :

PEUT-ON REGULER LA MONDIALISATION ? Vous avez vu dans ce chapitre que la mondialisation des échanges transformait les sociétés, tant sur le plan économique que sur le plan social et culturel. Cette transformation se fait pour le meilleur comme pour le pire : on peut parler de croissance ou de chômage, de développement du tiers-monde ou d'accroissement des inégalités, de diversification des biens et services ou d'uniformisation culturelle, etc. C'est pourquoi certains parlent souvent de " réguler

Mondialisation et interdépendances La mondialisation apparaît comme un processus de mise en relation des différentes parties du monde par les flux de biens, de services, de capitaux et de personnes. Elle constitue aussi un système d’organisation de la production qui transcende les frontières et multiplie les interdépendances. Elle prend appui sur quelques grands centres d’impulsion de l’économie mondiale, sans empêcher l’organisation des Etats, des réseaux ou des individus à d’autres échelles…

que le thème de la corruption, qui était tabou il n’y a pas très longtemps, devienne aujourd’hui objet de débat public. Cependant, ce n’est qu’une première étape, car le fait que la corruption soit dénoncée par la presse et une partie de la classe politique ne permet pas de déduire que la lutte contre ce fléau est désormais engagée et ne signifie pas non plus que le phénomène soit en voie d’être correctement documenté. Cela peut par contre créer l’illusion que quelque chose est en train de changer positivement

MONDIALISATION ET INTERDEPENDANCES Définition :   La mondialisation est un processus multiséculaire d’internationalisation des échanges – qu’ils soient économiques, financiers, politiques, culturels ou d’informations - qui engendre une mise en relation des différentes composantes territoriales du monde, d’acteurs différents - Etats, FMN (firme multinationales) , institutions internationales, ONG - d’ensembles géographiques divers - villes et régions puissantes - qui s’organisent en réseau ou

 Beaucoup de géographes considèrent que l’organisation de l’espace résulte de l’action des sociétés, notamment des actions d’aménagement. L’espace est donc un construit social et la géographie étudie la production de cette organisation. Ces définitions de la géographie sont problématiques à plus d’un titre. D’abord, la géographie n’a pas toujours été spatiale, loin s’en faut. Au contraire, la géographie moderne s’est construite au XIXe siècle sur l’étude des rapports homme/milieu naturel. Pendant

Chapitre 4 : Politiques commerciales et OMC Chapitre 5 : Régionalisme et intégration européenne Plan de cours (indicatif) Bibliographie Krugman, P., Obstfeld, M., Economie Internationale, Pearson, 2006. Lemoine, M., Madies, P., Madies, T., Les grandes questions d’économie et finance internationales, De Boeck, 2007. Mucchielli, J.L., Relations Economiques Internationales, Hachette, 2005. Mucchielli, J.L., Mayer, T., Economie internationale, Dalloz, 2005. Krugman P. R., La mondialisation n’est pas

leurs entreprises des actions hostiles. Nous devons en faire de même.» La notion même de patriotisme économique (ou «economic nationalism» en anglais) est une véritable antithèse, et ce concept paraît d’autant plus incongru dans un contexte de mondialisation. Il paraît ici intéressant d’étudier la perspective européenne du patriotisme économique en s’attardant quelque peu sur le cas de la France, tout en considérant cette question essentielle d’un point de vue continental. D’un côté, on peut considérer