Dénonciation Torture Voltaire

blessé sur sa monture, tandis que s’éloignent au loin le prêtre (à l’horizon) et le lévite. Le tableau est peint dans la dernière année de la vie du peintre, le rendu © Hachette Livre – Histoire Seconde – La photocopie non autorisée est un délit. torturé du paysage témoignant de la touche fébrile et mouvementée du peintre, signe des tourments intérieurs de l’artiste qui devait se tirer une balle en pleine poitrine le 27 juillet 1890 et mourir deux jours plus tard. Réponses aux questions 1. C’est

Révolution culturelle en Chine ». 6 6239_001_224.indd 6 16/08/12 12:36 Étudier la mise à l’épreuve de l’amitié Cet extrait permet de montrer la difficulté de vivre une amitié dans un contexte historique particulièrement lourd. Une scène de dénonciation publique 1. Les personnages principaux sont deux adolescents Luo, 15 ans, et le narrateur, 14 ans. La scène est centrée sur un autre protagoniste, le père de Luo, qui est un « célèbre dentiste » comme l’indique le paratexte, jugé « REACTIONNAIRE

applaudissements, qui roulaient avec un bruit de feuilles sèches. Des voix criaient : – Justice ! ... Il est temps, justice ! Peu à peu, Étienne s’échauffait. Il n’avait pas l’abondance facile et coulante de Rasseneur. Les mots lui manquaient souvent, il devait torturer sa phrase, il en sortait par un effort qu’il appuyait d’un coup d’épaule. Seulement, à ces heurts continuels, il rencontrait des images d’une énergie familière, qui empoignaient son auditoire ; tandis que ses gestes d’ouvrier au chantier, ses coudes

période de la guerre du Péloponnèse, lorsque la longueur de la guerre finit par lasser une partie des citoyens. Aristophane s’appuie sur le manque d’assiduité des citoyens, le manque de sérieux des prytanes qui arrivent à midi à l’assemblée. Sa dénonciation du fonctionnement de la démocratie et des partisans de la guerre est d’autant plus forte qu’elle s’appuie sur la volonté de paix et sur le fait que Dicéopolis, paysan venu en ville à la première heure, doit passer son temps à l’Assemblée au

tendance à se laisser guider par des ambitieux. L’Etat que préconise Platon : totalitaire, fondé sur la religion. Athéisme proscrit. Mariage obligatoire (= législation de Constantin vt décriminaliser le célibat.) Propriété privée très limitée, dénonciation est imposée aux citoyens qui connaissent 1manquement à la loi. Ms qq aspects démocratiques : par ex : le directeur Gal de l’éducation est élu : 1er Ma de la cité, il est revêtu de pvrs exorbitants peut contrôler vie privée des citoyens. et Platon

contre le protestantisme en créant les chambres de justice chargées de juger les hérétiques, notamment les protestants. Ces procès, où la torture joue un rôle central, conduisent aux repentirs forcés et aux bûchers ; ces chambres sont alors appelées « chambres ardentes » ! Elles seront supprimées en 1549, face à l’opposition qu’elles soulèvent. Pendant que l’on torture, un médecin soigne et s’impose comme le premier grand chirurgien de notre histoire : Ambroise Paré. A m b ro i s e Pa r é ( 1 5 0 9

dicter le contrat sociale. Le meilleur moyen d’éviter les conflits, et de faire en sorte que le contrat social soit organisé autours du droit naturel. §2 : La philosophie des lumières La philosophie des lumières, par Montesquieu, rousseau, voltaire.. Rousseau commence par adressé des reproches a Locke, cad de ne pas permettre la liberté totale de l’état de nature. Le système de Locke n’organise pas un système de liberté totale puisqu’il fait un partage entre les libertés d’un coté et le pouvoir

la cérémonie de l’exécution était publique, les peines corporelles étaient nombreuses : la roue, le fouet, le marquage au fer rouge, … Cette rigueur se manifestait aussi dans la procédure puisque pour faire avouer les personnes on utilisait la torture. Cette rigueur se manifestait également par l’ignorance de la personnalité des peines : on pouvait condamner des innocents par exemple un homme qui voulait tué le roi, les enfants et l’époux subissaient des peines également. § 2 : La période

subordination des caractères et des « mœurs » à l’action, « âme de la tragédie » ; tout se passe comme si l’action était devenue non plus une fin mais un moyen ; et la nervure, l’axe de l’action tragique, consiste en la mise à nu, la mise à mort d’êtres torturés, la damnation (ou éventuellement le salut) d’âmes consumées.21 Ainsi, l’on se rend compte de l’importance du choix des personnages dans la construction dramatique, du choix de leurs caractères à l’inverse du principe d’Aristote22 : Bien loin

1945, il avait constaté au camp de P.G. les décès de cinquante de ses compatriotes. Leur mort avait été provoquée par une alimentation insuffisante, par des travaux pénibles et par la crainte perpétuelle dans laquelle les malheureux vivaient d’être torturés. Le régime alimentaire du camp, qui était placé sous les ordres du commandant Texier, consistait, en effet, en une assiette de soupe claire, avec un peu de pain. Le reste des rations allait au marché noir. Il y eut une période où le pourcentage de