Écholalie

syndrome dissociatif (se manifestant souvent par un arrêt brutal du discours) ● Signes assez caractéristiques de la schizophrénie Définir attitude d'écoute ? Signe comportemental permettant d'évoquer la présence d'hallucinations auditives Définir écholalie ? Répétition non volontaire de la fin des phrases, mots ou sons de l'interlocuteur Qu'est-ce que l'observance ? ● Respect de la prescription, la concordance entre la conduite du patient et les prescriptions médicales. Elle est donc en lien avec

intensité pouvant évoluer, notamment avec l’âge : Indifférence aux autres ou réactions bizarres ; Comportements répétitifs et activités stéréotypées (agitation des mains, balancement du corps…) ; Mutisme ou langage inhabituel (par exemple écholalie : répétition en écho des phrases ou mots entendus) ; Peur du changement. Aucune d’eux n’est suffisante (il s’agit du symptôme) individuellement pour établir un diagnostic. De même, l’absence d’un critère ne disqualifie pas pour autant le diagnostic

pas de signification pathologique. Exemple de lapsus par Jospin lors de l'université d'été 2006 du PS : « Je ne vous ai pas accompagnés...euh....abandonnés. »  Palilalie : répétition de mots ou de phrases vides de sens, souvent associée à une écholalie au cours de laquelle le patient répète les mots de son interlocuteur (schizophrénie, démence).  Les paralogismes (utilisation de mots détournés de leur sens) et les néologismes (création de mots) sont fréquemment observés au cours de la schizophrénie

= essaye d'expliquer pkoi on est celui qui doit sauver la planète, troubles de la mémoire, hypermnésie, troubles concentration Langage : discours différents, barrages = arrêt de phrase d'un coup, fading mental = diminution parole jusqu'à arrêt, écholalie = répète fin de phrase, néologisme, altération de la syntaxe Affects : émoussement affectif, désintérêt, amotivation Pronostic : début tardif, existance stress déclenchant, trouble de l'humeur associé (plus facile à traiter = facilement stabilisé)

gorge, des grognements, des toussotements, et au langage, des verbalisations des syllabes, des mots, des phrases complètes, par exemple, un énoncé, une exclamation, une expression, la cropalie (mots agressifs, inappropriés, indésirables, obscènes), écholalie (répétition de mots ou phrases entendues), palilalie (répétition de ses propres mots ou sons). Chez les enfants, le langage peut être anormal, pressentant des rythmes, des tons, des intensités et des accents différents. Le tic vocal est moins fréquent

notamment avec la stichomythie par laquelle les interventions sont d’une égale longueur ou quasiment ; I-2 (p. 74-75) les parallélisme de construction, les échos expriment une tension ; V-2 (p. 161) où les parallélismes sont beaucoup plus nets = écholalie ; II-4 (p. 95-96) v. 649-650 // v. 695-98 : 2 flatteries très semblables ; fin I-1 (p. 60-62) v.235 à 250, raccourcissement progressif qui exprime une chute de la tension. Ainsi, la longueur est un élément du spectacle, les gens ne parlent pas plus

difficultés d’accès à l’ironie, l’humour, aux expressions abstraites et sentimentales - des difficultés dans les règles implicites des conversations, comme les tours de rôles, les commentaires, les interruptions… - une expression stéréotypée, des écholalies, des persévérations verbales… - un déficit dans les codes sociaux - des difficultés de compréhension des émotions et des intentions, en lien avec la théorie de l’esprit. Les troubles du comportement sont très présents auprès des enfants atteints

sa source. Pour ce faire, il est nécessaire d’élaborer une compréhension de leurs causes et processus cognitifs sous-jacents. Selon certains auteurs, les erreurs pronominales observables chez les enfants atteints d’autisme ne seraient que des écholalies résultant de leur manque de compréhension du langage entendu (p.ex., Simon, 1975). D’autres les attribuent à des déficiences cognitives et linguistiques plus générales (p.ex., Fay, 1979). D’autres encore suggèrent qu’elles reflèteraient l’incapacité

immédiats et cesse ses efforts de communication dès qu’il a obtenu satisfaction. Il évite d’établir un contact visuel avec son interlocuteur et supporte difficilement l’intrusion d’un tiers lors d’une conversation. Il répète parfois les paroles (écholalie) et en l’absence de la théorie de l’esprit, sa compréhension du langage reste très littérale, ce qui signifie qu’il prend tout au pied de la lettre et ne sait pas reconnaître ni le sarcasme, ni les intonations de la voix. Au niveau du comportement

du « je » : l’autiste doit l’apprendre b) phrase comprise au premier degré, pas le sens « spontané » de l’humour ni de la poésie c) il existe des autistes verbaux et non verbaux (sans qu’il y ait un lien direct avec l’intelligence) d) écholalie (répétition de certains sons ou mots) ♦ Schéma corporel (déf.« représentation mentale structurée du corps et de ses mouvements) .il y a souvent chez les autistes des problèmes avec le schéma corporel mal maîtrisé. a) « le je » ,b) le corps