Désirer Librement

d’expression. Donc : la liberté c’est chercher un plus grand bien Définition de ce qu’est la liberté : La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. Elle est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un absolu et elle se trouve

DISSERTATION «PEUT-ON DÉSIRER L’IMPOSSIBLE POUR ÊTRE HEUREUX?» Arthur Schopenhauer a toujours comparé le désir à «l'aumône que l’on jette à un mendiant. Elle lui sauve aujourd’hui la vie pour prolonger sa misère jusqu’à demain.». Cela exprime le fait que l’Homme désire toujours plus que ce qu’il a déjà acquis, c’est à dire que le désir est belle et bien insatiable. Sommes-nous donc à même, une fois que tous nos désirs accessibles aient été rassasiés, de désirer encore plus? De désirer l’impossible

l'université où il rencontre un professeur -qu'il appelle maître- qui lui fait découvrir des sentiments qu'il n'avais jamais ressenti et qui ont restés au long de sa vie. L'histoire d'une passion, la recherche d'une restitution parentale ou les enjeux d'un désir morbide sont les qualificatifs que l'on entend souvent à propos de la confusion des sentiments. En effet nous pourrions aborder le texte à partir d'une vision freudienne sur un modèle parental identifié dans les rôles des trois personnages principaux :

sommes soumis. Les passions produisent des effets corporels qui sont difficiles à contrôler. En effet, la passion accroit l’intensité du désir, le désir est la prise de conscience d’un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Si je désir une belle voiture, et avec le temps je me prenne de passion pour les belles voitures, alors il est vrai que mon désir d’une belle voiture sera plus important. Comme dit Freud «  Nous ne savons renoncer à rien. Nous ne savons qu’échanger une chose contre une

à des lois morales est- ce renoncer à sa liberté ?) I – Le sentiment de liberté et ses limites 1- Suffit- il que je puisse faire tout ce que je désire pour être libre ? La possibilité de faire tout ce qu’on désire implique qu’on ne rencontre aucune contrainte ou obstacle qui empêcheraient la réalisation du désir. Plus on disposerait de moyen techniques d’agir (de l’argent, une voiture, internet….) plus on serait libre. Si j’ai suffisamment d’argent je suis libre de m’offrir

supposition ou doute ou mensonge il y a une part de vérité. Il suffit juste de cultiver ce doute c'est à dire que ce doute doit faire l'objet d'une analyse en profondeur pour pouvoir dégager la vérité donc accéder à la connaissance. Douter serait alors un désir, un manque éprouvé, ouvrir le champ d'une recherche de la vérité et en ce sens, en doutant on n’aurait pas renoncé à la vérité mais on aurait commencé à la chercher. Il permet de ne pas se reposer sur des acquis et de chercher toujours plus loin des

carré (une ignorance qui s’ignore elle-même). On peut donc sincèrement vouloir être lucide et s’illusionner sur sa propre lucidité ! Par conséquent, la conscience ne se fait-elle pas des illusions sur son pouvoir à traquer l’illusion ? Ensuite, ce désir sans illusion est-il sincère et moralement souhaitable ? A-t-on toujours le courage de supporter d’un regard serein tout ce qu’il y a de cruel, de difficile, d’inhumain dans le réel, à savoir dans la nature comme dans la société, hors de nous comme

directement écartés de la conscience donc Freud fait l’hypothèse que la manifestation hystérique est le substitue d’un souvenir que la patiente ne veut pas affronter. Dans ces souvenirs, il y a la trace d’un désir qui n’est pas assumé par la conscience = l’hystérie est la manifestation d’un désir refouler. Il étudie plusieurs cas dont un : Une jeune fille qui aime beaucoup son beau-frère et la sœur de cette jeune fille est morte. Elle se dit que la voie est libre et elle se reproche d’avoir pensée à

s’exprimerait un peu plus librement lors des rêves que Freud essaye d’interpréter pour les comprendre. On imagine bien que la tâche est infiniment complexe, chaque symbole ayant une signification absolument personnelle d’où la multitude d’erreurs. De même, il exprime le fait que la plupart des lapsus sont révélateurs et seraient l’expression d’un désir refoulé. Si je dis : « Il suffit de ne pas le convier » au lieu de : « Il suffit de le convier », Freud analyserait ceci comme un désir qu’il ne vienne pas

certaines qui dépendent de nous et d’autres non. Celles qui sont à notre merci sont le désir, l’impulsion, la pensée, nos aversions, nos opinions et nos mouvements. Les choses qui ne dépendent pas de nous, c’est-à-dire que nous ne pouvons pas vraiment contrôler sont la réputation, le corps, l’argent et les charges publiques. Selon ce philosophe, si on se contente que des choses dont nous pouvons contrôler librement, nous vivrons heureux. Logiquement, celui-ci a raison, car si on se limite aux choses