E.ON

se conformer par anticipation dès 2003 aux normes comptables internationales IFRS compatibles avec l’état actuel des normes françaises, dans le souci d’une meilleure comparabilité de ses comptes consolidés avec ses principaux concurrents en Europe (E.ON, RWE, Enel et Endesa étant déjà passés aux normes IAS/IFRS). EDF aurait été tenue de toute façon d’appliquer ces normes en 2005 dans la mesure où elle a fait déjà appel à l’épargne publique (sous la forme d’emprunts obligataires). Mais le passage aux

suivre… Il est également intéressant de mentionner deux autres projets russes qui montrent bien les enjeux en jeu. Primo, la construction du pipeline nord-européen (NEGP/ North European Gas Pipe/ North Stream), financé par Gazprom et les allemands E.ON et BASF, sur près de 3.000 km, dont 1.189 km sous la mer Baltique desservira l'Allemagne via la Baltique (Vyborg-Greifswald) d’ici 2010. Il 59 « Accord tripartite : Feu vert au pipeline Bourgas-Alexandroupolis », Ria Novosti, 15 mars 2007. Le consortium

l’expérimentation Contexte: Le projet « Energy Demand Research Project » est piloté par l’OFGEM pour le compte du Gouvernement britannique. Le projet a été lancé en juillet 2007 et est censé se terminer fin 2010. Il implique 4 fournisseurs majeurs : EDF Energy, E.ON UK, Scottish Power et Scottish and Southern Energy. Périmètre: Le projet s’étend sur 58000 clients résidentiels, dont près de 18000 ont reçu des compteurs évolués gaz et électricité (distincts ou double flux). L’échantillon a été segmenté en 26 groupes

conclu que les pesticides néonicotinoïdes apportent une contribution socio-économique et environnemental significatif à l'agriculture européenne et à l'économie en général. Le soutien et les partenaires de cet Institut sont BASF, Bayer CropScience, E.ON, KWS et Nestlé. L'étude a été soutenue par le Copa-Cogeca (le groupe de lobby des grands agriculteurs à Bruxelles), l'Association européenne de semences (représentant principalement les grandes entreprises dans l'industrie des semences) et l'Association

exhaustive) Amsterdam Amsterdam Amsterdam Bâle Bâle Cologne Cologne Dusseldorf Dusseldorf Dusseldorf Essen Francfort Francfort Francfort Francfort Leverkusen Mayence Stuttgart Stuttgart Zurich Francfort EADS KLM Rikjsmuseum Novartis Roche Ford Lufthansa E.ON Thyssenkrupp Mannesmann Ruhrgas Henkel Dresdner Bank Deutsche bank Commerzbank Bayer ZDF Daimler-benz Bosch UBS Frankurter Allgemeine Zeitung aérospatial transport aérien Musée Pharmacie Pharmacie Automobile transport aérien Énergie Métallurgie et

France France France Royaume-Uni Royaume-Uni Royaume-Uni Grèce Italie Italie Italie Italie Italie Japon Japon Japon Japon Japon Portugal Portugal Allemagne Allemagne Allemagne Royaume-Uni Royaume-Uni Espagne Italie Italie Services aux collectivités E.On AG RWE AG Evn Ag Verbund (Osterr Elek) Enagas Endesa (Empresa Nacional) Gas Natural SDG SA Iberdrola Renovables SA Iberdrola SA Red Electrica Corp. S.A. Union Fenosa SA Allemagne Allemagne Autriche Autriche Espagne Espagne Espagne Espagne Espagne Espagne

télécommunications et des services de distribution d’énergie. Exemple : Le marché de l’électricité aux particuliers s’est ouvert le 1er juillet 2007. Au 30 juin 2009, Électricité de France (EDF) garde une avance considérable sur ses concurrents (Poweo, GDF-Suez, E.ON) qui ne comptent que 1 035 000 sites sur un total de 29,6 millions. Les privatisations sont également l’occasion de renflouer les finances publiques. Exemple : En 2006, le gouvernement français a privatisé pour un montant d’environ 14 milliards

télécommunications et des services de distribution d’énergie. Exemple : Le marché de l’électricité aux particuliers s’est ouvert le 1er juillet 2007. Au 30 juin 2009, Électricité de France (EDF) garde une avance considérable sur ses concurrents (Poweo, GDF-Suez, E.ON) qui ne comptent que 1 035 000 sites sur un total de 29,6 millions. Les privatisations sont également l’occasion de renflouer les finances publiques. Exemple : En 2006, le gouvernement français a privatisé pour un montant d’environ 14 milliards d’euros

oi sl esobj ect i f sdel ’ obser vat oi r ecl ai r ementdéf i ni s,et quipeuventêt r evar i abl esd’ un poi ntdemesur eàl ’ aut r e,quel echoi x des méthodes, des outils et des sites pour r aêt r emi sen œuvr e.On se retrouve effectivement dans une situation classique de plan expérimental « in situ » respectant les étapes habituelles : formuler la problématique (validation de cartographies, étude épidémiologique; sui vide l ’ ur bani sme…)définir les

Etats-Unis ont dû se replier et quitter le pays. Les relations germano-ouzbèkes sont restées bonnes, en dépit des critiques et des sanctions de l’Union européenne contre les autorités de l’Ouzbékistan. 166. Les grands groupes énergétiques – BP, Total et E.ON – sont présents et ont une participation dans l’exploitation et le transport de gaz et de pétrole de l’Asie centrale vers l’Europe, notamment au Kazakhstan. Le Turkménistan et l’Ouzbékistan sont aussi des pays d’intérêt, mais l’enjeu énergétique