Déguisement Personnages Tartuffe

collectif à travers les exploits d’un héros historique ou légendaire. Ex 1 : L’épopée de Gilgamesh : Vient de Mésopotamie. Roi dur, méchant et dictateur. Le peuple appelle à l’aide une déesse qui va créer un double inversé du roi Gilgamesh. Les personnages se rencontrent lors d’un duel. Aucun ne parvient à vaincre l’autre car ils se complètent, forment un tout. L’aide de la déesse fonctionne car ils s’allient mais par la suite le double meurt. Gilgamesh est devenu plus juste, influencé par son double

l'époque. La Commedia dell’arte : d’origine italienne, elle s’appuie sur un schéma classique (un canevas) sur lequel les acteurs improvisent. Leur jeu est essentiellement physique. Les comédiens jouent masqués, chaque masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur

langue française. Littérature parodique et systématique du esprit du Carnaval. Mais tout n’est pas carnavalesque chez lui. Son œuvre est la littérature populaire qui se nourrit des œuvres du Moyen Âge. Il invente des nouvelles historiques avec les personnages des chansons de geste ex. « Roland » Il transforme tout ce qu’il touche. Il fait des parodies des héros de l’époque comme Pantagruel. Il a le souci de montre l’éducation suivant le modèle d’un esprit humaniste mais avec la satire et la parodie

¨ Alexandre Dumas ¨ Prosper Mérimée ¨ Alphonse de Lamartine ¨ Guy de Maupassant ᕤ Quand on étudie un roman, on emploie le terme «héros» pour désigner : ¨ Un personnage au comportement remarquable, au caractère noble et valeureux. ¨ Le personnage principal du roman. ᕥ Un héros de roman est toujours un personnage exceptionnel, hors du commun. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕦ Dans un roman, l’auteur et le narrateur sont toujours identiques. ¨ C’est vrai ¨ C’est faux ᕧ Lorsqu’un

que le monde est en équilibre instable. Il s'adresse plus à la sensibilité qu'à la raison. Il use de la folie, du déguisement, des intrigues complexes. Les auteurs célèbres sont Calderon, Shakespeare et en France, Corneille. - La Commedia dell'Arte (XVIe-XVIIIe siècles) : Il s’agit d’un spectacle de rue, né en Italie et qui se fonde sur des canevas traditionnels et des personnages aux caractères fixés : Arlequin, Pedrolino (Pierrot), Scaramouche, Colombine, etc… Il existe environ un demi-millier

d’ailleurs prompt à s’énerver contre Toinette et ses filles : « Argan, en colère, court après elle autour de sa chaise, son bâton à la main » (acte I scène 5), « Il va prendre une poignée de verges. (…) la prenant pour la fouetter » (acte II scène 8). Personnage à marotte1, il impose à toute sa famille sa lubie tandis que les médecins en profitent. L’onomastique du personnel médical, fondé sur des jeux de mots scatologiques, les discrédite de prime abord. Les Diafoirus ne correspondent pas à la réalité

frère est un Don Juan ! Cela se dit d'une personne qui a l'art de collectionner les conquêtes féminines (car expressément utilisé pour les hommes) ou bien étant capable de séduire une femme de façon remarquable. Don Juan est donc de nos jours un personnage de référence pour la société qui fait que même les personnes qui ne connaissent pas l’œuvre, qui n'ont jamais lu le mythe de Don Juan, savent qui est cet homme «dans les grandes lignes » car il est devenu la référence du séducteur pour la société

ADAPTÉ EN FRANÇAIS FACILE PAR CATHERINE BARNOUD Malade imaginaire.qxd 30/09/04 14:51 Page 2 Sommaire Molière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Les personnages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Le Malade imaginaire (1673) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Molière (1622-1673) Molière est né à Paris en 1622. Son vrai nom est Jean-Baptiste

Malade imaginaire Niveau 2 Molière ADAPTÉ EN FRANÇAIS FACILE PAR CATHERINE BARNOUD 30/09/04 14:51 Page 2 Molière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Les personnages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Le Malade imaginaire (1673) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Molière (1622-1673) Acte I 7 Pour comprendre l’Acte I . . . . .

imaginaire quand on devrait se modeler sur la réalité présente. Le comique s’installera cette fois dans la personne même : c’est la personne qui lui fournira tout, matière et forme, cause et occasion. Est-il étonnant que le distrait (car tel est le personnage que nous venons de décrire) ait tenté généralement la verve des auteurs comiques ? Quand La Bruyère rencontra ce caractère sur son chemin, il comprit, en l’analysant, qu’il tenait une recette pour la fabrication en gros des effets amusants. Il en