Désobéir Aux Lois

«Pourquoi obéir aux lois?» Introduction: le mal existe, donc nécessité des lois seul argument des anarchistes argumentant l’absence de lois: la bonne nature de l’homme (Rousseau: c’est la société qui le corrompt) or, dès lors, qu’on est conscient que le mal existe et que celui-ci menace l’équilibre de la société, il faut établir des lois, des règles communes loi= une règle organisant la vie ensemble, et sanction prévue en cas de désobéissance → loi pas au sens moral mais loi pas que nécessaire

Philosophie Peut-on désobéir à la loi ? Nos sociétés se caractérisent par une justice bien définie de nos jours. Elle est entourée des différents symboles de la République comme par exemple la balance qui représente une idée de pour et contre, puis un personnage féminin qui a devant elle un livre (texte de loi) et les yeux bandés pour représenter sa neutralité afin que tout le monde soit égaux, mais encore l’arme blanche qui représente le pouvoir de condamner car même si la justice a besoin

possible son existence d'être vivant. En effet, sans lois, sans règles, et sans limites, est évidente la mise en place, de manière naturelle, de l'anarchie, c'est-à-dire l'absence de gouvernement, et l'anomie, c'est-à-dire l'abscence de principes communs: à l'état nature, c'est la loi du plus fort qui domine. Ainsi, c'est par ce besoin de justice que ressent de l'homme, que se crée l'État, le gouvernement, qui, lui-même, par le biais de ses lois, donne des limites aux êtres humains, pour éviter que

Aux traditions ? Aux lois de notre pays ? A-t-on légalement le droit de désobéir à la loi ? A-t-on moralement le droit de désobéir à la loi ? Les lois sont-elles toujours justes ? Par ailleurs, certains individus ne font pas des actes qui sont contraire à la loi ? Alors la question se pose, a-t-on le droit de s’opposer à la loi ou à la désobéissance civique ? On peut développer le droit de s’opposer Au droit positif qui est l'ensemble des règles dans une société (lois) Au droit naturel qui

socratere INTRODUCTION L a question ne se pose que si l’infraction à la loi est possible, donc dans le champ du droit et de la cité (c’est ce qui distingue les lois de la nature et lois de la cité. L’interdit n’est pas l’impossible, en raison de la présence d’une médiation, par la volonté ou la liberté). D’un point de vue simplement formel, • Ou bien c’est la loi elle-même qui autorise la désobéissance, et par définition

« J’ai obéi », ont affirmés les responsables nazis devant le tribunal de Nuremberg, plaidant coupables du devoir de chaque citoyen : l’obéissance. Ils ont exécutés les ordres, appliqués les lois, comme chaque citoyen doit le faire. N’avaient-ils pas les moyens de se révolter, de désobéir à cet Etat totalitaire qu’était le III° Reich, comme les Résistants ont eut le courage de le faire ? Là est toute la complexité du problème. Obéir, c’est accepter de s’en remettre à une tutelle morale et politique

; par analogie, lois divines : décrets supposés émaner de la volonté divine et gouvernant tant la nature que les actions humaines. 2. Par ext., règle suivie avec une certaine régularité dans une société, et dont la transgression est considérée comme une faute, même si elle n'est pas obligatoirement suivie de sanctions : les lois de l'honneur, les lois morales. 3. Norme à laquelle on ne peut se soustraire : « L'impératif catégorique seul a valeur de loi pratique » (KANT) ; les lois de la pensée. 4

question de l’obéissance et de la désobéissance pose d’emblée un problème aigu pour peu qu’on considère plus précisément la désobéissance. En effet, peut-on défendre la désobéissance sans se contredire, à savoir en promulguant une loi qui exhorterait à désobéir ? Une telle loi devrait s’excepter de la prescription qu’elle formule. D’autre part, on peut sérieusement se demander si la désobéissance peut bénéficier d’une caution sociale, voire politique. Afin d’aller plus loin dans ce questionnement, nous

PHILOSOPHIE Pour être juste suffit-il d’obéir aux lois ? INTRODUCTION Tout d’abord, il est important de définir les termes du sujet. Qu’est-ce qu’être juste? C’est respecter des valeurs qui peuvent être de type morales (que l’on reconnaît en sa conscience) ou encore sociales. De plus, être juste c’est faire ce qui est raisonnable, c'est-à-dire ce qui est mesuré, réfléchi, choisi par la raison, ce qui est sage. Être juste est une qualité morale, une vertu. Ensuite, l’utilisation du verbe «suffit-il»

Cours morale et politique: « peut-on désobéir aux lois ? » 1 On peut d’abord partir d’une définition très générale du mot de « droit » : le droit c’est la latitude de liberté que vous laisse la loi à l’intérieur d’une société gouvernée par un Etat ; le droit limite nos libertés afin qu’elles ne se détruisent pas l’une l’autre (sous-entendu : la liberté sans limite mène au chaos ; homme = non naturellement sociable, etc.). Fonction : ordre social. Nécessité sociale. Le droit à travers la loi