Désindustrialisation De La Classe Ouvrière

favorable à une production industrielle de masse. L’augmentation du pouvoir d’achat fut aussi un élément déterminant dans ce phénomène. Les milieux ruraux ne disposant pas d’un pouvoir d’achat suffisant, la consommation se repose ainsi sur les classes moyennes urbaines, composées de marchands, d’entrepreneurs et professions libérales, et voyant leur nombre croître de jour en jour. Ce phénomène est d’ailleurs plus important en Angleterre, car son réseau de transports, et ainsi son milieu urbain

abandonné à la mafia, à l’économie souterraine ”, telles ont été les formules utilisées par le ministre de l’Intérieur[2]. Le fait est que cette position n’est pas isolée, tant il semble y avoir consensus sur ce point question au sein de la classe politique française. Ainsi, certains ministres et secrétaires d’Etat socialistes ne tenaient pas un discours si différent lorsqu’ils exprimaient leur refus que les “ petits caïds fassent la loi dans nos villes ”, craignant que se développe à côté

y a une force différenciation des classes sociales. Les riches sont peu en nombres, la classe moyenne est urbaine et tend vers un espoir de progrès, enfin, la classe des « pauvres », qui sont beaucoup en nombres. Le paupérisme est le produit des structures anciennes et est accentué par les conjonctures défavorables comme les guerres, les famines et les épidémies. Les pauvres sont donc un fait de structure des économies anciennes. Les riches Classe moyenne Les pauvres

« écoles-ghettos » que les classes moyennes ou favorisées évitent par tous les moyens (l’introduction de la donne scolaire dans les choix résidentiel de ceux qui ont les moyens, l’usage de dérogations ou encore le recours à l’école privée). * Le taux de chômage et la précarité Les grandes restructurations industrielles de la décennie 80 se traduisent par une massification du chômage et par une précarisation de grande ampleur. Si l’ensemble de la population ouvrière est touchée, la génération

perçu la gentrification comme un salut inespéré pour les centres-villes, marquant un arrêt de l'abandon résidentiel après des décennies de fuite des classes moyennes blanches et permettant une augmentation de la base fiscale (Sumka, 1979 ; Sternlieb et Hughes, 1983), d'autres la considèrent en revanche comme une menace sur les zones résidentielles ouvrières des centres-villes (Ley, 1981 ; Hartman, 1979 ; Marcuse, 1986 ; Legates et Hartman, 1986) et un prélude à la reconversion de parties entières des

l’exode rurale ce qui entraine des gains de productivité *c’est une amélioration dans le temps*. Mais cette amélioration rend une partie de la population rurale en trop. Ils se dirigeront alors vers l’industrie. La population s’entasse et devient ouvrière. Entre le XIXe s, et les années 50’ le même processus se produit dans le deuxième secteur produisant une diffusion du progrès technique et une augmentation des gains de productivité, mais conduisant à deux conséquences importantes : - fait

Colles d’histoire HEC 1D 2005-2006 I – Plans des colles de première année II – Sujets des oraux du Concours blanc 3 III – Conseils de méthode I – plans des colles de premiere année Liste des sujets, classés par thème : I) Sujets sur l’économie mondiale 2 1) Pays belligérants et économie de marché (1914-1918) 2 2) La guerre : seule issue de la crise de 1929 2 3) La crise des années trente : nouveautés 2 4) Les enjeux économiques de la guerre froide 3

province. Par contre, ce développement industriel a des conséquences importantes sur la société en permettant le travail des enfants, en imposant des conditions de vie et de travail difficiles et en établissant des disparités économiques entre la classe ouvrière et la bourgeoisie. Finalement, ce changement économique impose de conséquences territoriales en favorisant le développement de nouvelles régions, en créant différents quartiers et en permettant le développement des transports (chemins de fer,

On entre dans l'ère de la production de masse, on produit davantage (augmentation de la productivité), plus vite et moins cher, d'où une baisse des prix et une augmentation du pouvoir d'achat et de la consommation, même si les inégalités entre les classes sociales sont importantes. Les grands magasins apparaissent en Europe depuis la 2-XIX ème s (Printemps, Bon Marché en France, Harrod's en GB). Félix Potin lance en 1860 la 1ère épicerie à grande surface. Ces magasins mettent au point de nouvelles

nocturne sous acide, trouva dans la rue en bas de l’immeuble. Il fut rapidement adopté au milieu du loft et fut le témoin de nombreuses descentes de drogues des résidents. En parallèle à ce mouvement pop art, germe une aspiration croissante de la classe moyenne de New York de délaisser les transports en communs, pour se rapprocher du lieu de travail. Elle trouva dans les lofts, un refuge à la contrainte de ces transports, longs et inconfortables. En effet, les anciennes usines, manufactures et sites