Dénonciation Torture Voltaire

internationales avaient prôné l’internationalisme contre le nationalisme belliciste. Erasme ou Emeric Crucé, Victor Hugo considérait ce dernier comme le précurseur de la société des nations, l’abbé de St Pierre fait aussi parti de cette conception que Voltaire considérait comme l’abbé St utopique. Tous ces auteurs pensaient à une évolution de la société internationale vers une Rép mondiale ou à défaut vers une fédération mondiale des peuples. C’est une conception qui est reprise aussi auj. 2 ex d’auteurs

ambitieux » Cela dit, l’Etat que prévoit Platon est totalitaire, par plusieurs aspects : - C’est un état fondé sur la religion, et l’athéisme est proscrit. - Le mariage est obligatoire. - La propriété privée est très limitée. - La dénonciation est imposée au citoyen qui connait un manquement à la loi. Curieusement, la cité a aussi un aspect démocratique : Le directeur Général de l’Education est élu. C’est le premier magistrat de la cité. Platon préconise même le vote à bulletin

partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne. (Sensation) Messieurs, ce sont là des faits incontestables. L’adoucissement de la pénalité est un grand et sérieux progrès. Le XVIIIe siècle, c’est une partie de sa gloire, a aboli la torture ; le XXe siècle abolira la peine de mort. (Vive adhésion. Oui, oui !) Vous ne l’abolirez pas peut-être aujourd’hui ; mais n’en doutez pas, demain, vous l’abolirez, ou vos successeurs l’aboliront. (Nous l’abolirons ! Agitation !) […] Dans le

ce que les prêtres d'Egypte dirent à Solon : O Athéniens, vous n'êtes que des enfants ! » Esprit des Lois, XXX, 14. « Montesquieu a fait voir... » Mine DE STAËL. « La France avait perdu ses titres de noblesse ; Montesquieu les lui a rendus. » VOLTAIRE. TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS CHAPITRE PREMIER. — 7 Une révolution dans la II 43 méthode III. — La dialectique de l'histoire II. — Une nouvelle théorie de la loi 28 IV. — « Il y a trois gouvernements... » 65 V. — Le mythe de

religieuses. Il défend avec zèle l’Eglise traditionnelle. On lui doit une autobiographie très émouvante, La Vie d’Avvakoum, dans laquelle il exprime son indignation devant les réformes et raconte ce que lui a valu sa fidélité à la tradition : les tortures et l’exil en Sibérie avec femme et enfants. Cette œuvre est l’un des premiers grands textes écrit dans une langue populaire. La parenté étroite du slavon (« langue savante » et du russe (« langue vulgaire ») avait retardé l’apparition d’une littérature

philosophes français a partir d’un petit livre rédiger par voltaire en 1721 « le lettres anglaises » dans lesquelles il fait l’éloge du système britannique. Elles seront relayer par Montesquieu dans l’esprit des loi en 1748. L’Angleterre est donc une mode, mais est elle un model ? Ce que l’on admire en Angleterre c’est d’abord son industrie et son commerce avec ses colonies. L’autre objet d’admiration est sont système politique. D’après voltaire, Montesquieu : les libertés individuelles garanties et

un  soit  disant  athée,  je  constate  que  vous  êtes  assez  calé, en matière de religion.    LUI  Pour  vaincre  son  ennemi,  Mademoiselle,  il  le  faut  parfaitement  connaître.  Et  si  je  devais  paraphraser  mon  modèle dans le  genre,  Voltaire,  bien  qu’il  ne  fût  pas  athée mais  déiste, je  dirais  que  pour  ‘écraser  l’infâme‘, comme  il  disait,  hé  bien il  faut justement bien connaître  l’infâme.  Spinoza,  qui lui non  plus  n’était  pas  athée  mais  panthéiste, pour avoir violemment 

le droit pénal punissez + par rapport au trouble qu’avait causé l’individu que la faute de l’individu). 3ème caractéristique : Son caractère barbare, violent. Il n’était pas rare à l’époque de recourir à la torture, culture totale de l’avoue en le torturant. Au delà des tortures ce droit pénal appliqué des peines qui se caractérisée par leur cruauté. (Cartant, la roue, l’écartèlement, le supplice du pale…). Cela en public. Le droit pénal a l’époque (la police et la justice) était d’une

. . . . . . . . . . . . qui . . . . .rend . . . . . . l’expérience ...................... poétique . . . . . . . . . . . .immédiate, . . . . . . . . . . . . . . donc . . . . . . . plus . . . . . .accessible. . . . . . . . . . . . . . La . . . .dénonciation ....................... de . . . .la . . .guerre . . . . . . . . est . . . . partagée . . . . . . . . . . . . par . . . . . le . . .lecteur, . . . . . . . . . qui . . . . .semble . . . . . . . . .devenir . . . . . . . . . .le ....... destinataire

science pénitentiaire Quelle a été l’évolution de la réaction sociale contre le phénomène criminel ? En réaction à l’arbitraire qui sévissait, dans l’incrimination et la sanction, sous l’Ancien Régime, les philosophes du 18ème siècle (Rousseau, Voltaire, Montesquieu, …) et les juristes (ex : Cesare Beccaria) ont mis en avant les idées de la légalité des délits et des peines, d’égalité, de proportionnalité et même d’humanité dans la répression. En 1971, le 1er Code pénal voit le jour et consacre