Éclair

foudre » (v.9) Rencontre= véritable choc « un éclair...puis la nuit ! ». Violence= expression antithétique (éclair/nuit, Lumière fulgurante/ noir et obscurité.) En fait, c'est comme si cette l''lumière l'avait ébloui et rendu aveugle. Impression confirmée ---> adverbe «....puis» = l'un ( la nuit) est vraiment la conséquence de l'autre (l'éclair). Peut penser aussi à la photographie qui commençait à existe à l'époque. De plus, éclair= rencontre, nuit=état intérieur. Baudelaire utilise

)POURQUOI LA DÉFAITE FRANÇAISE ? |Dater |La Bataille de France (mai-juin 1940) | | |Décrire une tactique |La "Blitzkrieg" (la guerre-éclair) : aviation, chars, infanterie, | | | |l'Exode, la Débâcle (1940) | |3 )QUE CHANGE LA DÉFAITE ? |Maîtriser

exprimé une rencontre amoureuse mais de manière éphémère. (sauter une ligne ?) Tout d’abord, les deux auteurs expriment l’aspect éphémère de cette rencontre grâce à la ponctuation. Dans son texte, Baudelaire utilise des points de suspension « un éclair… », ce qui marque l’espoir qu’il a pour la concrétisation amoureuse. Nerval fait de même pour mettre en valeur son émotion. Le point d’exclamation, « Jamais peut-être ! » chez Baudelaire et « Il a fui ! » chez Nerval, souligne le désespoir du poète

plaisirTristesse et beautéMouvement et immobilité de la statueFroideur de la statue et feu du regard « où germe l’ouragan »Ella a l’air indifférente mais le poète voit derrière les apparences son énergie, sa force presque brutale « fascine, tue, ouragan, éclair »Beauté liée au morbide (deuil, douleur), au bizarre, au décaléSes yeux disent donc autre chose que sa silhouette : conception de la beauté pour Baudelaire : bizarre, inaccessible, basée sur des contrastes : amour/mort ; amour/violence ; douceur/souffrance ;

main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que

Description des éléments de la rencontre * Le regard rétrospectif du poète Cela montre la construction du sonnet = met en évidence les 2 parties de l’anecdote. « Un éclair… puis la nuit ! Fugitive beauté » (vers 9) résumé métaphorique de leur rencontre, phrase nominale qui est construite sur une antithèse : éclair et nuit. La lumière éblouissante, fugitive, retrace le bonheur entraperçu grâce à la passante, tandis que la nuit symbolise le désespoir, une où sans amour. Figure de style rencontrée :

l’œuvre d’art. En effet, Alain désigne par le terme d’ « éclairs » (l 4) les liens qui existent entre œuvre d’art et produit de l’artisan. Alors que le produit de l’artisan est, en théorie conforme à l’analyse qu’en a fait son concepteur, il arrive que la réalisation diffère de l’idée : ce sont les « éclairs ». Alain sous-entend donc que ces « éclairs » sont l’essence de l’œuvre d’art, comme le montre l’expression : « il est artiste, mais par éclairs ». De plus, le philosophe introduit les notions de finalité

« insectes ; abeilles » ; v 10: « frêle essaim des riches papillons » ; de la végétation abondante : v3 : « feuillage épais » ; v11 : « sèves ». Cette abondance se lit aussi dans l’emploi récurrent des pluriels : «  grands bois » ; « mousses » ; « mille éclairs furtifs » ; « les rayons » : « les papillons »… 4. Un moment éphémère : la brièveté est exprimée à travers divers termes : les adjectifs « furtifs »v7 ; «frêle »v10 et le mot « gaze » : étoffe délicate. B. Evocation d’une scène de repos

d’Essai de quelques poèmes chrétiens, publié en 1588. Ce sonnet du mouvement baroque reste dans la thématique de la mort, appuyé par un texte imagé. Il traite de l’instabilité de la vie et fait référence à la fragilité. Il compare ainsi la vie à un éclair. PROBLEMATIQUE : -Pourquoi peut-on dire que ce poème s’inscrit dans le mouvement baroque ? LECTURE ANALYTIQUE : I. Le sonnet prend une forme particulière : * Structure claire  -toujours la même forme : sujet + verbe + complément

battements N= = 75 battements par minute, ce qui semble réaliste. 0 ,8 II. Stockage d'énergie: le flash électronique II.1. Les piles permettent d'obtenir 100 éclairs de durée et d'intensité lumineuse maximales. L'énergie totale des piles vaut E = 18 kJ La moitié de cette énergie est utilisée pour fournir 100 éclairs. E Donc pour 1 éclair: E1 = = 90 J 2 × 100 1 2E II.2. E1 = .C.U 2 donc C = 21 2 U 2 × 90 C = = 5 F grande capacité par rapport aux valeurs rencontrées au cours de l'année scolaire (de