Désindustrialisation

concernait que les secteurs traditionnels de l’industrie manufacturière dont la partie de production la plus intensive en main d’œuvre peu qualifiée était transférée vers les pays à bas salaires. Le danger qu’elle représentait était donc la désindustrialisation ou encore la perte du savoir-faire notamment sur le plan technologique. Mais, la discussion était souvent remportée par ceux qui mettaient l’accent sur le rôle des exportations dans la création d’emploi dans le secteur des services. Aujourd’hui

qualifications, notamment du fait d'un développement rapide de la formation et de l'éducation de masse, et par les besoins élevés de l'industrie en main-d'œuvre de qualification moyenne. Depuis que ces besoins ont arrêté de croître et le début de la désindustrialisation, c'est-à-dire dès la fin des années soixante aux États-Unis, nous serions entrés dans une nouvelle phase, où les nouveaux secteurs (services aux entreprises, informatique, communication ... ) valorisent de plus en plus des qualifications élevées

de l’emploi dans certains secteurs important des pays développer -certains grande entreprises délocaliser joue de la flexibilité des loi et sont parfois dans l’ilégalité. (conditions de travail non respecter , concurrence déloyale, ….= -la désindustrialisation, contestée, des pays riches 4/ Oui cat le traité de Lisbonne vise à faire de l’Union européenne, l’économie la plus compétitive et la plus dynamique au monde, basée sur la connaissance, capable d’atteindre un développement économique durable

(L’emploi est classé dans un secteur d’activité en fonction de l’activité principale de l’entreprise, mais l’activité réelle de la personne peut être différente, ex : tâches de gestion dans l’industrie). La tertiarisation a été associée à la désindustrialisation dans les PDEM. Cette affirmation est discutable à plus d’un titre. Il faut d’abord remarquer que celle-ci est globalement relative (décélération de la croissance industrielle) ; au surplus, la tertiarisation est, pour une part, induite par

d'exurbanisation des hommes, des activités et des équipements a provoqué un véritable déversement de la ville sur l'espace rural périphérique tout en créant de nouveaux paysages urbains. Tandis que les proches banlieues ouvrières continuaient de subir une désindustrialisation génératrice de friches industrielles, à la périphérie s'implantaient des zones industrielles et commerciales engendrant du coup une grande uniformisation des paysages urbains aux portes des agglomérations. Les couronnes suburbaines ont aussi

personnes 1850-1910 → croissance économique: deux mutations de la société: - essor de la population ouvrière, déclin de la paysannerie (doc. 59.4, 60.1). industries dans grandes villes et régions minières, fort exode rural (def. p.47). - désindustrialisation et tertiarisation depuis la fin des Trente Glorieuses: emplois d'ouvriers disparaissent (mécanisation, concurrence extérieure), + déclin des campagnes (2000: 3% de la population active). Forte augmentation du chômage. Deux catégories: emploi

économique:  économique - des liens avec l'Union européenne (mégalopole/tunnel sous la Manche) - Londres capitale européenne (city, quartier d'affaires/ rénovation des docks) La reconversion des vieilles régions industrielles:  - les pays noirs.(désindustrialisation, friches industrielles, reconversion) -les littoraux du Nord-Est: (gisements off-shore)  Le Royaume-Uni en marge: Régions en retrait, difficulté économique.  Informations provenant des documents Informations provenant du cours en rapport

d’énergie (d’où des pressions sur les prix et le contrôle des sources d’approvisionnement), sur les marchés de biens de consommation (la Chine comme « atelier du monde » inonde les marchés développés de produits à bas prix). - Craintes d’une désindustrialisation de l’Occident et d’un chômage structurel des non qualifiés dans les économies développées. - Craintes d’un développement peu durable : des risques écologiques majeurs (pollution, réchauffement climatique) générés par le premier pays pollueur

Construire un nouvel ordre international, c’est d’abord renforcer sa dimension multipolaire. Même si les Etats-Unis apparaissent en 1998 comme une « superpuissance », ils sont alors à leur apogée et leur domination connaît déjà des limites : désindustrialisation, déficit commercial, problème de la dette publique. Ils connaissent sur le plan économique de nombreux rivaux : pays européens et Japon mais surtout les pays émergents d’Asie comme la Chine et l’Inde.C’est la fin de l’économie-monde américaine

répondant à de grands enjeux sociétaux comme la santé, la dépendance, la sécurité. Dans cette perspective, la croissance qualitative ou la nature de la croissance par l’immatériel nous permettrait d’enrayer les effets indésirables de la désindustrialisation, voire de générer un cercle vertueux de réindustrialisation, de développer des gains de compétitivité relatifs pour faire face à la concurrence des États-Unis comme des pays émergents. La France est concernée au premier chef car, si