Démence Des époux

DE DONNEES IDENTITE DE LA PERSONNE : Me D. est une femme de 88 ans, née le 11 aout 1933 à Mayet dans la Sarthe en France. DATE ET MOTIF D’ENTREE :Elle est entrée à l’EHPAD Le Clos de Vernou unité Alzheimer et autres démences, il y a presque 2 ans, le 19 février 2021, suite à une démence de la maladie d’Alzheimer à début tardif (après 65 ans), elle a connu un déclin cognitif d’installation progressive et une apathie de plus en plus marqué, elle qui était d’habitude très active au domicile, elle ne savait

impavide de son époux dans l’accomplissement méthodique du crime, elle n’a pour mobile que l’ambition. En dépit de son insensibilité flegmatique, de sa froideur calculatrice, elle n’arrivera pas toutefois à contrôler la « nature » trop instable de son époux. La folie qui s’empare d’elle et qui aboutie à sa mort, indique là le sort qui est réservé à tous les adeptes du mal. « « Tout se paye sur terre » »  c’est cela même que nous devons tous voir à travers cette fin tragique ; et la démence de l’épouse

conditions pour que le mariage existe ? Est-il possible de rompre le mariage ? A) La création du lien matrimonial Le droit romain s’est intéressé à cette question, et a affirmé que l’échange des consentements créé le mariage (consentements des parents des époux). Ce qui importe c’est l’échange des patrimoines dans le cadre du droit romain. Les peuples barbares qui ont envahi l’empire Romain (les francs, les wisigoths) ont eu une autre conception du mariage, ce qui fait le mariage c’est l’union sexuel. Dans

très probablement de canaliser la rancœur, la colère des époux, surtout celles de la « victime ». De plus, ceci suit une certaine logique en ce sens que la notion de sentiments est clairement présente au sein du consentement au mariage et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle le législateur a fixé clairement les conditions nécessaires pour considérer un mariage comme officiel et légal. Les articles 212 à 215 imposent alors clairement aux époux un ensemble d’obligations tant d’ordre personnel (obligation

le 21 aout 1793. Les règles du mariage sont assouplies, il y a beaucoup moins de cas d'empêchement, il n'y a plus de période religieuse comme le Careme ou l'Avent ou se marier est interdit. La loi d'aout 1792 prévoit plusieurs cas de divorce : la démence, l'emprisonnement pour crime, l'abandon du froyer conjugal, les mauvais traitements physique ou maraux . Divorce par consentement mutuel cependant la procédure est longue et on ne trouve dans l'Etat civil que peu d'actes de conciliation devant le

révolutionnaires consacrent une liberté du mariage. Il y a tout d’abord une liberté de l’union et une introduction au divorce. 20 septembre 1792 : Organise le mariage, caractère très libéral : - Le mariage se fait par l’échange des consentements des époux devant l’officier de l’État Civil en présence de 4 témoins - Les conditions qui sont imposées pour accepter le mariage : conditions d’âge : femme 13ans, homme 15ans ; on ne peut pas se marier avec quelqu’un qui a le même sang. 20 septembre 1792 :

lorsqu’elle avait des idées contraires à ce que la société attendait d’elle où étaient un peu trop indépendantes. Le bal des folles dénonce une société patriarcale ou le sexe féminin est sous l’autorité d’un père ou d’un époux, il était alors difficile de s’émanciper ou d’être comprise de ces derniers. Des citations qui m’ont marqué illustrant cet exemple sont : « un médecin pense toujours savoir mieux que son patient, et un homme pense toujours savoir mieux qu’une femme »

Mme Yvonne S.D.V. est née le 18/06/1916 (97 ans). Elle est mariée et vit avec son époux âgé de 92 ans. Mme S.D.V. a été hospitalisée au service des urgences de l’hôpital S. suite à une chute à domicile ayant entraîné un traumatisme faciale dans un contexte de démence. Elle est transférée au service de soin de suite et de réadaptation de l’hôpital C. le 19 septembre 2013. Ils vivent tous les deux dans un appartement de Sanary. Mme S.D.V. est droitière et pèse 45kg pour 1,50 mètre soit un IMC de

par la loi : ascendant, conseil de famille), soit avec dispense par Procureur de la République (Art 145)  SANTE Le mariage oblige certes à produire un Certificat Médical. Mais ce certificat médical ne mentionne que le fait que le ou la futur(e) époux(se) a passé une visite médicale en ce sens : les médecins sont tenus au secret professionnel et ne divulgue rien. A) CONDITIONS DE MORALITE SOCIALE :  PROHIBITION D’UN DOUBLE-LIEN Les 2 contrats stipule que les contractants doivent être

d’alcoolisme depuis de nombreuses années, il est décédé des séquelles de cette maladie. Mme M.P. bénéficiait déjà, du vivant de son mari, du Service de Soins Infirmiers A Domicile (SSIAD). Peu à peu, Mme M.P. a perdu de son autonomie. A u décès de son époux, Mme M.P. n’avait plus les capacités de subvenir seule à ses besoins, l’intervention du SSIAD ne suffisait plus. Sa fille, ne pouvant pas la prendre en charge, a demandé, en lien avec le SSIAD, le placement en EHPAD pour sa mère. Lorsqu’elle vivait