École autrichienne d'économie

marchands ; rôle de l’afflux de monnaie (l’usure n’est plus condamnée). Section 2 : Définition du Mercantilisme  « Mercante » = marchand (Italien) commerce et industrie, c´est une pensée économique ,16ème et 17ème siècle ». * Différent d’une école de pensée * Pas de théorie unifiée du fonctionnement d’une économie * Pas de lois économiques : l’économie est ce qu’en font les hommes Mouvement cosmopolite : plusieurs traditions mercantilistes, selon le contexte national (sauf physiocrate=français)

une organisation de la production de guerre. Le souci premier des gouvernements (dans une guerre durable) devrait être d’assurer à la fois dans les industries de guerre et d’assurer à la fois l’approvisionnement de l’arrière. En gros, 2 types d’économie vont apparaître : * l’armée est le demandeur principal de toutes les ressources nationales, la priorité est donnée à l’armée, qui prend ce dont elle a besoin, laissant le reste au reste du pays (ex : Allemagne, Autriche-Hongrie, Russie)

donner naissance à une école de pensée : l’école libérale. Le libéralisme dit que le marché (mécanisme des prix) est le meilleur endroit ou meilleur mécanisme qui permet d’utiliser les ressources de la plus efficace des manières et pour obtenir la satisfaction maximale des individus. Ce à condition que le mécanisme fonctionne librement. L’auteur qui insiste le plus sur cette question (milieu 18ème siècle) est François QUESNAY (1694-1774). Il est quasi le premier à créer une école libérale appelée la

Sophia-Antipolis à Nice), ceux-ci s’insèrent, plus ou moins bien, dans la vie économique de ces villes. A l’inverse ceux des villes de la rive Sud peuvent presque à certains égards être considérés comme des enclaves d’économie développée dans des villes fonctionnant essentiellement comme des villes d’économie en voie de développement. Entre une ville comme le Caire, dont l’économie tertiaire informelle est celle d’un PVD, et la plupart des villes de la rive Nord où cette économie est très réduite, se situent

postes dans la fonction publique de son pays. Sa rencontre avec J. Schumpeter à Harvard au milieu des années 30 l'orienta définitivement vers la science économique. Il émigra aux États-Unis en 1948 où il fit une brillante carrière de professeur d'économie à l'université Vanderbilt de Nashville (Tennessee). Son livre majeur, The Entropy Law and the Economic Process, a été publié en 1971. Nicholas Georgescu-Roegen, La décroissance (1979), 2e édition, 1995 9 Introduction à la deuxième édition

nouveau 1 – L’influence des doctrines professées par les physiocrates Les physiocrates ont développé leur théorie au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Leur leader était le médecin du roi Louis XV et s’appelait François Quesnay. Cette école comptait en son sein des hommes comme le Chapelier ou Turgot ; elle était à la fois très moderne et archaïque. Elle était moderne en ce sens qu’elle expliquait que la richesse d’un pays dépend de la liberté des échanges, de la liberté du marché économique

la connaissance ? I. La « société de la connaissance » (P. Drucker, 1969), portées et débats. Peter Drucker, The Age of discontinuity : Peter Drucker (1909-2005), est un économiste, philosophe et journaliste autrichien qui quitte son pays pour le Royaume-Uni puis les États-Unis où il s’installe à partir de 1937. Il a travaillé notamment dans le management et le monde de l’entreprise. Dans son ouvrage, The Age of discontinuity (1969),

développer l’instruction car l’homme est avant tout le fruit de son éducation. Il est à l’origine de nombreuses réalisations et a notamment transformé sa manufacture en usine modèle avec des jardins particuliers, une durée de travail réduite, une école et un jardin d’enfants et, pour les adultes, des cours du soir. Les utopies socialistes se déploient donc face à l’utopie libérale, couverte des apparences de la science (« loi de l’offre et de la demande », « loi d’arain du salaire ») et contre les

nouveau 1 – L’influence des doctrines professées par les physiocrates Les physiocrates ont développé leur théorie au cours de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Leur leader était le médecin du roi Louis XV et s’appelait François Quesnay. Cette école comptait en son sein des hommes comme le Chapelier ou Turgot ; elle était à la fois très moderne et archaïque. Elle était moderne en ce sens qu’elle expliquait que la richesse d’un pays dépend de la liberté des échanges, de la liberté du marché économique

L'influence des physiocrates : Ce sont des économistes, ils développent leurs idées ds la 2nde moitié du XVIIIème siècle, ils fondent une école avec pour chef de file un médecin qui s'appelle François QUESNAY. Il était médecin de Louis XV. Ont fait partie de cette école des hommes politiques importants comme Turgot ou encore le Chapelier, D'Allardes. Ecole très moderne d'un côté ms aussi très archaïque : → Moderne : Pour les physiocrates, la libertés du marché économique est primordiale