Démonologie

Pictural (et mythologie) :Syrinx : nymphe de la mythologie grecque, à l’origine de la flûte de pan | par extension, syrinx désigne la flûte de pan en elle-même Cabalistes : personnes tournée vers l’occulte | la démonologie via l’ouvrage de la Kabbale (histoire de Lilith, Samael etc.) Elyséen  : qui a un rapport avec l’Elysée (lieux des enfers où séjourne les héros et les gens vertueux) Poussah  : jeu rond, une figure sur une

aux sorcières prend de l’ampleur au moment ou cesse les poursuites contre l’hérésie protestante qui s’établit en église. Sorcières sont d’ailleurs autant combattues par P et Catho. Multiplication des livres de démonologie, y compris par des esprits « éclairés » tel que J. Bodin, Démonologie des sorciers, 1580. Entrée en force du diable sur la scène religieuse entre 1570 et 1580. Vers 1580 s’opère un 1er basculement vers le catholicisme de la peur résultant de la lutte entre P et C pour le contrôle

avec enthousiasme. Philosophie de l’histoire de T.H.Green : d’époque en époque, Dieu s’incarne dans la vie sociale et celle-ci tend de plus en plus vers la perfection morale, morale essence de la religion. Religions sémites païennes : * Démonologie abondante qui engendre la peur * Rapports stables et réconfortants avec le dieu de la communauté Les démons sont l’élément primitif que rejette Israël, les rapports moraux et stables avec Dieu constituent la vraie religion. Robertson Smith :

elle est corrompue par le Diable et est ainsi poussée au vice à travers la sexualité. Anne-Cécile Huprelle dit que la femme est un « objet de passion », « la maîtresse du vice ». Pour revenir aux sorcières, elle met en lumière les théories de la démonologie selon lesquelles, les sorcières s’accouplent avec les démons mais sans plaisir. L’unique but de cet acte est de « contaminer les hommes par le fruit de cette union ». En définitive, la femme en étant plus fragile et  plus imparfaite que l’homme

étymologiquement il signifie loup-garou . Lycanthrope est un terme issu du grec est le deuxième terme qu'on utilse pour designer un loup-garou. La croyance aux loups-garous ,êtres humains capables de se métamorphoser en loup puise ses racines dans la démonologie médiévale. Au XVI siècle la croyance en la véracité des loups-garous est telle que l'Église romane décide de mener une enquête officielle.Entre 1520 et le milieu du XVII siècle ,on dénombre quelque trente mille cas de lycanthropie en Europe ,

espagnols ont débarqué au Mexique, le Plateau central était peuplé d'une multitude de dieux. Pour interprèter cette diversité déroutante ils n'avaient à leur disposition que leurs souvenirs du paganisme gréco-latin, le catalogue des figures de la démonologie et aussi la foule des saints du calendriers. Nous ne sommes guère mieux armés qu'eux pour interprèter cette multitude de figures divines. Comme les hébreux et les premiers chrétiens en s'implantant à Rome, avaient emprunté au latin le vieux mot

la perception de la maladie, le malade était celui qui avait pactisé avec le diable, c’était une perception démonologique, (elle a eu des conséquences énormes car les malades étaient brûlés, comme les procès de sorcières). Cette conception de la démonologie était en ligne avec l’époque et surtout avec une autre ligne qui est la théorie (du grec theos). Hippocrate et Polype mettent en place la théorie des humeurs et en même temps Galien met en place sa théorie mais cela n’excluait pas la perception

paysans culpabilités par leur attachement à la religion populaire et à leurs traditions culturelles alors que se développe la lutte contre les superstitions pensent se dédouaner en prêtant main forte, par des témoignages, aux magistrats férus de démonologie. Ils participent ainsi au combat du bien contre le mal pour que soit assuré le salut de la communauté ; ce qui n’empêche pas la survivance d’une sorcellerie voilée et clandestine. 9. La culture orale L’écrit est peu accessible

modernes en formation. Ce sont eux qui interrogent, qui ordonnent la torture et les punitions, eux qui font rechercher sur le corps des femmes les marques diaboliques. Ce sont eux qui légalisent le "droit de tuer", eux qui rédigent les manuels de "démonologie", ces livres qui non seulement diffusent le portrait-robot, mais fournissent la liste des questions à poser et des réponses à obtenir... Et cette science où brillent tout particulièrement les théoriciens français, se diffuse dans le peuple grâce

explication bien plus raisonnée et plus crédible. Il préfère justifier l'incohérence du témoignage par le mensonge des deux témoins plutôt qu'en le justifiant par le recours à ne sais quel procédé magique. On sait qu'à l'époque, les traités de démonologie avaient grand succès. Face à cela, Montaigne reste sceptique : pour lui, les sorcières sont des folles et les démonologues des imposteurs ; sorcières et démonologues sont victimes de la même illusion collective. Notre ignorance devrait nous conduire