Démocratie Et Autoritarisme

est-il un régime politique ou un situation ? Le terme autoritarisme peut désigner aussi bien un comportement que le mode de fonctionnement d'une structure politique. L'autoritarisme consiste dans les deux cas en une prééminence, une hypertrophie de l'autorité érigée en valeur suprême. Si certains chercheurs et professeurs en science politique définissent l'autoritarisme comme un des trois grands types de systèmes politiques avec la démocratie et le totalitarisme, beaucoup d'autres considèrent cette

prédation et l’extorsion fondées sur la violence en association avec le clientélisme et la cooptation » (Ibidem). La politique africaine, nourrie par cet autoritarisme au quotidien avec des conséquences incalculables pour les populations, ne laisse pas les coudées franches à la société civile. Ce qui prouve la vulnérabilité de la démocratie en Afrique. C’est pourquoi le système social de la société africaine postcoloniale ne joue pas son rôle d’intégration des peuples marginalisés. Somme toute

du phénomène et se pose sérieusement la question : d'où nous vient cette dépravation, quelle est sa nature et son ampleur ? Les fractures de l'idéologie occidentale En premier lieu, il incombe de prendre acte que l'idéologie progressiste des démocraties occidentales connaît une crise sans précédent. Il n'y a pas que l'idéologie communiste et ses régimes qui se soient effondrées, victimes de leur propre supercherie. Nous assistons de façon de plus en plus évidente à l'érosion d'une espérance

lumières qui critiquent la monarchie absolue et souhaitent mettre en place en particulier à travers Montesquieu une séparation des pouvoirs. Le but de la séparation des pouvoirs c’est d’éviter que le citoyen ou le sujet en monarchie soit soumis à un autoritarisme des pouvoirs publics ou du seul détenteur du pouvoir et de protéger ainsi ses droits et libertés. Symboliquement l’art.16 de la DDHC symbolise ce but de séparation des pouvoirs. Selon l’art.16 « toute société dans laquelle la garantie des droits

liberté totale font des confusions de plusieurs sortes. :  –  une confusion entre liberté et libération – une confusion entre être libre et être libertaire  – une confusion entre Autorité et Autoritarisme  a) Confusion entre liberté et libérationSi je suis libre, je jouis de la liberté. Par contre, si je suis prisonnier ou esclave, je dois me libérer. La libération est légitime quand il s’agit de contester une organisation

foules ont commencé en France vers la fin XVII siècle avec la Révolution française. L’auteur dit qu’il y a deux facteurs principaux qui sont à la base de cette transformation. Il associe en premier, l’essor « des foules » au développement de la démocratie et de l’association, aux corporations et aux syndicats. Le Bon dit que « l’âme des foules » est due à la « contagions-suggestion », qui commence un peu partout sur un fond de démocratisation croissante qui libère les peuples d’un « Ancien Régime

l’ancienne équipe dirigeante. En 2002, un petit groupe d’adhérents dirigé par Michel Pattou, renverse Pierre Gourgeon, le président d’ITM le holding du groupe qui possède Intermarché, Ecomarché ou encore Netto). La maison est paralysée par un autoritarisme stérile. Le nordiste Michel Pattou, réputé pour son franc-parler, impose un nouveau style. Une de ses cartes maîtresses se nomme Philippe Boutron, qu’il place à la direction des enseignes alimentaires (21 des 31 milliards d’euros de chiffre d’affaires

commune de ces états qui définissent sans doute quelque chose comme un sens commun civique national. Exercice de Bertrand Badie et Guy Hermet, ils essaient de définir les sens civiques nationaux présents dans les démocraties occidentales. Selon eux le fond commun propre aux démocraties occidentales, le premier c'est le primat de l'autonomie de l'individu et sur l'idée un peu plus fragile de la légitimité des gouvernants, cette légitimité s'appui sur le principe de l'élection libre. Deux principes

société est marquée par les acquis et les principes de la Révolution et engagée dans les mutations liées au processus d'industrialisation. Les questions des années 1848-1851 (thème V de seconde) : démocratie sociale, articulation entre représentation politique et suffrage universel, entre autorité et démocratie, entre exécutif et législatif et entre Paris et Province constituent le point de départ ainsi que les enjeux durables. Le Second Empire est un césarisme démocratique, dans lequel le suffrage

théoriser un nouveau concept, celui de totalitarisme. Ce sera surtout dans les années 50 que des intellectuels comme Hannah Arendt ou Raymond Aron en trouveront des définitions abouties. Comme le souligne Joan Linz il s'agit de ne pas confondre autoritarisme et totalitarisme, puisque dans le dernier type de régime, la place de l'idéologie, le caractère moniste du pouvoir et le degré de mobilisation de la population est beaucoup plus forte. Afin de cerner encore plus précisément la notion de totalitarisme