Désintermédiation

créance acquis par des ACF au bénéfice d'ABF (les mêmes que ceux cités plus haut) qui devront rembourser à échéances + intérêts. Ces titres, comme les actions, sont négociables, c'est à dire susceptibles d'être revendus. Remarque à propos de la « désintermédiation » bancaire : face au développement des marchés financiers (libéralisés, déréglementés) depuis une trentaine d'années, les banques ont vu une part importante de leur clientèle (grandes entreprises, Etats surtout) leur échapper. Elles sont donc

dérivés Années 80: la titrisation 2004 : les subprimes Les évolutions des législations la crise de 1907, les agences annotent le long terme la crise de 1929, les agences annotent aussi le court terme Années 70-80: déréglementation, désintermédiation, décloisonnement Années 88 à 2010: les accords de Bâle Les produits dérivés13: “Les produits dérivés sont des instruments financiers dont la valeur varie en fonction du prix/niveau d’un actif appelé sous-jacent. Le sous-jacent peut

croissants et voué à des besoins internationaux de financement inédits. Elle se caractérise par un triple mouvement, aussi appelé « les 3 D ». Déréglementation : abolition de la réglementation pour faciliter la circulation internationale du capital. Désintermédiation : accession directe des opérateurs aux sources de financement sans intermédiaires. Décloisonnement : éclatement des compartiments géographique, fonctionnels et temporels. Ainsi dans le cadre de marché financier intégré, la croissance des pays

économie de marché sont progressivement passés d’une économie d’endettement à une économie de marchés financiers caractérisée par l’appel des entreprises à l’épargne par émission de titres et principalement actions et obligations. On parle de désintermédiation bancaire ou financière, de titrisation. Différents éléments expliquent cette évolution : une plus grande confiance dans le marché financier de la part des ménages, la hausse du taux d’intérêts réels face aux crédits, la déréglementation du marché

référence au carré magique de Kaldor conduit à oublier que de plus en plus on intègre des considérations qualitatives pour juger des performances des économies, la référence au 3D de Henri Bourguinat conduit à passer sous silence les limites de la désintermédiation (la place qui est celle des banques dans le système financier aujourd’hui) et celle de l’intégration financière internationale (paradoxe de FeldsteinHorioka). Plus généralement les correcteurs regrettent le manque de nuance dans les affirmations

l’échelle mondiale et 24 H/24 en permanence grâce à l’interconnexion et aux réseaux informatiques. Il s’agit d’un marché unique de capitaux. Ce marché mondial permet à tout investisseur ou emprunteur de rechercher le meilleur rendement. La désintermédiation bancaire : Le rôle des banques est modifié. Un réel développement du marché des capitaux en volume de transactions financières. Le développement du marché des capitaux est mondial. L’importance croissante des flux de capitaux est un élément

ses tiers agents éco : salariés, banques (prêts) et l’Etat (impôts) Rentabilité éco= EBE / Actifs immos + BFR Rentabilité capitaux propres (ou rentabilité financière) = Résultat /Capitaux propres Auj dévelopmt finance directe par marchés (=désintermédiation bancaire), d'où gde importance rentabilité financière. ROE « Return on Equity » : rentabilité des capitaux propres = +ROE élevé +facile ent recourir marchés financiers pour lever fonds : investisseurs rentabilité ++ par/ apport 1/ moyens possibles

formes de dette qui confèrent au détenteur de la dette des pouvoirs qui sont ceux normalement de l'actionnaire, avec un degré moindre de risque et une rémunération qui bénéficie d'un traitement fiscal beaucoup plus favorable. Par ailleurs la désintermédiation a transféré une part importante du rôle de financement aux marchés financiers. Les opérations de financement se font sur les marchés et les capitaux fournis ne résultent pas de la transformation de dépôts collectés par les banques. Si les

représentéenviron 80% des revenus dela banque traditionnelle. II) L’adaptation du secteur bancaire réglementé . A- VERS UNE DIVERSIFICATION DES SOURCES DE REVENUS  a. Une course aux commissions : Afin de pallier à la baisse de revenus engendrée par la désintermédiation traditionelle les banques nt développé le systèmes des commissions qui représentent aujourd’hui une part de plus en plus importante de leur revenus. Parrallèlement, l’intermédiation de marché a tendance a augmenter aussi. B. Un accompagnement

des besoins internationaux de financement inédits. Elle se caractérise par un triple mouvement, aussi appelé « les 3 D » : - « déréglementation » : abolition de la réglementation pour faciliter la circulation internationale du capital ; - « désintermédiation » : accession directe des opérateurs aux sources de financement sans intermédiaires ; - « décloisonnement » : éclatement des compartiments géographiques, fonctionnels et temporels. La globalisation conduit à une augmentation des flux de capitaux