Délocalisation Aspect Légal

général et ainsi cibler les facteurs externes qui pourraient affecter le secteur du textile dans un premier temps. Dans le tableau ci-dessous, nous avons retenu les éléments politiques, économiques, socioculturels, technologiques, écologiques et légaux ayant le plus d’intérêt pour l’industrie du textile/habillement/cuir. |Politique |Économique | |

de la décentralisation en Afrique (en termes de délestage du pouvoir au niveau local, de subsidiarité, de visibilité des acteurs publics du point de vue des acteurs du bas) suppose y e mutation en profondeur des Etats vers un mode de fonctionnement légal-rationnel(3). De toute évidence on touche là à des questions qui dépassent de loin la capacité d’action des acteurs français de la coopération décentralisée, mais qui sont pourtant des préalables incontournables à l’effectivité de leur coopération

pour plus de rentabilité et de compétitivité, les vagues de délocalisations successives ont ébranlé l’industrie des pays occidentaux. Les premiers touchés furent les salariés des industriels. Les principaux tenus responsables ont été les actionnaires accusés de vouloir obtenir toujours plus de rentabilité de leurs investissements sans tenir compte de la population de l’entreprise. Aujourd’hui, même le luxe a levé le tabou des délocalisations. Ainsi, LVMH commence à délocaliser sa production vers des

s’adresse aux élèves des sections L, ES et S, qui ont en commun l’étude du processus de mondialisation. Ce processus est étudié de façon synchronique et diachronique. L’approche est délibérément géographique, dans la mesure où, sans négliger les aspects économiques et sociologiques, c’est la dimension spatiale qui est mise en avant. L’analyse de l’espace mondial est complétée par le chapitre 2, qui confronte la logique de mondialisation avec les critiques qui en sont faites, la régionalisation qui

volontaire par les entreprises de préoccupations sociales liées à leurs activités et à leurs relations avec l’ensemble de leurs partenaires et collaborateurs ». L’approche de la RSE s’articule autour de deux axes l’un juridique (respecter le cadre légal) et l’autre gestionnaire (intégrer volontairement les intérêts des différentes parties prenantes) (Coulon, 2006). L’approche stakeholders, issue du référentiel Business Ethics, a permis d’opérationnaliser les réponses stratégiques en déterminant

consultatif qui représente les syndicats de salariés, les employeurs, des représentants de groupes d'intérêt. Il représente la société civile. L'Europe a construit des organes qui lui permettent de prendre des décisions politiques, bien au-delà des aspects économiques. Mais cela pose alors le problème de la supranationalité : dans quelle mesure les Etats membres conservent-ils leur pouvoir national ? Quel partage des tâches s'est mis en place entre l'UE et ses Etats membres ? B- Le partage des tâches

rapide, cette période est appelée la seconde mondialisation. Avant 1GM, les échanges de marchandises avaient une valeur aussi élevée que celle au cours des 50’s. La deuxième mondialisation engendre une grande dépendance entre les nations sous deux aspects : pour leurs débouchés et pour les approvisionnements. Cette interdépendance des nations est croissante et ne fait que s’accélérer. 1.1.1 L’ampleur des échanges de marchandises Croissance du CI depuis 50’s est supérieure à la croissance éco.

traitée de manière plus superficielle - non appuyée de données chiffrées - car relevant du Marketing Stratégique. Elle pourra faire l’objet d’une illustration plus approfondie lors d’une éventuelle autre intervention. Il est souligné ici davantage les aspects opérationnels de l’élaboration du prix. A. DEFINITIONS & FINALITES Le Benchmarking est l’action consistant en la comparaison et l’étude les prix de vente résultants des stratégies affichées ou non par les marques concurrentes. Il a pour but de d’aider

récepteur a donc, comme l’émetteur, une responsabilité dans la communication. ( Dans un contexte antagoniste, ou si le récepteur n’a pas de raison d’accepter a priori le message qu’il reçoit, l’émetteur doit mettre en œuvre tous les moyens possibles (légaux et moraux) pour que le récepteur ne puisse se retrancher derrière des défauts de communication. Exemples : - sonnerie téléphonique, décroché, « Allô » ; - la parole est un signal sonore transformé en signal électrique lors d’une communication

trois « R » : réduire, recycler et réutiliser 2.5.2.3.1. Eau, sel et énergie : comment les traiter ? 2.5.2.3.2. Les cartons et l’énergie solaire 2.5.3. Les actions sociales de l’entreprise 2.5.3.1. La délocalisation : Switcher fait-elle comme les autres ? 2.5.3.2. Comment gérer cette délocalisation de la meilleure manière possible ? 2.5.3.3. Des audits suffisamment indépendants ? 2.5.3.4. A quoi sert la Fondation Switcher ? 2.6. Communiquer sa stratégie d’entreprise 2.6.1. La nécessité de communiquer