Démocratie Défauts

politique et donc la politique ne soit que la satisfaction d'intérêts, qu'ils soient communs ou particuliers, après tout, la différence n'est-elle pas infime ?). En conséquence, la conception platonicienne de la politique implique un rejet de la démocratie et de tout son attirail : le vote, le référendum... I- Pouvoir et justice (République, Livre I) : le politique ne doit pas gouverner selon son intérêt mais selon la justice Dialogue entre Socrate et Thrasymaque : Pour Thrasymaque, le pouvoir

dégradation de la cité idéale. Timocratie : le gouvernement des courageux fondés sur militarisation de la société idéale. Oligarchie : gouvernement fondés sur les richesses, pouvoir de l'argent. Puis forme dégradée de régimes politiques : la démocratie fondée sur les qualités au profit de la multitude à cette passion pour l'égalité. (gouvernement du peuple) Les Français la préféraient à la liberté. Cela ce dégrade puisque que le peuple s'en remet à un seul gouvernement : la tyrannie fondée sur

[pic] Ière Partie : Notion (notions essentielles au droit constitutionnelles : L’état, la constitution, le concept de démocratie). I/ L’Etat A/ L’idée d’Etat. Rappel: Le terme d’Etat qui s’écrit avec un E majuscule, est un terme qui est très couramment utilisé, quand on l’entend on a l’impression de saisir de quoi il s’agit. Si on nous demande de définir l’Etat on aurait quelques difficulté a donner une définition brèves et pertinente. Etat es un mot entrer dans le vocabulaire

Athènes est sur le déclin. Le siècle de Périclès est passé et la cité voit son modèle démocratique perverti. On peut lire le texte de Platon comme une critique de sa propre cité, dont il stigmatise les défauts. Platon évoque le monde illusoire dans lequel vivent les citoyens d'Athènes. Cette démocratie ne le satisfait pas depuis la condamnation et la mort de Socrate et la persécution de Pythagore. Mais il était alors dangereux de citer le Maître de l'école pythagoricienne qui avait été décimée et dispersée

politiques car nul d'entre eux ne pouvaient se passer du bouffon, car celui-ci procurait le rire et c'est lui qui « conseillait le prince ». Cette image du bouffon, est représenté dans le dessin Bonne année 2009 de Plantu où celui ci stigmatise les défauts du président en se basant sur son physique. Il utilise le rire satirique du bouffon . Ces images résument le rôle de l'homme politique qui prend un aspect de ridicule car ce dernier qui détient le pouvoir le plus important (pouvoir exécutif) et ici

pouvoir et l’enthousiasme populaire sont les output. Cette analyse transforme le système politique en une machine. En 1956, Wyrght Lills dans « l'élite au pouvoir » affirme que le système démocratique américain est une pure illusion, ce n'est pas une démocratie car le pouvoir est monopolisé par une élite composée de financiers, de militaires et de politiques. Cette ouvrage a suscité de violentes polémiques, celles formulées par Dahl qui publie « qui gouverne ? », les méthodes d'analyse sont les mêmes

monde un regard pour le moins décapant : regard qui favorise la prise de distance et qui va par conséquent de pair avec l’ironie. 1- De l’étonnement à la distanciation * Les lettres humoristiques de Rica font la satire des parisiens et de leurs défauts les plus criants : lettre XLV sur l’alchimiste, lettre L sur l’homme de mérite, lettre LII sur la coquetterie des femmes françaises, la lettre LIV sur le bel esprit… *Les lettres philosophiques d’Usbek mettent en question les systèmes politiques

Jean de La Fontaine Une satire : est une œuvre dont l’objectif est une critique moqueuse de son sujet ; souvent dans l’intension de prévenir ou de provoquer un changement. De quelle manière La Fontaine dénonce t il les défauts politiques et moraux des hommes ? 1) a travers la mise en scène des grenouilles a) de leurs comportements humains Nous avons les mêmes comportements qu’elles dans le contexte de la vie sociale. La Fontaine les caractérise par un vocabulaire

parlementaire est un régime de « collaboration » ou encore de séparation souple des pouvoirs, tandis que le régime présidentiel est un régime de séparation stricte des pouvoirs. La thèse de Montesquieu reste une référence indépassable pour les démocraties mais la réalité s’éloigne considérablement de la théorie. Certes la division des pouvoirs demeure mais l’équilibre et la spécialisation des pouvoirs ont été bouleversés. Ainsi l’exécutif participe activement à l’élaboration de la loi, le juge constitutionnel

donné l’exemple dans son propre travail d’intellectuel et de militant politique. Sa pensée était ancrée dans la conviction morale que démocratie veut dire liberté, et il a consacré sa vie à élaborer une argumentation philosophique pour étayer cette conviction et à militer pour sa concrétisation (Dewey, 1892, p. 8). Nulle part, l’attachement de Dewey à la démocratie et à l’intégration de la théorie à la pratique n’est plus manifeste que dans son parcours de réformateur de l’éducation. Alors qu’il