Dénouement Le Misanthrope

repose sur bien peu de choses. → question d'illusion et d'apparence. III. Travestissement et paraître. → complexité de ce travestissement qui est double. Avantage et inconvénient. Donne et retire du pouvoir au personnage. Ce qui va préparer le dénouement. → Multiples facettes de Rosalinde : double travestissement, elle joue un rôle, mais joue son propre rôle. Scène à double témoin caché. Orlando assiste à cette scène, mais nous y assistons aussi. Elle parle d'elle-même, complexité du personnage

[seconde préface]), il rejeta avec vigueur les critiques des «censeurs». Intérêt de l’action Cette sombre tragédie qu’est ‘’Britannicus’’ est aux antipodes de la précédente, ‘’Andromaque’’, de sa galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’

[seconde préface]), il rejeta avec vigueur les critiques des «censeurs». Intérêt de l’action Cette sombre tragédie qu’est ‘’Britannicus’’ est aux antipodes de la précédente, ‘’Andromaque’’, de sa galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’

structurées et réglementées (acte, scènes), ce qui fait suivre au temps un rythme particulier, entre interludes, entractes, constructions des scènes… (quand on a unité d’action : crise au 3eme acte, tentative de résolution au 4eme et dénouement au 5eme). - Le temps subjectif de l’histoire raconté C. Les personnages La meilleure façon pour désigner ces hommes en action, car le terme est formé sur substantif « persona », étymologie latine : le masque « porte

DR TORABI – XVIIE SIÈCLE UNIVERSITÉ CHAHID BEHECHTI DEPARTEMENT DE FRANÇAIS - fiche 7 MOLIERE ET LA COMEDIE Qu'est-ce qu'une comédie? C'est une pièce de théâtre gaie, dont le but est de faire rire. L'histoire se termine toujours bien (dénouement heureux), les héros sont la plupart du temps issus des milieux populaires, et le comique, traditionnellement, se base sur des jeux de scène utilisant les déguisements, les plaisanteries faciles, les coups de bâton, etc... La comédie est un genre

Jean-Pierre sarrazaC, L’Avenir du drame, Éditions de l’Aire, 198l. – Anne uBersfeLD, Lire le théâtre, Éditions sociales, 1977. 1 Les genres mixtes La tragi-comédie TexTe 1 ➜ p. 108 Corneille, Le Cid n 1. Situation du texte L’étude du dénouement du Cid met en lumière deux caractéristiques de la tragi-comédie : une fin heureuse et les libertés prises avec les règles de bienséance et de vraisemblance. On peut ainsi mieux comprendre 66 • Chapitre 2 • Le théâtre : texte et représentation

doute du colonel, alors qu’il devrait faire confiance à un homme dont il a pu mesurer l’honnêteté. En outre, son plaisir à manipuler les gens, et notamment la comtesse, est assez troublant. Enfin, à la fin du récit, qu’il se montre pessimiste et misanthrope, décidant brusquement de quitter Paris et d’abandonner sa profession, sans considérer qu’il pourrait contribuer à une amélioration en œuvrant depuis l’intérieur du système juridique. De la lecture à l’écriture p. 79 Des mots pour mieux écrire

avoue une faute mineure constitue une péripétie décisive, puisqu’il se met en danger sans le savoir. Et ce sont les propos du Loup qui clôturent la fable par la désignation du plus faible à la vindicte populaire : les vers 61 et 62 constituent un dénouement brutal. On peut donc dire que cette fable, dont les péripéties principales sont constituées par les discours des personnages animaux, a un caractère théâtral accusé. Un récit étendu et riche en rebondissements Un regard critique sur la cour Cette

mise en abyme des deux sexes où les identités vacillent. Marivaux et Pirandello se souviendront de ce ressort fécond. Dans la surprise de l’amour, les personnages connaissent le trouble, le vertige, le charme qui les subjugue et les asservit. Le dénouement même préserve tous les attraits de l’ambiguïté, comme si, une fois pour toutes, le mal, certes délicieux, était fait. Le rire et la gravité se mêlent pour célébrer la Vie. Malvolio est le personnage qui coalise les émois et les ridicules de la passion

partît après tout ce que j'ai fait ?... Ah, voilà qui est fini, il s'en va, je n'ai pas tant de pouvoir sur lui que je le croyais : mon frère est un maladroit, il s'y est mal pris, les gens indifférents gâtent tout. Ne suis-je pas bien avancée ? quel dénouement! ... Dorante reparaît pourtant; il me semble qu'il revient, je me dédis donc, je l'aime encore... Feignons de sortir, afin qu'il m'arrête : il faut bien que notre réconciliation lui coûte quelque chose. DORANTE, l'arrêtant. - Restez, je vous