Écholalie

pour ses besoins, incapacité à interagir avec de façon appropriée troubles de la communication : absence totale ou retard de langage, sans compensation par des modes non verbaux (gestes, mimiques), bizarreries (inversion pronominale, jargon, écholalie, stéréotypies, discours pédant), difficultés marquées à soutenir une conversation caractère restreint et répétitif des intérêts et des activités avec intolérance au changement, stéréotypies (balancements, …), besoins de rituels, usage détourné

et la communication avec les autres, à cause des problèmes de décodage du langage non verbal (langage corporel, expression du visage, inflexion de la voix). Un langage en apparence riche, au vocabulaire étendu, mais sans véritable communication, écholalie (répéter le même mot ou la même phrase). Un langage et une compréhension au sens littéral des expressions (incompréhension des jeux de mots ou de l’ironie) Une façon de parler manquant de naturel, précieuse, avec une voix souvent monocorde ou avec

objets dans l'espace, l'attention et la compréhension des relations sociales échelle verbale Tests d'intelligence de Wechsler. Tests permettant de mesurer la capacité à manipuler des symboles abstraits comme le langage et les notions arithmétiques écholalie Répétition machinale et anormale des paroles entendues effet Barnum Un sujet a tendance à appréhender des énoncés généraux sur la personnalité comme s'ils s'appliquaient à lui-même égocentrisme Tendance d'un sujet à tout ramener à lui. Selon Piaget

- comportement inhabituel, utilisation ritualisée et stéréotypée des objets. - Mutisme ou présence d'un langage dont l'objectif n'est pas la communication, caractérisé par des écholalies allant jusqu'à donner l'impression de surdité. - Capacités cognitives qui se manifestent en capacités supérieures dans certains domaines de compétence, principalement en mémoire et visuospatial. Kanner a déjà établi des critères

l’objet, une sensation pour créer une sécurité), mimétisme d’une surface, démantèlement : éparpiller l’objet en ses différentes composantes sensorielles, désorganisation de perception donc l’objet n’existe pas donc pas sentiment d’être séparé de lui. Echolalies. Relations à l’objet ? Sujet va percevoir plus les formes que les contenus, contours. Contenant formel d’ANZIEU qui contient l’expérience. Narcissisme primaire dans la relation à l’objet, état non-anobjectale. Pathologisation : autisme, psychose

de la communication. Il peut avoir une atteinte de l'expression, de la compréhension et de la communication verbale et non verbale. Au niveau du langage il peut être complètement absent ou s'il se développe peut présenter des anomalies de types écholalie, inversion des pronoms, incapacité à nommer les objets, inaptitude à utiliser les termes abstraits, signification comprise que par ceux qui connaisse bien l'enfant (émission vocales idiosyncrasiques (1). Lorsque l'enfant parle , il le fait avec un

puis des gazouillis, du babillage vers 3-4 mois où le bébé commence à préférer certains sons et les répéter (lalala…mamama…). Phénomène de « lallation ». Puis vers 9-10 mois, l’enfant peut imiter certains sons même s’il ne les comprend pas. L’ « écholalie » est le début d’un dialogue entre l’enfant et ses parents. A partir de 1 an, c’est le stade linguistique c’est-à-dire que l’enfant commence à faire des mots phrases c’est-à-dire qu’il va prononcer un mot qui va avoir valeur d’une phrase pour lui

gestes ou mimiques • Absence de réponse aux tentatives de communication des autres (pas de réaction par exemple à l’appel de son nom) • Incapacité relative à débuter ou soutenir une conversation • Utilisation stéréotypée et répétitive du langage (écholalies) Communication réceptive • Difficultés à comprendre et employer correctement le langage, les gestes et les expressions faciales (ex : rit alors qu’on le réprimande, sautille car la situation l’excite...) • Peu voire aucune compréhension des

phrases entières. On en compte quatre formes : • les automatismes verbaux (« Sprachautomatismen ») aussi appelés « recurring utterances », • les stéréotypies (« Stereotypien »), • les persévérations (« Perseverationen ») et • les écholalies (« Echolalien ») (Tesak, 2006 : 20). Par « automatisme verbal », on entend la répétition non-intentionnelle de sons, de syllabes, de mots ou de phrases. Ces formules vides de sens peuvent représenter une grande partie ou la totalité de la production

les choses ?” Observer Michel a 4 ans et présente un retard de développement. Il comprend les consignes simples (“Attends”, “Prends”, “Viens”, …). Il réagit à l’appel de son prénom. Michel répète des mots et parfois de courtes phrases (écholalie), il répond parfois brièvement à une question. Mais il parle très peu spontanément. Michel a un grand frère de 6 ans. Il ne joue pas vraiment avec lui. Ses activités préférées sont rouler avec son véloporteur et jouer avec la maison des animaux