Édith Cresson

budgétaire, politique de rigueur adoptée, les communistes démissionnent. 2. L’évolution des institutions Mitterrand s’adapte à la pratique gaullienne des institutions, il pratique la politique étrangère et de défense. En 1981, il nomme Edith Cresson comme 1er ministre. • 1986 : élections législatives : cohabitation avec comme 1er ministre Chirac (droite). Le Président voit son pouvoir diminuer et ne peut plus faire de référendum. • 1993 : 2ème cohabitation avec comme 1er ministre

leurs fonctions dès leur remplacement. En pratique la motion a été peu effective puisque de 79 à 2009, il y en a eu que 8. On peut citer celle qui visa à la démission de la commission Santer en 1999 accusée de népotisme en faisant rentrer par ex Edith Cresson. D’autre part, le PE contrôle les autres institutions par son pouvoir d’information. Il adresse fréquemment au Conseil des ministres et à la commission des questions écrites publiées au Journal officiel de l’Union européenne et des questions orales

Barre III 22 mai 1981 Pierre Mauroy I 23 juin 1981 Pierre Mauroy II 23 mars 1983 Pierre Mauroy III 17 juillet 1984 Laurent Fabius 20 mars 1986 Jacques Chirac François Mitterrand 10 mai 1988 Michel Rocard I 23 juin 1988 Michel Rocard II 15 mai 1991 Édith Cresson Jacques Delors Jacques Delors Jacques Delors (23) Pierre Bérégovoy (23) Édouard Balladur (27) Camille Cabana et Michel Noir (29) Pierre Bérégovoy (23) Pierre Bérégovoy (23) Pierre Bérégovoy (23) François Doubin, Dominique Strauss-Kahn, Jean-Marie

un quota de 25% de femmes pour les lites de candidatures, mais elle sera rejetée par le Conseil Constitutionnel. En 1991, le Président de la République française François Mittérand frappe un grand coup dans le monde de la politique en nommant Édith Cresson première ministre, c'est la première femme à avoir un poste aussi important. La parité semble avancée, presque acquise pour les femmes. La fin de la lutte parait proche avec la l'adoption " de la loi de la parité " le 3 mais 2000 et sera mise

|Jacques Chirac |20 mars 1986-30 avril 1988 | | |Michel Rocard |10 mai 1988-14 mai 1991 | | |Édith Cresson |15 mai 1991-31 mars 1992 | | |Pierre Bérégovoy |2 avril 1992-28 mars 1993 | | |Édouard Balladur |29

est adoptée aux deux tiers des exprimés, les membres de la commission doivent abandonner collectivement leurs fonctions. » La censure n’est pas individuelle. Le Parlement souhaiterait pourtant parfois ne viser qu’un seul commissaire (ex avec Edith Cresson). La revendication est vieille mais les gouvernements n’ont aucune envie d’y accéder. Depuis Nice, un article 217 fait que le président de la Commission peut demander la démission d’un commissaire. Durant la crise de la vache folle en 1997

rémunération entre les femmes et les hommes en 1972 et aussi l'égalité professionnelle en 1983. Dès lors, les femmes ont commencé à s'imposer dans la société et à occuper des postes à responsabilité. La première femme premier ministre en France fut Edith Cresson en 1991, et Angela Merkel élue en 2005 est elle la première chancelière de l'histoire allemande. Nous allons donc voir comment les femmes sont représenté dans les postes à responsabilité de nos jours. I) Les femmes en politique A)

chacun a une vision personnelle de la fonction qu'il a eu à remplir et parfois même complètement opposées à celles des autres. Par exemple, quant aux difficultés rencontrées avec l'administration, on peut lire les récits de Dominique de Villepin, Edith Cresson, et Laurent Fabius, pour qui effectivement il est très difficile de parvenir à agir au travers de toutes les procédures bureaucratiques qui constituent souvent des freins à l'efficacité, mais à la suite de ceux-ci un assez court commentaire de

élections législatives. Michel Rocard, qui n'a jamais été un proche de Mitterrand, est nommé premier ministre. Quelques réalisations importantes sont à relever comme l'instauration du RMI, la Contribution Sociale Généralisée... En mai 1991 Edith Cresson remplace Rocard au poste de premier ministre. Très mal reçue par l'opinion, sans autorité sur le gouvernement elle est à son tour remplacée par Pierre Bérégovoy en avril 1992. Sa nomination n'empêcha pas la droite de remporter les élections législatives

LA PLACE DES FEMMES DANS LA VIE POLITIQUE ET SOCIALE AU XXè SIÈCLE. Au début de la IIIè Rép, les femmes n’ont pas ou peu de droits politiques et sont dans un état d’infériorité juridique et sociale (code civil napoléonien). La contradiction entre les idéaux républicains émancipateurs, égalitaires et la condition des femmes conduit à des réformes. Le XXème siècle est celui de l’émancipation des femmes, mais avec une évolution lente, chaotique, et incomplète. La véritable rupture s’effectue dans les