E.ON

départ du chancelier, qui ne se faisait guère d’illusions quant aux résultats du scrutin législatif. Les deux hommes signent le 8 septembre 2005 à Berlin un mémorandum d’entente entre Gazprom et deux compagnies énergétiques allemandes, Wintershell et E.ON/Ruhrgas, sur la construction du gazoduc nord-européen. Le coût de l’opération est estimé au minimum à cinq milliards d’euros répartis entre 51% pour Gazprom, et 24,5% BASF et EON, les deux sociétés allemandes. Ces entreprises auront un accès facilité

départ du chancelier, qui ne se faisait guère d’illusions quant aux résultats du scrutin législatif. Les deux hommes signent le 8 septembre 2005 à Berlin un mémorandum d’entente entre Gazprom et deux compagnies énergétiques allemandes, Wintershell et E.ON/Ruhrgas, sur la construction du gazoduc nord-européen. Le coût de l’opération est estimé au minimum à cinq milliards d’euros répartis entre 51% pour Gazprom, et 24,5% BASF et EON, les deux sociétés allemandes. Ces entreprises auront un accès facilité

1 GW London Array and the 1.2 GW Triton Knoll. Situated in the outer Thames estuary, 20km away from the Essex and Kent coasts, London Array (figure 9) is one the world biggest offshore wind farm. This project results from the joint venture between E.ON UK Renewable, Shell Wind Energy Ltd and CORE Ltd. With 341 turbines, generating 1,000MW, this installation will have the capacity to supply a quarter of Greater London homes. London Array has received planning permission. Project Director Andrew Murfin

système de capture de CO2 sur une centrale thermique à charbon “propre” de 450 MW. Ce partenariat devrait aboutir à la réalisation de la première centrale à charbon au monde, sans émissions de CO2. Alstom a par ailleurs noué des accords similaires avec E.ON (Suède) et Statoil (Norvège) pour explorer les solutions industrialisables de capture du CO2. Ces technologies s’appliquent aux centrales neuves comme aux installations existantes. EFFICACITÉ Maintenance Pour rester au meilleur niveau d’efficacité

Bayern Munich, le football allemand. Sous le label Borussia Dortmund GmbH & Co. KGaA, le BVB cote 50 % de sa propriété en bourse et de la seconde moitié, 24,9 % appartienne à la Deutsche Bank. Avec cette affiliation, en plus du nouveau contrat avec E.ON AG, l'une des plus fortes affluences de Bundesliga (60 000 spectateurs) et les puissants droits TV de Kirch, le BVB se lance dans un recrutement massif et couteux à l’image de Tomáš Rosický, Torsten Frings, Ewerthon, Jan Koller, Márcio Amoroso ou encore

cherche à diversifier ses activités, elle veut aller au-delà du gaz, s’étendre à l’international et croître sa taille pour devenir un acteur important à l’international. En effet, GDF veut pouvoir tenir tête à ces concurrents tels que l’allemand E.ON ou encore l’Italien ENI. La fusion lui permettra d’accélérer son développement industriel dans l’amont gazier (exploration, production, gaz naturel liquéfié), les infrastructures et la production d’électricité notamment dans le nucléaire et les énergies

d'appareils à haute tension à la suite de la libéralisation du marché de l'énergie électrique, plusieurs marchés nationaux sont restés traditionnellement dominés par quelques sociétés d'État. Parmi les principaux utilisateurs, on peut aussi citer : RWE et E.ON en Allemagne, Tokyo Electric Power au Japon, State Grid Corporation of China22 en Chine, Power Grid Corporation of India en Inde, Enel et Terna en Italie, Edelca au Venezuela, Furnas au Brésil, ESCOM en Afrique du Sud, Hydro-Québec et BC Hydro au

pour l'Energie (Deutsche Energie Agentur - DENA), le programme pluri-annuel d'équipement, sur 9 ans, nécessiterait un budget de 56 milliards d'euros32. La Société française Nexans a annoncé, début décembre 2013, avoir fourni à l'opérateur allemand E.ON Netz un câble souterrain en aluminium d'une longueur de 5,5 km, pour l'extension de son infrastructure réseau destinée au transport de l'énergie éolienne dans le district de Dithmarschen. Ce câble souterrain représente une capacité de transport de

sein de l’Union Européenne, augmentant fortement la volatilité des prix des instruments dérivés liés. L’Europe a de plus connu une phase de concentrations industrielle importante conduisant à l’émergence de plusieurs géants énergétiques comme EDF, E.ON, ENEL, RWE ou Gaz de France –Suez. Enfin, les vagues de froid intenses en 2004-2005 et en 2005-2006 ont entraîné des pics de consommation, avec un effet similaire sur les prix du carbone (cf graphe en II 5). Comme l’explique le rapport intermédiaire

en dehors de leur marché domestique. La poursuite de la restructuration du secteur de l’énergie et du mouvement de consolidation de ses acteurs. Ce mouvement, marqué par de nombreuses opérations de fusion-acquisition (Suez/Electrabel, E.ON/Ruhrgas, EDF/Edison, E.ON/MOL, Dong/Elsam/E2, Enel/Acciona/Endesa, Iberdrola/ Scottish Power), répond à la volonté de plus en plus forte d’atteindre rapidement une taille critique appréciée à l’échelle européenne, voire mondiale. L’évolution de la demande des consommateurs