Démocratie Délibérative

régime d’un Etat est son mode d’organisation, et de justification, et il est évident qu’il a un impact sur la conduite de la politique internationale. Il apparait d’ailleurs que les démocraties freinent les ardeurs guerrières et ont moins tendance à se faire la guerre entre elles. Mais, cela ne veut pas dire qu’une démocratie prise isolément serait un régime moins belliqueux. Une scène plus complexe Trois facteurs vont renouveler les modes d’analyse des acteurs internationaux : * La guerre du

capitalisme américain s’explique par le pouvoir géopolitique des états unis au cours du XXème siècle avec la fin de la seconde guerre mondiale et la chute du mur de Berlin. Les États-Unis sont surtout connus pour le mariage fait entre le capitalisme et la démocratie ce qui entraîne la décentralisation des pouvoirs décisionnels en économie mais aussi en politique. Le capitalisme a fait son apparition avants les grands Etats démocratiques. Tocqueville fait une observation sue l’Amérique dans laquelle il pense

le sens de la fonction démocratique de l'opposition parlementaire. La démocratie comprend nécessairement une dimension de défiance et de contestation que Pierre Rosanvallon qualifie de "contre-démocratie". Celle-ci ne correspond pas au contraire de la démocratie, elle en constitue son pendant et résulte d'une relecture de la démocratie combinant l'étude des pouvoirs et contre-pouvoirs, concomitamment à deux faces de la démocratie : le parlementarisme d'un côté, l'activisme protestataire de l'autre

qui relatent des dons de deux personnages maîtrisant l’art de parler : Protagoras (486-410) et Gorgias (485-374). Protagoras aurait distingué les types de discours (vœu, interrogation, etc.), et Gorgias enseigné l’art oratoire. Puis, lorsque la démocratie athénienne est au bord de la destruction (4ème, 5ème siècle avant J.-C.), suite aux assauts de Alexandre le Grand Aristote synthétisera les règles de la réthorique. Ensuite, La rhétorique gagna Rome. Par exemple Cicéron suivra les règles d’Aristote

latin « nomos », « partage ». Néanmoins, les critiques nietzschéennes ou marxistes ne perdent pas leur pertinence face à l'application concrète du système étatique. Quelques soit la forme prise par le gouvernement, république comme monarchie, démocratie comme tyrannie seront toujours le cadre de la domination d'un groupe sur le tout, même dans le cadre d'une représentation. De fait, il semblerait que l'Etat voit la libération des hommes de la violence et des appétits singuliers remplacée par une

Introduction: « L'un appelle ce régime démocratie, l'autre lui donne le nom qui lui plaît, mais c'est en réalité une aristocratie (exercée) avec l'approbation (eudoxia) de la masse. » cf: Ménéxène (Oraison funèbre), 238b-239a, notamment 238c. Le V° siècle athénien fut aussi appelé le siècle de Périclès (-495, -429), même si celui ne recouvre pas la totalité du V° siècle il reste un acteur politique majeur. Cependant, certains de ses prédécesseurs furent tout aussi important que lui, tel

Car d’après le principe juridique nul n’est sensé ignorer la loi. 1)_ Les__ règles du droit :_ On distingue 4 types de règles : lois, contrats, décrets et jurisprudence. -La loi est formulée par le souverain (peuple= souverain dans une démocratie). -Lorsque c’est l’usager on parle de contrat, celui-ci peut être tacite. Plusieurs étapes : négociation et possibilité de signer (→ c’est libéral) tout en restant dans les lois du marché en France par exemple. Mais le contrat est illusoire car

concernant le sentiment d'être citoyen. Une des références typologiques des plus célèbres est celle du sociologue anglais Thomas Humphrey Marshall4 qui distingue trois étapes de la citoyenneté, en référence à l'évolution de celle-ci dans les démocraties occidentales: la citoyenneté civile tout d'abord, qui renvoie aux libertés fondamentales; la citoyenneté politique ensuite, fondée sur la participation politique; et la citoyenneté sociale qui se réfère aux droits socio-économiques. Cette typologie

Est vs Ouest - Affrontement culturel, politique et militaire Amis pour plus d'un siècle, les américains et les russes se disputèrent sur des questions concernant l'Asie dans les années 1890 et sont devenus ennemis en 1917 lorsque le parti communiste saisit le pouvoir, établissant ainsi l'Union Soviétique et déclarant une guerre idéologique aux pays capitalistes de l'ouest. Les États-Unis, mécontents du nouveau régime, refusent de reconnaître l'URSS comme état jusqu'en 1933. Bataillant côte à côte

l’Europe un continent unique? Après avoir vu l’unité de ce continent, nous étudierons sa diversité. I. L’unité du continent européen A) Des points communs politiques, économiques et militaires - Tous les pays européens sont des démocraties et défendent les droits de l’homme et les libertés individuelles par le Conseil de l’Europe. - Accord de libre échange et de frontières ouvertes (UE) et monnaie commune à 16 pays dans l’Europe soit 327 millions de personnes. - Alliances