Délocalisation Et Ide

reste un exercice challengeant • L’impact pour le Maroc concernera principalement les activités exportatrices, les transferts de MRE ainsi que les investissements directs • La crise présente également des opportunités a saisir : La délocalisation, la baisse du cout de l’énergie et des matières premières et le focus sur la réactivité notamment pour le textile • Bien que les menaces semblent dépasser les opportunités, l’impact de la crise internationale dépendra de la manière les

pays. * Pouvoir des fournisseurs : pouvoir de négociation limité, réputation à l’étranger pas assez bonne pour attirer les IDE. Remarque : - Aujourd’hui, le Maroc table surtout sur le tourisme. La preuve, les recettes du tourisme ont embelli ces dernières années. - Pour les IDE, l’Etat marocain essaie d’investir dans les infrastructures de base afin d’attirer les IDE. * Pouvoir des clients : Concentration des échanges marocains autour de l’U.E ce qui peut être vulnérable pour le Maroc.

du marché intérieur ou contourner des barrières protectionnistes -Recherche de coûts de production faible, délocalisation vers les pays à bas salaires, d’une fiscalité attractive -Recherche des économies d’échelle 2- Quels instruments utilisés par les FMN ? -Les investissements directs à l’étranger (IDE) : [ Les pays développés détiennent encore près de 90% du stock mondial des IDE, Les NPI 6%, -La nouvelle division international du travail, et de la production *Exploitation des différents

intérêt est d’analyser dans quelle mesure les exportations dopent le PIB. (Exprimées en dollars) La deuxième est les investissements directs à l’étranger représentés par IDE. L’intérêt de cette variable dans notre modèle est que la Chine est considérée aujourd’hui comme étant l’usine de monde. En effet, le phénomène de délocalisation observé dans les pays occidentaux profite à ce pays, car de nombreuses entreprises s’y implantent en raison de ses faibles coûts de production. Le dumping social chinois

les non-résidents. Composé de 3 éléments : -Compte de transactions courantes : prend en compte les B/S. -Compte de Capital : Brevets, Dettes et créances que l’on a vis-à-vis d’autres pays. -Compte financier : Investissements Directs à l’Etranger IDE. Solde de la Balance des transactions courantes : Excédentaires : Exportations supérieures aux importations = Bonne Compétitivité Demande Nationale Inférieure au PIB Capacité de financement Déficitaire : Exportations inférieures aux importations

Smith et Ricardo) * Uniformisation partielle des modes de consommations Les facteurs politiques : * Création des ZLE (Zones de libre échange) * Idéologie dominante du libre échange * Diminution des obstacles non tarifaires La délocalisation économique est le transfert d'activités, de capitaux et d'emplois dans des régions du pays ou du monde bénéficiant d'un avantage compétitif tel qu’une baisse des coûts de production, des infrastructures mieux adaptées à l’activité de l’entreprise

la Chine et Hong Kong, l’Allemagne, la Corée du Sud et les membres de l’OPEP. 3) Les Etats-Unis au centre des flux de capitaux • Le bilan des IDE signale la place fondamentale des Etats-Unis dans les stratégies d’investissement des FTN, qu’elles soient américaines ou étrangères. Les Etats-Unis représentent le quart des IDE dans le monde, leurs investissements équilibrant d’ailleurs les investissements des étrangers sur leur territoire. • Géographiquement, les investissements

manqué ces dernières années. Citons parmi les cas les plus emblématiques Moulinex, Mitteleuropa, ou bien encore Air Lib. Si 1'internationalisation des échanges inquiète à ce point, c'est parce qu'elle est souvent considérée comme synonyme de délocalisations et de chômage, de concurrence exacerbée et d'adaptation brutale du marché du travail. En conséquence, l’internationalisation des échanges a des effets sur le volume des emplois mais également sur la nature des emplois dans les pays industrialisés

l'emblème de la mondialisation. Elles réalisent environ 20 % du PIB mondial et sont souvent plus puissantes financièrement que certains États. Elles s'appuient sur une base nationale pour investir à l'étranger (IDE : investissement direct à étranger) et déploient des stratégies globales (délocalisation) dans le cadre de la NDIT. Comme elles privilégies avec leur pays d'origine (contrôle du capitale), les États conservent une marge de négociation.

derrière celle de NY, + Singapour et Hong Kong s’imposent en Asie . Cette aire de puissance apparaît comme une puissante « machine à investir ». Les IDE en provenance d’Asie inondent le monde : investissements japonais qui st encore dominants mais aussi coréens et de plus en plus chinois. Inversement , l’Asie orientale reçoit une part croissante des IDE notamment la Chine. Une aire constituée de différents pôles et espaces dynamiques: Le schéma ci-dessous fait apparaître les espaces du dynamisme